Bible et Calendrier Maya
Histoire, Bible et Avenir révélé...
Dernière mise à jour : 17/03/2012.
Fin du monde en 2027 :
Livre « Fin du monde en 2027 » (14 pages affichées) :
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Les "Mystères Révélées" de l’histoire ; Apocalypse expliquée ; & Cycles astronomiques. de Patrick DOLCIANI Contact : @ [email protected] Traduisez d'abord vos messages en français ou les textes grâce au site « Babel Fish Translation » :
Les Grandes Pyramides représentent le Soleil (Chéops), la Terre (Khephren) et la Lune (Mykérinos).
Introduction
C’est le peuple Olmèque qui, dans le Golfe du Mexique vers le XI° siècle avant notre ère, développa une première civilisation qui se caractérisait par le fait d’être entièrement fondée sur le principe de la connaissance des cycles historiques. Au cours des siècles, les Olmèques transmirent leurs connaissances à d’autres peuples qui les entouraient et ces derniers formèrent de nombreux foyers de culture similaire dans une aire géographique qui s’étendait du Mexique jusqu’au Honduras et au El Salvador : on a donné à ces territoires le nom de Méso-Amérique. La civilisation méso-américaine produisit des pyramides, des temples, des petits palais, des stèles et divers autres monuments dans de nombreuses cités aujourd’hui disparues, dont les restes sont devenus des sites archéologiques ; toute cette architecture était en relation avec le calendrier méso-américain qui comprenait des cycles en harmonie avec les révolutions synodiques des planètes telluriques, à savoir : Mercure, Vénus et Mars. Ces divers cycles, en s’accordant avec l’année solaire de 365 jours (18 mois de 20 jours et cinq jours additionnels), formaient les divers schémas des cycles historiques. Les Olmèques avaient mis au point un système numérique vigésimal comprenant l’usage du zéro et avaient développé une écriture glyphique ; leur mois civil était de vingt jours, dont chacun portait un nom représenté par un glyphe, et ce mois, à la fois civil et religieux, avait la propriété de s’harmoniser avec les vingt chiffres de leur système numérique. Leur écriture, transmise par la suite aux Mayas et développée par eux, leur permettait de relater les principaux événements de leur histoire, laquelle entrait en harmonie avec les cycles de leur calendrier : les diverses évolutions de leur société prenaient en compte les révolutions synodiques des planètes qui entraient en correspondance avec leur année civile de 365 jours. Ces peuples avaient conscience de la réalité des cycles historiques, car ceux-ci, pris en compte dans leurs fêtes religieuses, conditionnaient entièrement leur existence. Mais, à la fin du X° siècle, en 987, ils célébrèrent les premiers « Feux nouveaux » du « Cinquième Soleil » ou cinquième grande période de 1040 ans. Cela faisait quatre fois 260 ans ou quatre « roues de katuns », dont chacune se divisait en 13 périodes de vingt ans. Ils attribuèrent au dernier « Soleil » une nature particulièrement dangereuse et, pour cette raison, ils instituèrent la pratique des sacrifices humains afin de conjurer le malheur. Leur « Univers » ne comptait que cinq « Soleils » et ne pouvait durer que 52 siècles (5 fois 1040 ans) ; cette cinquième période de 1040 ans devait certes être la dernière, mais l’instauration des sacrifices humains, due à la crainte de la fin du monde, devait entraîner avant l’heure un début d’anéantissement de leur civilisation, car ils généralisèrent cette pratique dans toute la Méso-Amérique, répandirent la terreur et jetèrent le doute dans l’esprit du peuple qui abandonna de plus en plus son savoir traditionnel, jusque là fidèlement retransmis de génération en génération. Ensuite, au début du XVI° siècle, l’arrivée des Espagnols, qui s’opposèrent avec raison aux sacrifices humains, fut regardée par nombre d’autochtones comme l’avènement d’une véritable libération au point qu’ils s’allièrent délibérément avec eux pour renverser l’empire aztèque. Les Espagnols surent profiter de cette situation pour s’imposer et détruisirent presque tout ce qui restait de la culture méso-américaine : ils brûlèrent les codex qui tombèrent entre leurs mains et imposèrent à l’Amérique la civilisation chrétienne qui ne laissa subsister de la précédente que quelques bribes de témoignages, lesquelles peuvent néanmoins suffire de nos jours pour reconstituer l’essentiel de leurs anciennes connaissances. Elles nous permettent également de vérifier tout le processus du développement cyclique de l’histoire au Moyen-Orient, en Europe, en Afrique et en Asie, c’est-à-dire dans des lieux géographiques où la connaissance des cycles historiques, oubliée et ignorée, ne pouvait pas être consciemment prise en compte. Cependant, il serait erroné de croire que les cycles historiques n’avaient jamais été connus qu’en Méso-Amérique, car nous trouvons leur trace dans la chronologie et certains textes de la Bible, en particulier dans le livre d’Enoch (apocryphe anciennement inclus dans le canon byzantin) qui raconte l’histoire des événements antédiluviens et annonce l’avenir de l’humanité après le Déluge, en le présentant sous forme de succession de plusieurs « semaines » ou « âges ». Nous retrouvons également la trace des cycles historiques en Egypte, dont le calendrier était fondé sur les périodes sothiaques de 1460 ans (1460 fois 365,25 jours correspondent avec 1461 années égyptiennes invariables de 365 jours) ; leur calendrier de 365 jours (5 fois 73 jours), qui comprenait 12 mois de 30 jours auxquels s’ajoutaient 5 jours complémentaires, avait en outre la particularité de s’harmoniser avec les révolutions synodiques de Vénus et de Mercure, car 20 années égyptiennes de 365 jours font aussi 12,5 cycles de Vénus ou 63 cycles de Mercure. Il apparaît que les cycles historiques étaient connus depuis l’Antiquité dans la zone du Croissant Fertile (Egypte, Palestine et Mésopotamie) et même en Grèce (les premiers jeux olympiques étaient organisés tous les huit ans et s’harmonisaient avec cinq révolutions synodiques de Vénus car 8 années de 365 jours correspondaient avec 5 cycles de Vénus) ; mais une « occultation » trop prononcée de cette science, qui faisait partie des « mystères » en relation avec l’astronomie, a probablement été à l’origine de son oubli. Ce sont les Phéniciens qui, détenant encore ce savoir, le transmirent très probablement au peuple Olmèque après avoir découvert l’Amérique, 26 siècles avant Christophe Colomb. Nous savons en effet que l’Amérique fut redécouverte par Christophe Colomb en 1492, six ans avant que les Portugais, avec l’expédition de Vasco de Gama en 1498, aient réussi à franchir le Cap de Bonne Espérance, à contourner tout le continent africain, et à traverser l’Océan Indien pour rejoindre l’Inde. Il se trouve que la traversée de l’Océan Atlantique, réussie dès la première tentative, n’a pas été plus difficile à réaliser que le contournement de l’Afrique. Or, nous savons que les Phéniciens, après avoir franchi le détroit de Gibraltar, réalisèrent bien avant Vasco de Gama la circumnavigation du continent africain. On ne peut pas douter que certains d’entre eux furent tentés par la découverte de nouvelles terres en traversant l’Océan Atlantique et devinrent ainsi les premiers à découvrir l’Amérique. Tout comme Christophe Colomb le fit bien longtemps après eux, ils arrivèrent dans le Golfe du Mexique et contactèrent un peuple autochtone : les Olmèques. En effet, n’est-ce pas les Phéniciens qui firent sculpter les Têtes colossales que nous retrouvons de nos jours dans cette zone géographique, têtes dont certaines présentent des traits négroïdes ? Puisqu’ils contournaient déjà l’Afrique à cette époque, les Phéniciens étaient en contact avec les Africains et amenèrent avec eux quelques serviteurs noirs jusqu’en Amérique, hommes dont la couleur de la peau et l’aspect physique étonnèrent les Olmèques. Ces Têtes avaient probablement pour but de laisser sur place un témoignage incontestable et durable de leur visite en Amérique, voire même d’y établir une preuve. Les cycles historiques furent dès lors enseignés dans toute la Méso-Amérique tandis que cette connaissance finit par être oubliée dans l’Ancien Monde. Il se passa alors 2600 ans avant de la retrouver grâce à la conquête des Amériques. C’est pourquoi nous pensons que les Phéniciens, ayant conscience de l’importance de la valeur de cette connaissance, initièrent volontairement les Olmèques dans le but de la préserver en ces lieux géographiques très éloignés de leur terre d’origine tandis qu’elle était déjà en voie de disparition chez eux dès leur époque (XI° siècle avant notre ère). Peut-être, était-ce là leur véritable mission ? Par ailleurs, la réalité incontestable des connaissances initiatiques des Phéniciens est attestée dans la « Complainte adressée au roi de Tyr » par Ezéchiel (ch. : 28, v. 3) : « Voici, tu es plus sage que (le prophète) Daniel et rien de secret n’est caché pour toi ». Ils connaissaient bien le ciel, les étoiles et les planètes parce qu’ils naviguaient grâce à leurs observations : connaître les cycles des astres revenait à lire un calendrier dans le ciel et leur permettait aussi de connaître dans quelle zone géographique ils se trouvaient. Les navigateurs phéniciens étaient par nature d’excellents observateurs du ciel et ils inculquèrent leur science à ceux qui les accueillirent dans le Golfe du Mexique : les Olmèques.
Chapitre 1La création du 1° chapitre de la GENESE : (Version Patrick DOLCIANI)
Premier chapitre du livre de la Genèse traduit de l’hébreu en 1978 par Patrick DOLCIANI (pages 114 à 116 de “Mystères révélés” publié en 1989, Editions "La Pensée Universelle") :
Au commencement de leur œuvre, les fils de Dieu créèrent les espaces aériens et le continent. Or, le continent était dans un état chaotique (tohu-bohu) tandis que l’obscurité recouvrait la face de l’abîme. Alors les Fils de Dieu (Elohim) propagèrent un vent violent qui se glissa sur la face des eaux.
Et les Fils de Dieu dirent : Qu’il y ait de la lumière ! Et la lumière fut. Les Fils de Dieu virent que la lumière était bonne et ils firent une distinction entre la lumière et l’obscurité. Les Fils de Dieu nommèrent la lumière en l’appelant “jour” et ils nommèrent l’obscurité en l’appelant “nuit”. Il y eut un soir, puis un matin, soit un jour.
Et les Fils de Dieu dirent : Qu’il y ait un ciel au milieu des eaux et qu’une différence s’établisse entre elles de part et d’autre ! Les Fils de Dieu firent apparaître le ciel et ils établirent une distinction entre les eaux du dessous du ciel et celles du dessus du ciel. Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu nommèrent le ciel en l’appelant “espaces aériens”. Il y eut un soir, puis un matin : deuxième jour.
Et les Fils de Dieu dirent : Que les eaux du dessous des espaces aériens se retirent vers un même endroit et que la terre ferme apparaisse ! Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu nommèrent la terre ferme en l’appelant “pays” et ils nommèrent le rassemblement des eaux en l’appelant “mers”. Les Fils de Dieu virent que c’était bien. Et les Fils de Dieu dirent : Que le pays produise de la verdure, des plantes avec de la semence et des arbres fruitiers sur le continent donnant des fruits selon leur espèce qui contiennent en eux de la semence ! Et ce fut ainsi. Le pays produisit de la verdure, des plantes portant de la semence selon leur espèce et des arbres donnant des fruits qui contiennent en eux de la semence. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien. Il y eut un soir, puis un matin : troisième jour.
Et les Fils de Dieu dirent : Qu’il y ait des corps de lumière dans le ciel des espaces aériens pour établir une différence entre le jour et la nuit et qu’ils servent de signes pour marquer les temps, les jours et les années! Qu’ils servent aussi de luminaires dans le ciel des espaces aériens pour éclairer le pays ! Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu firent apparaître les deux grands corps de lumière, le plus grand pour régir le jour et le plus petit pour régir la nuit avec les étoiles ; les Fils de Dieu les donnèrent au ciel des espaces aériens pour éclairer le pays, pour régir le jour et la nuit et pour établir une différence entre la lumière et l’obscurité. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien. Il y eut un soir, puis un matin : quatrième jour.
Et les Fils de Dieu dirent : Que les eaux grouillent d’une multitude d’êtres vivants ayant un souffle de vie et que des oiseaux s’envolent au-dessus du continent vers la face du ciel des espaces aériens ! Les Fils de Dieu créèrent les grands reptiles aquatiques et tous les êtres vivants ayant une respiration aérienne qui se meuvent et qui grouillent dans les eaux selon leur espèce, et tous les oiseaux ailés selon leur espèce. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien. Ils les bénirent en leur disant : Soyez féconds et devenez nombreux, remplissez les eaux dans les mers et que les oiseaux se multiplient à l’intérieur du pays ! Et il y eut un soir, puis un matin : cinquième jour.
Et les Fils de Dieu dirent : Que le pays produise des êtres vivants ayant un souffle de vie selon leur espèce : des animaux domestiques, des reptiles et des bêtes sauvages du continent selon leur espèce ! Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu firent apparaître les bêtes sauvages du continent selon leur espèce, les animaux domestiques selon leur espèce et tous les reptiles qui se meuvent sur la terre selon leur espèce. Et les Fils de Dieu virent que c’était bien. Puis, les Fils de Dieu dirent : Faisons un Terrien de notre forme selon notre ressemblance ! Et qu’ils asservissent les poissons de la mer, les oiseaux des espaces aériens, les animaux domestiques, tout le pays et tous les reptiles qui se meuvent sur le continent ! Les Fils de Dieu créèrent le Terrien (Adam, tiré de la "terre" : "adama") selon leur forme, c’est-à-dire en le créant selon leur propre aspect physique. Et ils les créèrent mâle et femelle. Alors les Fils de Dieu les bénirent et leur dirent : Soyez féconds et devenez nombreux, remplissez le pays et faites-en la conquête ! Asservissez les poissons de la mer, les oiseaux des espaces aériens et tous les reptiles qui se meuvent sur le continent ! Et les Fils de Dieu leur dirent encore : Voici, nous vous donnons toutes les plantes qui donnent de la semence sur toute la surface du pays et tous les arbres qui portent en eux leurs fruits ayant de la semence : ils vous serviront de nourriture. Toute verdure servira de nourriture à tous les êtres vivants du continent, à tous les oiseaux des espaces aériens et à tous les reptiles du pays qui abrite en lui des êtres vivants ayant un souffle de vie. Et ce fut ainsi. Les Fils de Dieu considérèrent tout ce qu’ils avaient fait et ils trouvèrent que c’était parfaitement bien ! Il y eut un soir, puis un matin, soit le sixième jour.
C’est ainsi que furent achevés les espaces aériens, le pays et toute leur armée d’êtres vivants. Les Fils de Dieu avaient terminé le septième jour ce qu’ils avaient accompli en six jours et ils se reposèrent le septième jour de toute l’œuvre qui était terminée. Les Fils de Dieu bénirent le septième jour et le placèrent à part car, en ce jour-là, ils se reposèrent de toute l’œuvre qu’ils avaient créée en la faisant.
Chapitre 2Commentaire :
Nous pouvons observer que la Création se fait sur le globe terrestre et non ailleurs ! Ce n’est pas une création de l’univers et il n’est pas question du “Big Bang” des astrophysiciens ! Le globe terrestre se trouve dans un état chaotique, recouvert par les eaux et plongé dans l’obscurité. Il y a eu certainement un cataclysme, probablement provoqué par la chute d’un ou de plusieurs astéroïdes. Alors, les Fils de Dieu interviennent et propagent “un vent violent” qui se glisse sur la face des eaux.
Premier jour : Alors apparaissent la lumière ou le “jour”, puis les ténèbres ou la “nuit”. Cela se passe probablement “vu de l’espace” à partir d’un point qui pourrait correspondre avec la satellisation d’un vaisseau spatial. Il faut comprendre que, vue du ciel, l’obscurité se dissipe autour du globe terrestre de telle sorte que la lumière du jour finit par apparaître autour de lui. Deuxième jour : La chaleur du soleil provoque bientôt l’évaporation des eaux et les nuages se forment. L’atmosphère transparente apparaît progressivement et sépare les eaux de la mer visibles maintenant au-dessous des nuages. Il s’agit des “espaces aériens” où pourront par la suite se mouvoir les oiseaux ! Troisième jour : Les eaux des océans recouvrent les terres, mais bientôt elles se retirent et laissent apparaître les continents. La terre ferme apparaît et laisse bientôt apparaître le “pays”. Les plantes recouvrent alors les terres. Quatrième jour : L’atmosphère s’éclaircit toujours davantage et laisse apparaître le soleil comme astre du jour et la lune comme astre de la nuit, avec les étoiles qui deviennent également visibles dans la voûte céleste. Cinquième jour : Les Fils de Dieu repeuplent la mer et le ciel d’animaux : des reptiles aquatiques dans les eaux et les oiseaux dans les espaces aériens. Sixième jour : Ils repeuplent ensuite d’animaux la terre ferme : reptiles terrestres, animaux sauvages et domestiques. Le sixième jour les Fils de Dieu créèrent aussi l’Homme, Adam, appelé “Terrien”. Ils le créèrent à leur propre ressemblance, c’est-à-dire avec un aspect physique semblable à celui des anges.
Ainsi les animaux sont divisés en cinq catégories : Cinquième jour : 1) Reptiles aquatiques ; 2) Oiseaux. Sixième jour : 3) Reptiles terrestres ; 4) Animaux sauvages ; 5) Animaux domestiques. L’Homme est placé à part, créé après les animaux terrestres, mais aussi le sixième jour.
L’auteur a traduit le premier chapitre de la Genèse en 1978, deux ans avant sa découverte des cycles historiques faite en septembre 1980. La découverte des cycles historiques a fait apparaître que la Création s’est faite en un siècle, c’est-à-dire en cinq fois vingt ans depuis l’apparition de la lumière le premier jour jusqu’à la création de l’Homme le sixième jour.
Premier jour : Au milieu ou “au midi” du premier jour : Apparition de la lumière redevenue visible sur le globe terrestre. Deuxième jour : Après 20 ans : Evaporation des eaux grâce à la chaleur du jour. Troisième jour : Après 40 ans : Apparition des terres qui émergent des eaux, comme après un déluge. Les plantes repoussent à nouveau. Quatrième jour : Après 60 ans : Les astres apparaissent à nouveau dans la voûte céleste : soleil, lune et étoiles. Cinquième jour : Après 80 ans : Création des reptiles aquatiques et des oiseaux. Sixième jour : Après 100 ans : Création des animaux terrestres : reptiles terrestres, animaux sauvages et domestiques. Création de l’homme.
Il y a donc eu une intervention des Fils de Dieu sur le globe terrestre après un cataclysme : ce sont les anges de la Bible, lesquels sont soumis à l’Eternel des Armées, que nous pouvons aussi appeler l’Etre suprême des Fils de Dieu. La création du livre de la Genèse se place de 4174 à 4074 avant notre ère, date de la création d’Adam. Il y a donc eu un cataclysme sur le globe terrestre vers 4200 avant notre ère, telle est l’explication qui permet de comprendre la Création du livre de la Genèse. Les animaux et l’homme existaient sur la terre bien avant cette catastrophe. Mais l’être humain qui vivait avant cela n’était pas le même : c’était l’homme d’avant Adam. En Adam, l’homme est devenu un être spirituel, plus évolué, capable de connaître Dieu et de s’entretenir avec lui. Il a été créé par Dieu, à la ressemblance des anges. Depuis, la civilisation s’est développée en Mésopotamie, en Egypte et en Inde. La civilisation de Sumer fut la première civilisation de l’homme qui descendait d’Adam. Une nouvelle histoire commençait alors sur le globe terrestre, c’est l’Histoire du Monde en Adam, laquelle révèle l’existence des cycles historiques.
Chapitre 3Le schéma des cycles de l’histoire du monde :
Etude des cycles de l'Histoire du Monde, comparés à ceux de l'Histoire de l'Eglise :
Nous observons que ce tableau est de même structure générale que celui des cycles de l'Histoire de l'Eglise présenté dans d'autres pages de ce site. Il présente les "ères de civilisation" de 780 ans chacun, les mêmes que celles dont parle le livre d'Enoch, lesquelles sont analogiquement comparables avec les cycles de civilisation de 210 ans de l'ère chrétienne. Il présente ensuite les sept "Soleils" de l'Histoire du Monde qui correspondent avec sept périodes de 1040 ans ; ce sont les mêmes périodes que celles du Calendrier méso-américain, lequel n'en contient que cinq, mais qui s'incorporent exactement dans l'ensemble des sept autres (fait extraordinaire et significatif), et se placent de 3174 avant notre ère à 2027 de notre ère, année du retour de Jésus, déterminée également par la chronologie biblique ! Nous savons que les "feux nouveaux" du "5° Soleil" méso-américain furent célébrés en 987 de notre ère (date historiquement connue qui sert de référence) ; or, 1040 ans après 987, conduisent effectivement à l'an 2027 ! De plus, ces "Soleils" de "1040 ans" chacun correspondent analogiquement avec les "sept âges" de l'Histoire de l'Eglise (7 x 280 ans) présentés dans son Tableau. Signalons que celui de l'Histoire de l'Eglise fut découvert en septembre 1980, plusieurs années avant que celui de l'Histoire du Monde puisse être définitivement établi : pourtant leurs structures sont parfaitement identiques ! Ce n'est pas l'effet d'un "truquage", car la chronologie biblique, par ailleurs en accord avec le calendrier méso-américain, a servi à l'établir tel quel ! Toute la chronologie biblique peut être contrôlée grâce aux tableaux chronologiques placés à la fin de l'étude "Les Vivions Prophétiques de Daniel" présentée dans ce site ! Les 28 périodes de 260 ans (roues de Katuns de 13 fois 20 ans) qui structurent ce tableau sont analogiquement les mêmes que celles de "70 ans" qui structurent les cycles de l'Histoire de l'Eglise : 28 fois 70 ans font 1960 ans, lesquels correspondent avec les sept âges de 280 ans de l'Histoire de l'Eglise ! Les âges de 280 ans de l'Histoire de l'Eglise correspondent avec les sept messages aux sept Eglises d'Asie du livre de l'Apocalypse : c'est dire leur importance ! Et les "Soleils" méso-américains (périodes de 1040 ans), sont des cycles fondamentaux de l'Histoire du Monde ! Le rapport est celui-ci : 1040 ans / 280 ans = 3,714285 ; c'est le rapport de "grandeur" qui existe entre les cycles "spirituels" de l'ère chrétienne et ceux des cycles de l'Histoire du Monde ! C'est-à-dire que cela donne d'un point de vue "géométrique" le même schéma cyclique, mais celui de l'Histoire du Monde est 3,714285 fois plus grand que celui de l'Histoire de l'Eglise ! Nous observons enfin que la première phase des cycles de 260 ans (placée avant avant ceux de 780 ans) dans le tableau des cycles de l'Histoire du Monde correspond analogiquement avec la dernière phase de 70 ans (placée après ceux de 210 ans) des cycles de l'Histoire de l'Eglise : l'image est par conséquent "inversée", comme " vue dans un miroir" ! Ce fait est une "garantie" supplémentaire de l'exactitude des schémas, dont celui de l'histoire de l'Eglise est reproduit "à l'envers", cela juste après l'événement le plus important de l'Histoire de l'Humanité (créée en Adam), à savoir : la crucifixion, la mort et la résurrection de Jésus, le Fils de Dieu ! Les mêmes structures géométriques des schémas de l'Histoire du Monde et de l'Histoire de l'Eglise ne sont pas une "coïncidence", mais une "preuve par neuf" de l'exactitude chronologique des tableaux historiques, lesquels sont en parfait accord avec la chronologie biblique qui peut être contrôlée !
Tableau des cycles de l'Histoire d'Israël, comparable à celui de l'Histoire de l'Eglise :
Enfin, la vie de Jésus se situe de l'an 7 avant notre ère jusqu'en 27 de notre ère et forme un cycle de 33 ans qui se place à la suite de ce tableau, comme une "parenthèse" avant celui de l'Histoire de l'Eglise.
Le schéma des cycles de l’histoire du monde s’accorde avec : 1) Il s’accorde avec la Chronologie Biblique ; 2) Il s’accorde avec les divisions cycliques de l’année solaire sans aucun jour laissé en « vide » excepté les cinq jours additionnels de l’année qui fait 360 jours ou 12 fois 30 jours : ces cinq jours sont appelés « lit annuel » en Méso-Amérique ; 3) Il s’accorde avec le calendrier méso-américain ; 4) Il s’accorde enfin avec les périodes sothiaques de 1460 ans du calendrier égyptien (voir texte et tableaux sur les Grandes Pyramides placés à la fin de l'étude).
Ce schéma était connu des anges dès le début et le livre apocryphe d’Énoch, lequel se trouvait dans le canon byzantin des Saintes Ecritures, en faisait déjà mention (9 périodes qui correspondent à des cycles de 780 ans). C’est donc un schéma universel ! Nous pouvons faire le calcul suivant : 4 x 780 ans font 3120 ans ; 3120 ans = 3 x 1040 ans. Les six dernières divisions de l’étoile à sept branches font : 6 x 1040 ans = 6240 ans. Il y a en 6240 ans 8 fois 780 ans : 6240 ans / 780 = 8 (cycles de 780 ans). Il manque alors le premier cycle de 780 ans qui se place avant la date inaugurale du calendrier méso-américain, soit 900 ans après la création d’Adam, en 4074 : 4074 – 900 ans = 3174 av. notre ère ; 3174 + 780 ans = 3954 av. notre ère, 1° cycle de 780 ans. Cela correspond avec 120 ans après la création d’Adam : 4074 av. notre ère – 3954 av. notre ère = 120 ans. Dans ces conditions, nous observons que le premier cycle de 780 ans dont parlait Enoch commençait lorsque Adam avait 120 ans, probablement 20 ans après la sortie du Jardin d’Eden ! C’est pourquoi ces cycles de 780 ans peuvent être appelés « ères de civilisation » de l’Histoire du Monde, lesquelles commencent avec la première civilisation, celle des fils d’Adam ! D’autres indications sont données dans le livre d’Enoch qui prouvent que les anges ont « initié » les premiers hommes, fils d’Adam. L’histoire d’Enoch est confirmée par le livre de la Genèse. Nous sommes donc arrivés à l’approche de l’Apocalypse et du retour de Jésus ; cela ne fait aucun doute au vu de l’ensemble des correspondances extraordinaires des cycles historiques, lesquels sont en parfait accord avec la chronologie biblique ! Nous devons donc nous y préparer !
Chapitre 4Enoch révèle ce qui est écrit dans le livre de l’Histoire du Monde :
Enoch, chapitre 92 :
1. Enfin Enoch commença à parler d’après un livre. 2. Et il dit : Sur les enfants de la justice, sur les élus du monde, sur la plante de la justice et de la pureté. 3. Sur toutes ces choses je m’en vais vous parler ; je vous les expliquerai toutes, mes enfants, moi qui suis Enoch. Car par les visions que j’ai eues, j’ai acquis une grande connaissance ; et il m’a été donné de lire les tables mêmes du ciel.
4. Alors Enoch (né en 3452 av. notre ère, 622 ans après la création d’Adam) commença à parler d’après un livre, et il dit : Je suis né le septième jour de la première semaine (septième siècle de la première Ere de Civilisation de 780 ans, qui va de 3954 à 3174 av. notre ère), tandis que le jugement et la justice attendaient avec patience. 5. Mais après moi, dans la seconde semaine (qui va de 3174 à 2394 av. notre ère), une grande iniquité s’élèvera (arrivée des Vigilants en 3174 av. notre ère, début du Calendrier méso-américain et de la 2° Ere de Civilisation), et la fraude pullulera sur la terre. 6. Et il y aura une première fin (Déluge en 2418 av. notre ère), et un seul homme sera sauvé (Noé, 3018 - 2068 av. notre ère).
7. Mais dès que la première semaine sera terminée (en 3174 av. notre ère, arrivée des Vigilants et début du Calendrier Méso-américain), l’iniquité s’accroîtra, et le Seigneur mettra à exécution le décret porté contre les pécheurs (Déluge en 2418 av. notre ère, 756 ans après le début de la deuxième Ere de Civilisation).
8. Ensuite, pendant la troisième semaine (3° Ere de Civilisation de 2394 à 1614 av. notre ère), un homme sera choisi (Abraham, 2066 - 1891 av. notre ère) pour être la tige d’un peuple fort et juste, et après lui la plante de la justice poussera pour jamais (semence d’Abraham).
9. Ensuite, pendant la période de la quatrième semaine (4° Ere de Civilisation de 1614 à 834 av. notre ère), les saints et les justes auront des visions (époque de la manifestation de Moïse, 1617 - 1497 av. notre ère) ; l’ordre dans les générations (d’Israël) sera établi, et on construira pour elles une demeure (Temple de Salomon fondé en 1017 av. notre ère) ; dans la cinquième semaine (5° Ere ce Civilisation de 834 à 54 av. notre ère) s’élèvera pour eux une maison glorieuse et puissante (Maison de David devenue le Royaume de Juda après la mort de Salomon, de 980 à 587 av. notre ère, et règne d’Ozias de 810 à 758 av. notre ère ; construction du second Temple après le retour d’Exil).
10. Puis, pendant la sixième semaine (6° Ere de Civilisation de 54 av. notre ère à 727 de notre ère), tous ceux qui s’y trouveront seront enveloppés de ténèbres ; et leurs cœurs oublieront la sagesse, et un homme sera enlevé d’au milieu d’eux (Jésus-Christ, fils de Dieu, né en 7 av. notre ère, mort crucifié puis ressuscité en 27 de notre ère). 11. Pendant cette même période, la maison puissante et magnifique sera la proie des flammes (destruction de Jérusalem par les armées romaines en 70 de notre ère), et la race des élus (Juifs) sera dispersée par toute la terre.
12. Ensuite, pendant la septième semaine (7° Ere de Civilisation de 727 à 1507 de notre ère), il sortira une race perverse, dont les œuvres nombreuses seront des œuvres d’iniquité (période de la division en deux parties de l’ancien Empire romain entre chrétiens et musulmans). Alors les justes et les élus seront récompensés, et il leur sera donné une connaissance sept fois plus grande sur toutes les parties de la création (connaissance de la Parole de Dieu).
13. Viendra ensuite une autre semaine (8° Ere de Civilisation de 1507 à 2287 de notre ère), la semaine de la justice, qui possédera le glaive du jugement et de la justice, pour frapper tous les oppresseurs (accomplissement de l’Apocalypse de 2020 à 2027 et Retour de Jésus en 2027, début du Millenium). 14. Alors les pécheurs seront livrés entre les mains des justes, qui, pendant cette semaine, se mériteront une demeure par leur justice, et bâtiront un palais au grand Roi (règne du Messie Jésus).
Après cette semaine viendra la neuvième (9° Ere de Civilisation de 2287 à 3067 de notre ère), pendant laquelle viendra le Jugement Universel (fin du Millenium en 3027, 1000 ans après 2027, année du retour de Jésus, et Jugement Dernier entre 3027 et 3067). 15. Les œuvres de l’impie s’effaceront de dessus la terre. Le monde sera condamné à la destruction (fin du Monde), et tous les hommes marcheront dans la voie de la justice.
16. Puis, dans la septième partie de la dixième semaine (septième siècle de la 10° Ere ce Civilisation de 3067 à 3847 de notre ère), sera le Jugement éternel, qui sera exercé contre les Vigilants, et le ciel tout entier germera au milieu des anges (Nouvelle Jérusalem).
Note : Il est possible qu’il y ait eu une confusion de la part des copistes, car il semble que l’expression suivante : “dans la septième partie de la dixième semaine” aurait mal été traduite. Il fallait sans doute la traduire par : “dans la septième partie de la neuvième semaine”, c’est-à-dire entre les années 2987 à 3087 ap. notre ère, dans le septième siècle de la neuvième Ere de Civilisation. Les copistes auraient ajouté par erreur une nouvelle “semaine”, car en réalité il n’y aurait aucune différence entre le “Jugement Dernier” de la neuvième semaine et le “Jugement Eternel” de la dixième semaine, mais il s’agirait de la même. Dans le cas contraire, les anges déchus seraient jugés plus tardivement que dans la période du « jugement dernier » qui ne concernerait que les êtres humains.
17. Le premier ciel sera enlevé et s’évanouira, le deuxième apparaîtra (Nouvelle Jérusalem), et toutes les puissances célestes brilleront d’une splendeur sept fois plus grande (gloire de Dieu). Puis viendront beaucoup d’autres semaines, dont le nombre est incalculable, qui se passeront dans la sainteté et la justice. 18. Et il n’y aura alors plus de péchés.
19. Qui parmi les enfants des hommes entendrait la voix du Saint et n’en serait pas ému ? 20. Qui pourrait compter ses pensées ? Qui pourrait contempler l’œuvre de la création du ciel, comprendre ses merveilles ? 21. Il pourrait peut-être voir son âme, mais jamais son esprit. Il ne pourrait en parler sagement, ni s’élever jusqu’à sa hauteur. Qu’il regarde les limites des cieux, et il verra qu’il lui est impossible d’en atteindre l’immensité. 22. Qui des enfants des hommes pourra sonder la longueur et la largeur de la terre ? 23. A qui ont été révélées les dimensions de toutes choses ? Y a-t-il un seul homme qui puisse, par son intelligence, embrasser le ciel, sonder sa profondeur, descendre jusqu’à ses fondements ? 24. Qui sache le nombre des étoiles, et connaisse le lieu de repos de tous les luminaires ?
Chapitre 5Les quatre grandes ères de l’Histoire du Monde
Les quatre grandes ères de l’Histoire du Monde sont :
1) L’ère des fils d’Adam ; 2) L’ère des fils d’Abraham ; 3) L’ère chrétienne ; 4) Le Millenium dans la première moitié de l’ère du Verseau.
Les trois premières ères durent 2000 ans chacune et correspondent à la précession des équinoxes dans le Taureau, le Bélier et les Poissons (sur un zodiaque à 13 signes, qui comprend le “ Sphinx ” en signe supplémentaire placé entre le Lion et la Vierge, soit : 13 fois 2000 ans = 26000 ans, année précessionnelle) ; la quatrième ère, celle du Verseau, commence avec le Millenium :
1) Ere du Taureau ou des fils d’Adam : de l’an 3974 à 1974 av. notre ère ; 2) Ere du Bélier ou des fils d’Abraham : de 1974 av. notre ère à 27 de notre ère ; 3) Ere des Poissons ou Ere chrétienne : de 27 de notre ère à 2027 ; 4) Demi ère du Verseau ou Millenium : de 2027 à 3027.
C’est au milieu de l’Ere du Verseau que se termine le grand cycle de 7000 ans de l’Histoire de l’Humanité.
Il y a donc trois grandes ères et demi qui forment l’Histoire du Monde, soit :
2000 ans x 3,5 = 7000 ans.
Ces trois ères déterminent la Chronologie de l’Histoire du Monde, laquelle se divise en “Baktuns” (périodes de 400 ans), “Katuns” (périodes de 20 ans) et “Tuns” (années). Ainsi les Baktuns marquent les ères de 2000 ans :
5 x 400 ans = 2000 ans (une ère zodiacale).
7000 ans comptent 3,5 fois 2000 ans ou 17,5 fois 400 ans.
Dates des dix-huit Baktuns de l’Histoire du Monde :
3974 av. notre ère (1° Baktun et début de l’ère du Taureau à la sortie du Jardin d’Eden), 3574 (2° Baktun), 3174 (3° Baktun et début du Calendrier méso-américain), 2774 (4° Baktun), 2374 (5° Baktun), 1974 (6° Baktun et début de l’ère du Bélier), 1574 (7° Baktun), 1174 (8° Baktun), 774 (9° Baktun), 374 (10° Baktun), 27 de notre ère (11° Baktun et début de l’ère des Poissons), 427 (12° Baktun), 827 (13° Baktun), 1227 (14° Baktun), 1627 (15° Baktun), 2027 (16° Baktun et début de l’ère du Verseau, qui correspond avec la fin du Calendrier méso-américain), 2427 (17° Baktun), 2827 (18° et dernier Baktun jusqu’en 3227). Mais le dernier Baktun est interrompu à son milieu, en 3027 ou 1000 ans après le début de l’ère du Verseau (2027 à 3027).
Le Calendrier méso-américain ne compte que 13 Baktuns, lesquels s’intègrent dans ceux de l’Histoire du Monde ; ils s’inscrivent depuis l’arrivée des “Vigilants” (fils de Dieu) dont parle le Livre d’Énoch, en 3174 av. notre ère, jusqu’en 2027 de notre ère, début du Millenium. Ils s’inscrivent en outre à l’intérieur d’une série de cinq périodes de 1040 ans chacune ou “Soleils” méso-américains ; le calendrier de l’Histoire du Monde en compte sept (sept fois 1040 ans) dans le schéma des cycles historiques en analogie avec celui de l’année solaire (sept fois 52 jours). Mais le premier “Soleil” des sept commence 40 ans avant le début de la Création tandis que le septième et dernier “ Soleil ” (7°) finit 40 ans après la fin du Millenium. C’est la raison pour laquelle le Calendrier méso-américain ne compte que cinq “Soleils”, lesquels s’inscrivent tous à l’intérieur d’une période historique effective et ont la particularité de correspondre avec treize Baktuns sur l’ensemble des dix-huit : 5 x 1040 ans = 13 x 400 ans = 5200 ans.
Le Calendrier méso-américain détermine en 2006 :
12 Baktuns, 18 Katuns et 19 Tuns (soit l’an 5179 de l’Histoire méso-américaine). Mais la chronologie de l’Histoire du Monde compte 800 ans de plus ou deux Baktuns supplémentaires, si bien qu’en 2006, elle détermine : 14 Baktuns, 18 Katuns et 19 Tuns (soit l’an 5979 de l’Histoire du Monde). Il reste à déterminer la date dans l’année solaire du “ Nouvel An ” : soit le 20 janvier, car cette date est située 19 jours après le 1° janvier, à l’intersection des divisions de 30 et de 20 jours des cycles de l’année solaire, lesquels divisent l’année en six périodes d’ensoleillement de 60 jours chacune.
Chapitre 6 Les anges séduisent les filles des hommes :
Enoch, chapitre 7 :
1. Quand les enfants des hommes se furent multipliés dans ces jours, il arriva que des filles leur naquirent élégantes et belles. 2. Et lorsque les anges, les enfants des cieux, les eurent vues, ils en devinrent amoureux ; et ils se dirent les uns aux autres : choisissons-nous des femmes de la race des hommes et ayons des enfants avec elles.
3. Alors Samyaza, leur chef, leur dit : Je crains bien que vous ne puissiez accomplir votre dessein. 4. Et que je supporte seul la peine de votre crime. 5. Mais ils lui répondirent : nous vous le jurons. 6. Et nous nous lions tous par de mutuelles exécrations ; nous ne changerons rien à notre dessein, nous exécuterons ce que nous avons résolu. 7. En effet ils jurèrent et se lièrent entre eux par de mutuelles exécrations. Ils étaient au nombre de deux cents, qui descendirent sur Aradis, lieu situé près le mont Armon. 8. Cette montagne avait été appelée Armon, parce que c’est là qu’ils avaient juré et s’étaient liés par de mutuelles exécrations.
9. Voici le nom de leurs chefs : Samyaza (1), leur chef, Urakabarameel (2), Akibeel (3), Tamiel (4), Ramuel (5), Danel (6), Azkeel (7), Sarakmyal (8), Asael (9), Armers (10), Batraal (11), Anane (12), Zavebe (13), Samsaveel (14), Ertael (15), Turel (16), Yomyael (17), Arazeal (18).
Tels furent les chefs de ces deux cents anges ; et le reste étaient tous avec eux. 10. Et ils se choisirent chacun une femme, et ils s’en approchèrent, et ils cohabitèrent avec elles ; et ils leur enseignèrent la sorcellerie, les enchantements, et les propriétés des racines et des arbres. 11. Et ces femmes conçurent et elles enfantèrent des géants. 12. Dont la taille avait trois cents “pouces”, soit douze coudées (*). Ils dévoraient tout ce que le travail des hommes pouvait produire, et il devint impossible de les nourrir. 13. Alors ils se tournèrent contre les hommes eux-mêmes, afin de les dévorer. 14. Et ils commencèrent à se jeter sur les oiseaux, les bêtes, les reptiles et les poissons, pour se rassasier de leur chair et se désaltérer de leur sang. 15. Et alors la terre réprouva les méchants.
Note (*) : Trois cents “coudées” est une valeur impossible ; il y a donc eu une erreur (peut-être involontaire) de transcription des copistes ayant changé les “pouces” en “coudées”. Il est tout à fait possible que la taille des géants fut écrite à l’origine en pouces, puis traduite en coudées et que la partie intermédiaire du texte contenant les mots “ pouces ou douze ” ait été effacée. La Pyramide de Chéops fut construite avant le Déluge et, pour cette raison, la valeur de son pouce pourrait bien être aussi celle du Livre d’Enoch ; la valeur du pouce pyramidal étant de 0,0255 mètres, nous obtenons une hauteur de 7,65 mètres. Sur la base d’un pouce de 0,018 m (pour une coudée ordinaire de 0,45 mètre), nous obtenons une hauteur de 5,40 mètres. Les géants mesuraient donc en moyenne entre 5,40 et 7,65 mètres, soit environ “six mètres” de hauteur. Cette valeur est à la fois possible et très probablement vraie.
Enoch, chapitre 8 :
1. Azazyel enseigna encore aux hommes à faire des épées, des couteaux, des boucliers, des cuirasses et des miroirs ; il leur apprit la fabrication des bracelets et des ornements, l’usage de la peinture, l’art de se peindre les sourcils, d’employer les pierres précieuses, et toute espèce de teintures, de sorte que le monde fut corrompu. 2. L’impiété s’accrut ; la fornication se multiplia, les créatures transgressèrent et corrompirent toutes leurs voies.
3. Amazarak enseigna tous les sortilèges, tous les enchantements et les propriétés des racines. 4. Armers enseigna l’art de résoudre les sortilèges. 5. Barkayal enseigna l’art d’observer les étoiles. 6. Akibeel enseigna les signes (constellations ?). 7. Tamiel enseigna l’astronomie (observation des planètes ?). 8. Et Asaradel enseigna les mouvements de la lune. 9. Et les hommes sur le point de périr élevèrent leurs voix, et leurs voix montèrent jusqu’au ciel.
Chapitre 7Le Déluge :
Genèse, chapitre 6 : 1 Et il arriva quand les hommes commencèrent à se multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, 2 que les fils de Dieu virent les filles des hommes, qu’elles étaient belles, et ils se prirent des femmes d’entre toutes celles qu’ils choisirent. 3 Et l’Éternel dit : Mon Esprit ne contestera pas à toujours avec l’homme, puisque lui n’est que chair; mais ses jours seront cent vingt ans. 4 Les géants étaient sur la terre en ces jours-là, et aussi après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes et qu’elles leur eurent donné des enfants : ceux-ci furent les vaillants hommes de jadis, des hommes de renom.
Genèse, chapitre 7 : 1 Et l’Éternel dit à Noé : Entre dans l’arche, toi et toute ta maison, car je t’ai vu juste devant moi en cette génération. 2 De toutes les bêtes pures tu prendras sept par sept, le mâle et sa femelle, et des bêtes qui ne sont pas pures, deux, le mâle et sa femelle ; 3 de même des oiseaux des cieux, sept par sept, mâle et femelle, pour conserver en vie une semence sur la face de toute la terre. 4 Car encore sept jours, et je fais pleuvoir sur la terre pendant quarante jours et quarante nuits, et j’exterminerai de dessus la face de la terre tout ce qui existe [et] que j’ai fait.
Genèse, chapitre 8 : 1 Et Dieu se souvint de
Noé, et de tous les animaux et de tout le bétail, qui étaient avec lui dans
l’arche ; et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux baissèrent ;
2 et les fontaines de l’abîme et les écluses des cieux furent fermées, et la
pluie qui tombait du ciel fut retenue.
20 Et Noé bâtit un autel
à l’Éternel, et prit de toute bête pure et de tout oiseau pur, et offrit des
holocaustes sur l’autel. 21 Et l’Éternel flaira une odeur agréable; et
l’Éternel dit en son cœur : Je ne maudirai plus de nouveau le sol à cause de
l’homme, car l’imagination du cœur de l’homme est mauvaise dès sa jeunesse ;
et je ne frapperai plus de nouveau tout ce qui est vivant, comme je l’ai
fait. 22 Désormais, tant que seront les jours de la terre, les semailles et
la moisson, et le froid et le chaud, et l’été et l’hiver, et le jour et la
nuit, ne cesseront pas. Chapitre 8Commentaire :
Le mont Ararat, situé en Arménie dans la Turquie orientale, culmine à 5 165 mètres d’altitude, ce qui a fait croire pendant longtemps que le Déluge de Noé n’était qu’un mythe. Mais la présence de l’Arche de Noé sur ce mont a été signalée à plusieurs reprises : d’abord par des ouvriers turcs en 1839 et ensuite, en 1955, par les alpinistes français Navarra et De Riquier qui dégagèrent une partie de la structure en bois enfouie sous la glace ; ils ramenèrent un morceau de poutre et les analyses faites démontrèrent qu’il s’agissait d’une pièce de chêne équarrie, âgée d’environ 5 000 ans. Or le Déluge de la Genèse a eu lieu de 2418 à 2417 av. notre ère, ce qui lui faisait exactement 4 372 années d’ancienneté en 1955 (2418 av. notre ère à 1955). Depuis, il y a eu bien d’autres témoins et un film de l’Arche a même été diffusé sur FR3. Mais, après cela, cette information est restée étrangement très « occultée ».
Genèse, chapitre
7, 10-16 : Genèse, chapitre
8, 1-3 :
Le texte du Déluge fait référence à la date de naissance de Noé pour fixer un calendrier des événements du Déluge ; il apparaît que depuis le 17° jour du deuxième mois jusqu’au 17° jour du septième mois, il s’est passé un cycle précis de 150 jours. Nous remarquons en effet que nous comptons « cinq mois » (du 2° au 7° mois) mentionnés par ailleurs comme une période de « 150 jours », ce qui signifie que le calendrier de Noé comptait des mois invariables de trente jours :
5 x 30 jours = 150 jours.
Du premier jour du premier mois du 600° anniversaire de la naissance de Noé jusqu’au premier jour du dixième mois, lorsque les sommets des montagnes apparaissent vus de l’Arche, neuf mois de 30 jours se sont écoulés, soit 270 jours.
Ensuite, le premier jour du premier mois de l’an 601 de la vie de Noé, lorsque Noé ôta la toiture de l’Arche, une année de 365 jours s’était écoulée, laquelle avait commencé en même temps que le cycle de neuf mois dont nous venons de parler. Par conséquent, depuis la fin du cycle de 9 mois, ou de 270 jours, jusqu’au moment où Noé fêtait son 601° anniversaire, il s’était passé 95 jours :
365 jours – 270 jours = 95 jours.
Or, dans ces 95 jours, nous avons trois mois de trente jours et cinq jours additionnels, lesquels sont les cinq jours « épagomènes » du calendrier égyptien qui définit les périodes sothiaques de 1460 ans :
Ø Année du calendrier égyptien : 12 x 30 jours = 360 jours ; 360 jour + 5 jours = 365 jours = une année solaire égyptienne. Ø Année du calendrier de Noé : 95 jours = 30 jours + 30 jours + 30 jours + 5 jours ; 270 jours [9 x 30 jour] + 95 jours = 365 jours = 360 jours + 5 jours « épagomènes ».
La date citée de la sortie de l’Arche était le 27° jour du 2° mois de l’an 601 de la vie de Noé, soit un an et dix jours (ou 375 jours) depuis le 17° jour du même 2° mois de l’année précédente, lorsque commençait le Déluge. Le Déluge a duré 375 jours (un an et 10 jours) jusqu’à la sortie de l’Arche. 375 jours font aussi 12,5 x 30 jours.
Il y a eu en tout : 1°) Douze mois de trente jours, soit 360 jours (12 x 30 jours = 360 jours) : 2°) Cinq jours additionnels, soit 365 jours (360 jours + 5 jours = 365 jours) ; 3°) Dix jours qu’il faut à nouveau ajouter, car ils séparent le 27° jour du 17° jour du même « deuxième mois » de l’année (le 27° jour du 2° mois – le 17° jour du 2° mois = 10 jours), soit 375 jours (365 jours + 10 jours = 375 jours).
Soit : 360 jours + 5 jours + 10 jours = 375 jours.
Récapitulatif chronologique :
a) L’an 600, le 2° mois (Paophi), le 10° jour (de la vie de Noé), sept jours avant le Déluge, Noé est averti (il avait alors 600 ans et 39 jours) : « 4 Car encore sept jours, et je fais pleuvoir sur la terre pendant quarante jours et quarante nuits, et j’exterminerai de dessus la face de la terre tout ce qui existe et que j’ai fait. »
b) L’an 600, le 2° mois (Paophi), le 17° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 46 jours), le Déluge commence : « 5 Et Noé fit selon tout ce que l’Éternel lui avait commandé. 6 Et Noé était âgé de six cents ans quand le déluge eut lieu et qu’il vint des eaux sur la terre. 10 Et il arriva, au bout de sept jours, que les eaux du déluge furent sur la terre. 11 L’an six cent de la vie de Noé, au second mois, le dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les fontaines du grand abîme se rompirent et les écluses des cieux s’ouvrirent ; 12 et la pluie fut sur la terre quarante jours et quarante nuits. 13 En ce même jour-là, Noé, et Sem et Cham et Japhet, fils de Noé, et la femme de Noé, et les trois femmes de ses fils avec eux, entrèrent dans l’arche. »
c) L’an 600, le 3° mois (Athyr), le 27° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 86 jours), fin de la montée des 40 jours premiers jours du Déluge : « 17 Et le déluge fut sur la terre quarante jours ; et les eaux crûrent et soulevèrent l’arche, et elle fut élevée au-dessus de la terre. 18 Et les eaux se renforcèrent et crûrent beaucoup sur la terre ; et l’arche flottait sur la face des eaux. 19 Et les eaux se renforcèrent extraordinairement sur la terre ; et toutes les hautes montagnes qui étaient sous tous les cieux furent couvertes. 20 Les eaux se renforcèrent de quinze coudées par-dessus, et les montagnes furent couvertes. 21 Et toute chair qui se mouvait sur la terre expira, tant les oiseaux que le bétail et les bêtes des champs et tout ce qui fourmille sur la terre, et tout homme. »
d) L’an 600, le 7° mois (Phaménoth), le 17° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 196 jours), l’Arche se pose sur l’Ararat : 150 jours sont passés depuis le début du Déluge. « 24 Et les eaux se renforcèrent sur la terre, cent cinquante jours. 3 Et les eaux se retirèrent de dessus la terre, allant et se retirant ; et les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours. 4 Et l’arche reposa sur les montagnes d’Ararat, au septième mois, au dix-septième jour du mois. »
e) L’an 600, le 10° mois (Payni), le 1° jour (de la vie de Noé qui avait 600 ans et 270 jours), les sommets des montagnes apparaissent vus de l’Arche : 90 jours (3 mois après le 7° mois) - 16 jours (différence du 1° jour au 17° jour) = 74 jours ; 74 jours + 150 jours (déjà passés) = 224 jours. Il y a donc 224 jours depuis le début du Déluge jusqu’à ce que les sommets des montagnes apparaissent vus de l’Arche. « 5 Et les eaux allèrent diminuant jusqu’au dixième mois ; au dixième mois, le premier jour du mois, les sommets des montagnes apparurent. »
f) Quarante jours (11° jour d’Epiphi, 11° mois) après « l’an 600, 10° mois, 1° jour (de la vie de Noé) », le corbeau et la colombe sont lâchés (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) : 224 jours + 40 jours = 264 jours qui s’étaient passés depuis le commencement du Déluge jusqu’à ce que le corbeau et la colombe soient lâchés. « 6 Et il arriva, au bout de quarante jours, que Noé ouvrit la fenêtre de l’arche qu’il avait faite ; 7 et il lâcha le corbeau, qui sortit, allant et revenant jusqu’à ce que les eaux eussent séché de dessus la terre. »
g) Quarante sept jours (18° jour d’Epiphi, 11° mois) après « l’an 600, 10° mois, 1° jour (de la vie de Noé) », la colombe est lâchée pour la deuxième fois (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours ; 310 jours + 7 jours = 317 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) : 224 jours + 40 jours + 7 jours = 271 jours qui s’étaient passés depuis le commencement du Déluge jusqu’à ce que la colombe soit à nouveau lâchée. « 10 Et il attendit encore sept autres jours, et il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche. 11 Et la colombe vint à lui au temps du soir, et voici, dans son bec, une feuille d’olivier arrachée. Et Noé sut que les eaux avaient baissé sur la terre. »
h) Cinquante-quatre jours (25° jour d’Epiphi, 11° mois) après « l’an 600, 10° mois, 1° jour (de la vie de Noé) », la colombe ne revient plus (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours ; 310 jours + 7 jours = 317 jours ; 317 jours + 7 jours = 324 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) : 224 jours + 40 jours + 7 jours + 7 jours = 278 jours qui s’étaient passés depuis le commencement du Déluge jusqu’à ce que la colombe soit lâchée pour la troisième fois et ne revienne plus. « 12 Et il attendit encore sept autres jours, et il lâcha la colombe, et elle ne revint plus de nouveau vers lui. »
i) L’an 601, le premier mois (Thot), le 1° jour du mois, la couverture de l’Arche est ôtée (cela faisait : 9 x 30 = 270 jours ; 270 jours + 40 jours = 310 jours ; 310 jours + 7 jours = 317 jours ; 317 jours + 7 jours = 324 jours ; 324 jours + 41 jours = 365 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) : L’an 600, le 2° mois, le 17° jour (de la vie de Noé), le Déluge commence : cela faisait 46 jours (30 jours + 16 jours passés = 46 jours) après la date anniversaire de Noé. Il y a donc : 365 jours – 46 jours = 319 jours passés après le début du Déluge lorsque Noé retire la couverture de l’Arche. Cela se produisit 41 jours après le troisième départ de la colombe (319 jours – 278 jours). « 13 Et il arriva, l’an six cent un (de la vie de Noé), au premier mois, le premier jour du mois, que les eaux furent séchées de dessus la terre ; et Noé ôta la couverture de l’arche et regarda, et voici, la face du sol avait séché. »
j) L’an 601, le 2° mois, le 27° jour du mois, la terre est sèche (cela faisait 56 jours passés depuis la date anniversaire de la vie de Noé) : L’an 600, le 2° mois, le 17° jour (de la vie de Noé), le Déluge commence : il y a donc 365 jours + 10 jours (différence du 17° jour au 27° jour) = 375 jours passés après le début du Déluge. Cela se produisit 56 jours après le retrait de la couverture de l’Arche (375 jours – 319 jours). « 14 Et au second mois, le vingt-septième jour du mois, la terre fut sèche. »
Cycles du Déluge en nombre de jours : 40 jours (montée des eaux) + 110 jours (jusqu’à ce que l’Arche se pose sur le mont Ararat) + 74 jours (jusqu’à ce que les sommets des montagnes apparurent) + 40 jours (jusqu’à ce que le corbeau soit lâché et ne revienne pas) + 7 jours (jusqu’à ce que la colombe soit relâchée et revienne avec une feuille d’olivier dans son bec) + 7 jours (jusqu’à ce que la colombe soit à nouveau relâchée et ne revienne plus) + 41 jours (jusqu’à ce que la couverture de l’arche soit retirée) + 56 jours (jusqu’à ce que la terre soit sèche) = 375 jours.
Soit trois périodes (150 jours + 128 jours + 97 jours) :
a) Les 150 premiers jours (montée des eaux qui couvrent la terre jusqu’à ce que l’Arche se pose sur l’Ararat) : 40 jours = 30 jours + 10 jours ; 110 jours = 30 jours + 30 jours + 30 jours + 20 jours. 1° total : 40 jours + 110 jours = 150 jours.
b) Les 128 jours suivants (jusqu’à ce que la colombe ne revienne plus) : 74 jours = 30 jours + 30 jours + 14 jours ; 40 jours = 30 jours + 10 jours ; 14 jours = 7 jours + 7 jours. 2° total : 150 jours + 74 jours + 40 jours + 14 jours = 278 jours.
c) Les 97 derniers jours (jusqu’à ce que la terre soit sèche) : 41 jours = 30 jours + 11 jours ; 56 jours = 30 jours + 26 jours. 3° total : 278 jours + 41 jours + 56 jours = 375 jours
Il apparaît que les phases du Déluge se divisent en trois périodes : une première période de 150 jours (5 mois), une seconde période de 128 jours (4 mois et 8 jours) et une troisième période de 97 jours (3 mois et 7 jours), ce qui fait au total 375 jours (12,5 x 30 jours) ou 360 jours et 15 jours, soit :
Un premier cycle de 360 jours (12 x 30 jours) auquel il faut ajouter 5 jours supplémentaires pour faire une année solaire de 365 jours, laquelle est augmentée de 10 jours pour obtenir les 375 jours (12,5 x 30 jours) du début du Déluge jusqu’à la sortie de l’Arche.
Les mois de trente jours ne sont pas comptés à partir du premier jour du Déluge, mais à partir du jour de la date de l’anniversaire de Noé, ce qui a rendu le calcul chronologique du Déluge plus difficile. Il est possible que l’anniversaire de Noé tombait le premier jour du premier mois du calendrier égyptien, c’est-à-dire le 1° Thot. Dans ce cas, la reconstitution de toutes les dates du Déluge est devenue possible. Par ailleurs, la précision remarquable de ces dates, reconstituées grâce au texte de la Genèse, permet de penser que ces événements se sont réellement produits, conformément à ce qui est écrit. Cette double correspondance, d’une part avec le calendrier égyptien et d’autre part avec les données de la Genèse, peut être considérée comme une « preuve par neuf » de l’accomplissement réel du Déluge à l’époque de Noé.
Reconstitution des dates du Déluge :
L'an 600 de la vie de Noé (2418 av. notre ère), le 2° mois (Paophi), le 10° jour : Noé est prévenu de l’arrivée du Déluge une semaine plus tôt. Le 2° mois (Paophi), le 17° jour : Début du Déluge. Le 3° mois (Athyr), le 27° jour : Montée des eaux pendant les quarante premiers jours du Déluge. Le 7° mois (Phaménoth), le 17° jour : L'Arche se posa sur le mont Ararat 110 jours après la fin de la montée des eaux ou 150 jours après le début du Déluge. Le 10° mois (Payni), le 1° jour : Les sommets des montagnes apparaissent vus de l'Arche (apparition des terres comme pendant la Création) 74 jours après l’échouage de l’Arche sur l’Ararat. 224 jours sont passés après le début du Déluge. Le 11° mois, Epiphi, le 11° jour : Le corbeau et la colombe sont lâchés 40 jours après l’apparition des sommets des montagnes, mais seule la colombe revient. 264 jours sont passés après le début du Déluge. Le 11° mois, Epiphi, le 18° jour : La colombe relâchée sept jours plus tard revient avec une feuille d'olivier dans son bec. 271 jours sont passés après le début du Déluge. Le 11° mois, Epiphi, le 25° jour : La colombe relâchée (pour la troisième fois) après une semaine ne revient plus. 278 jours sont passés après le début du Déluge. L’an 601 de la vie de Noé (2417 av. notre ère), le premier mois (Thot), le 1° jour : Noé retire la couverture de l'Arche 41 jours après le dernier départ de la colombe. 319 jours sont passés après le début du Déluge. Le 2° mois, le 27° jour : Sortie de l'Arche 56 jours après avoir retiré la couverture de l’Arche. 375 jours sont passés après le début du Déluge.
Chapitre 9Vision d’Enoch sur tout l’avenir du monde :
Enoch raconte sa deuxième vision à son fils Mathusala : Adam et ses fils. Chapitre 841. Ensuite j’eus une autre vision, que je vais encore t’expliquer, ô mon fils. Et Enoch se leva et dit à son fils Mathusala : Laisse-moi t’entretenir, ô mon fils. Ecoute la parole de ma bouche, et prête l’oreille à la vision et au songe de ton père. Avant d’épouser ta mère (donc avant l’année 3387 av. notre ère, date de la naissance de son fils), j’eus une vision dans mon lit. 2. Voici un taureau (ère zodiacale du Taureau) sortant de la terre (Adam, 4074 - 3144 av. notre ère). 3. Et ce taureau était blanc. 4. Ensuite sortit une génisse (Eve), et avec elle deux jeunes veaux, dont l’un était noir (Caïn) et l’autre rouge (Abel qui fut tué). 5. Le noir frappa le rouge et le poursuivait par toute la terre. 6. Dès ce moment je n’aperçus plus le veau rouge (tué par le noir) ; mais le noir survint à une extrême vieillesse, et il y avait avec lui une génisse. 7. Ensuite je vis beaucoup de taureaux nés de ce couple, qui leur ressemblaient et qui les suivaient. 8. Et la première génisse (Eve) sortit de la présence du premier taureau (Adam) ; et elle chercha le veau rouge, mais elle ne le trouva point. 9. Et elle poussait des gémissements lamentables, en le cherchant. 10. Et elle continua ses cris jusqu’à ce que le taureau s’approcha d’elle ; dès ce moment elle cessa de se plaindre et de gémir. 11. Et puis elle mit au monde un taureau blanc (Seth, 3944 - 3032 av. notre ère). 12. Et après celui-ci beaucoup d’autres taureaux et d’autres génisses. 13. Je vis encore dans mon songe un bœuf blanc (Enosch, 3839 - 2934 av. notre ère), qui grandit de la même manière, et finit par devenir un grand bœuf blanc. 14. Et de lui sortirent beaucoup d’autres bœufs qui lui étaient semblables. 15. Et ils commencèrent à produire d’autres bœufs blancs, qui leur étaient semblables, et ils se succédaient les uns aux autres.
Enoch raconte sa deuxième vision à son fils Mathusala : Chute des Vigilants. Chapitre 851. Je levai encore les yeux, et je vis le ciel au-dessus de ma tête. 2. Et voici qu’une étoile tomba du ciel (ange déchu). 3. Et elle se dressait au milieu de ces taureaux et paraissait paître avec eux. 4. Ensuite je vis d’autres taureaux grands et noirs (fils d’Adam inquiets et perturbés) ; et voici qu’ils changeaient sans cesse de pâturages et d’étables, lorsque leurs jeunes veaux commencèrent à se lamenter avec eux ; et en regardant encore au ciel, je voyais beaucoup d’autres astres (Vigilants) qui redescendaient et se précipitaient vers cette étoile unique (Chef des Vigilants). 5. Au milieu des jeunes veaux, les taureaux étaient avec eux et paissaient avec eux. 6. Je regardai et j’admirai ces choses, et voici que les taureaux commencèrent à entrer en feu et à monter sur les génisses ; celles-ci ayant conçu, mirent au monde des éléphants (géants), des chameaux (êtres difformes) et des ânes (êtres “ tarés ” parmi les fils monstrueux des Vigilants). 7. Et les taureaux étaient épouvantés de cette génération monstrueuse, et aussitôt ils se mirent à les mordre et à les frapper de leurs cornes. 8. Et les éléphants (géants) dévorèrent les taureaux, et voici que tous les enfants de la terre frémissaient à ce spectacle et fuyaient épouvantés.
Chapitre 861. Je les regardai encore, et je les vis se frapper les uns les autres, se dévorer (guerres), et j’entendis la terre qui en gémissait. Alors je tournais une seconde fois mes regards vers le ciel, et dans une seconde vision, je vis sortir des hommes semblables à des hommes blancs (anges fidèles à Dieu). Il y en avait un et trois autres qui l’accompagnaient (ceux qui rendirent visite à Enoch). 2. Ces trois hommes qui sortirent les derniers, me prirent par la main, et m’élevant au-dessus de la terre et de ses habitants, me conduisirent dans un lieu élevé (station spatiale). 3. Et de là ils me montrèrent une autre tour environnée de collines plus basses (c’est-à-dire à l’intérieur d’un vaisseau spatial) ; et ils me dirent : Reste ici, jusqu’à ce que tu voies ce qui doit arriver par ces éléphants, ces chameaux et ces ânes, ces astres (anges déchus) et toutes ces génisses (épouses des Vigilants).
Chapitre 871. Alors j’aperçus celui de ces quatre hommes blancs (anges) qui était sorti le premier. 2. Et il saisit la première étoile qui était tombée du ciel (chef des Vigilants). 3. Et il lui lia les pieds et les mains, et la jeta dans une vallée, vallée étroite, profonde, horrible et ténébreuse. 4. Alors un des quatre tira un glaive et le donna aux éléphants (géants), aux chameaux (êtres difformes) et aux ânes (êtres “ tarés ”), qui commencèrent à s’en frapper mutuellement ; et toute la terre en frémit (fils des Vigilants en guerre les uns contre les autres). 5. Et dans ma vision, voici : je vis un des quatre hommes (anges) qui étaient descendus du ciel (et non tombés), qui rassembla et saisit toutes les grandes étoiles (anges déchus), dont les parties sexuelles étaient semblables aux parties sexuelles des chevaux, et il les jeta toutes, pieds et mains liés, dans les cavernes de la terre.
Enoch raconte sa deuxième vision à son fils Mathusala : Noé et le Déluge. Chapitre 881. Alors un des quatre hommes (anges) s’approcha des autres taureaux, et leur enseigna des mystères tels, qu’ils en tremblaient (annonce du Déluge). Et un homme naquit (Noé), et il bâtit un grand navire (l’Arche de Noé). Il habitait dans ce navire, et avec lui trois taureaux (Sem, Cham et Japhet [2516 - 1916 av. notre ère]) et une couverture se fit au-dessus d’eux (l’Arche fut fermée et le Déluge commença en 2418 av. notre ère et dura pendant une année entière). 2. Je levai de nouveau mes regards au ciel, et j’aperçus une grande voûte (céleste) ; et il y avait au-dessus sept cataractes (cyclones ?) qui versaient des torrents de pluie dans un village (cité d’avant le Déluge). 3. Je regardai encore, et voici que les fontaines de la terre (rivières et fleuves en crues) se répandaient sur la terre dans ce village (en Mésopotamie, lieu d’habitation des fils d’Adam). 4. Et l’eau commença à tourbillonner et à monter sur la terre, en sorte que je ne pouvais plus apercevoir ce village, parce qu’il était tout couvert d’eau. 5. Il y avait en effet beaucoup d’eau, de ténèbres et de nuages ; et voici que la hauteur de l’eau surpassait la hauteur de tous les villages (inondation de toute la Mésopotamie). 6. L’eau les couvrait en entier, et enveloppait la terre. 7. Et tous les taureaux qui y étaient réunis furent submergés et périrent dans les eaux. 8. Mais le navire flottait sur la surface de ces mêmes eaux. Cependant tous les taureaux (hommes), les éléphants (géants), les chameaux (êtres difformes) et les ânes (êtres “ tarés ”), et les troupeaux périssaient dans cette immense inondation ; ils disparaissaient engloutis, et je ne pouvais plus les voir dans l’abîme d’où ils ne pouvaient plus se retirer. 9. Je regardai encore, et voici les cataractes qui cessèrent de tomber d’en haut, et les fontaines de la terre de couler, et les abîmes (fonds des mers) s’entrouvrirent. 10. Et les eaux s’y précipitèrent (reflux des eaux), et la terre apparut. 11. Et le navire s’arrêta sur la terre (sur le mont Ararat en Arménie dont la hauteur s’élève à 5165 mètres), les ténèbres se dissipèrent et la lumière apparut. 12. Alors le bœuf blanc (Noé, 3018 - 2068 av. notre ère), qui avait été fait homme (rendu semblable aux anges), sortit de l’Arche, et avec lui trois taureaux (Sem, Cham et Japhet [2516 - 1916 av. notre ère]). 13. Et un des trois taureaux était blanc (Japhet, père des Européens), et semblable à un bœuf ; un autre était rouge (Sem) comme du sang (père des Sémites), et le troisième était noir (Cham, père des Africains) ; et le taureau blanc se retira des autres (émigration indo-européenne). 14. Et les bêtes des champs, et les oiseaux commencèrent de se multiplier. 15. Et les différentes espèces de ces animaux se rassemblèrent (à Babel), les lions, les tigres, les loups, les chiens, les sangliers, les renards, les chameaux et les porcs. 16. Les sirets, les milans, les vautours, les congas et les corbeaux (les descendant des fils de Noé sont comparés à des animaux). 17. Et parmi eux naquit un bœuf blanc (Abraham, 2066 - 1891 av. notre ère). 18. Et ils commencèrent à se mordre les uns les autres (guerres) ; et le bœuf blanc (Abraham), qui était né parmi eux, engendra un onagre (Ismaël) et un bœuf blanc (Isaac), et ensuite plusieurs onagres (autres fils d’Abraham dispersés au Moyen-Orient). Et le bœuf blanc (Isaac) qui fut aussi engendré par lui, engendra à son tour un sanglier noir (Esaü) et une brebis blanche (Jacob, qui deviendra Israël). 19. Le sanglier (Esaü) engendra beaucoup d’autres sangliers. 20. Et la brebis (Jacob) engendra douze autres tribus (les douze tribus d’Israël). 21. Quand ces douze brebis furent grandes, elles en vendirent l’un d’entre elles (Joseph) à des ânes. 22. Et les ânes vendirent la brebis à des loups (Egyptiens). 23. Et elle grandissait parmi eux. 24. Alors le Seigneur amena les autres brebis (fils d’Israël qui avaient vendu Joseph) pour habiter avec la première (en Egypte) et paître avec elle au milieu des loups (Egyptiens). 25. Et elles se multiplièrent, et leurs pâturages étaient en abondance (dans le Delta du Nil). 26. Mais les loups commencèrent à les épouvanter et à les persécuter (les Egyptiens asservissent les Hyksos ou Hébreux, env. 1670 - 1560 av. notre ère, XV° et XVI° dynasties égyptiennes), et ils exterminèrent leurs petits (jetés au fleuve). 27. Et ils les placèrent dans les profondeurs d’un grand fleuve (le Nil). 28. Alors les brebis commencèrent à se lamenter à cause de la perte de leurs petits, et à se tourner vers le Seigneur ; une d’elles (Moïse, 1617 - 1497 av. notre ère) cependant parvint à s’échapper et se retira (en 1577 av. notre ère) parmi les onagres (dans le Sinaï). 29. Et je vis les brebis gémissant, priant et implorant le Seigneur. 30. De toutes leurs forces, jusqu’à ce que le Seigneur descendit à leurs cris du haut de son séjour céleste et daignât les visiter. 31. Et il appela la brebis (Moïse), qui avaient échappé à la dent des loups, et lui enjoignit d’aller trouver ces loups meurtriers, et de les avertir de ne plus offenser les brebis. 32. Alors la brebis alla trouver les loups, forte de la parole du Seigneur, et une autre brebis (Aaron) vint au-devant de la première et marcha avec elle. 33. Et toutes deux étant entrées dans la demeure des loups (Egypte) leur défendirent de persécuter encore les brebis. 34. Ensuite je vis les loups opprimant de plus en plus le troupeau de brebis. Et les brebis crièrent encore vers le Seigneur, et le Seigneur descendit au milieu d’elles. 35. Et il commença à exterminer les loups (plaies d’Egypte), qui hurlaient ; mais les brebis gardaient le silence et ne poussaient plus de cris. 36. Et voici que je vis qu’elles émigrèrent du pays des loups (Exode en 1537 av. notre ère). Les yeux de ces loups étaient aveuglés, et ils sortirent et ils poursuivirent les brebis de toutes leurs forces (armées). Mais le Seigneur des brebis marchait avec elles et les conduisait. 37. Et toutes les brebis le suivaient. 38. Son visage était terrible ; son aspect brillant et magnifique. Cependant les loups commencèrent à poursuivre les brebis, jusqu’à ce qu’ils les eurent atteintes au bord de la grande mer (Rouge). 39. Alors la mer fut divisée, et les eaux se tinrent de chaque côté, comme un mur. 40. Et le Seigneur des brebis, qui les conduisait, se plaça entre elles et les loups (nuée ardente). 41. Cependant les loups n’apercevaient point les brebis (cachées par la nuée), mais ils les poursuivaient jusqu’au milieu de la mer, et alors les eaux se refermèrent derrière eux. 42. Mais dès qu’ils virent le Seigneur, ils se retournèrent pour fuir de devant sa face. 43. Mais alors les eaux se réunirent d’après les lois naturelles ; et elles engloutirent les loups. Et je vis tous ceux qui avaient poursuivi les brebis, submergés dans les flots. 44. Mais pour les brebis, elles passèrent la mer, et s’avancèrent dans ce désert (le Sinaï) qui n’avait ni arbre, ni eau, ni verdure. Et elles commencèrent à ouvrir les yeux et à voir. 45. Et je vis le Seigneur des brebis vivre avec elles, et leur fournir les eaux nécessaires, 46. Avec la brebis (Moïse) qui conduisait les autres. 47. Et cette brebis monta sur le sommet d’un rocher élevé (mont Sinaï), et le Seigneur des brebis l’envoya vers les autres. 48. Et je vis le Seigneur de ces brebis au milieu d’elles ; et son visage était sévère et terrible. 49. Et dès qu’elles l’eurent aperçu, les brebis furent épouvantées. 50. Et toutes tremblantes elles envoyèrent la brebis qui les conduisait (Moïse), et celle qui était avec elle (Aaron), et elles lui disaient : Nous ne pouvons ni rester devant le Seigneur, ni le regarder en face. 51. Alors la brebis (Moïse), qui les conduisait, remonta de nouveau sur le sommet de la montagne. 52. Et les autres brebis commencèrent à être aveuglées, et à s’égarer hors de la voie que leur avait montrée la brebis. Mais celle-ci n’en savait rien. 53. Et le Seigneur était courroucé contre elles ; et quand la brebis (Moïse) apprit ce qui se passait au pied de la montagne, 54. Elle en descendit à la hâte, et s’étant approchée d’elles, elle en trouva beaucoup, 55. Qui étaient aveuglées, 56. Et qui avaient quitté leur voie. Et quant les autres brebis l’aperçurent, elles craignaient et tremblaient en sa présence. 57. Et elles désiraient revenir à leur étable (Egypte). 58. Alors cette brebis, conduisant les autres brebis avec elles, s’approcha de celles qui s’étaient égarées. 59. Et elle commença à les frapper ; et elles étaient épouvantées en sa présence. Alors elle ramena au bercail celles qui s’étaient égarées. 60. Je vis aussi dans une vision, que cette brebis se faisait homme (semblable à un ange), et il bâtit au Seigneur une bergerie (Tabernacle), et il les y établit. 61. Je vis encore tomber une brebis (Aaron) qui était venue au-devant de celle qui était le conducteur des autres. Je vis enfin périr (dans le désert du Sinaï pendant 40 ans, de 1537 à 1497 av. notre ère) un grand nombre d’autres brebis, leurs petits grandir à leur place, entrer dans un pâturage nouveau (côté oriental de la Palestine) et venir au bord d’un fleuve (le Jourdain). 62. Et la brebis qui les avait conduites (Moïse) et qui était devenue homme, se sépara d’elles et mourut (en 1497 av. notre ère). 63. Et toutes les brebis la cherchaient, et l’appelaient avec des cris lamentables. 64. Je vis aussi qu’elles cessèrent de la pleurer, et qu’elles franchirent les eaux du fleuve (le Jourdain). 65. Là s’élevèrent d’autres brebis, pour remplacer celles qui étaient mortes, et qui les avaient conduites auparavant (Josué prend la direction d’Israël pour conquérir la Palestine). 66. Enfin je les vis entrer dans ce lieu fortuné, dans une terre de bénédiction et de joie. 67. Et elles s’y rassasiaient ; et leurs bergeries étaient élevées sur cette terre bienheureuse, et leurs yeux étaient tantôt ouverts, tantôt aveuglés, jusqu’à ce qu’une brebis se levât au milieu d’elles, et les conduisit de telle sorte qu’elle les ramena toutes et leur ouvrit les yeux (temps des Juges pendant 397 ans, de Josué au roi Saül, soit de 1497 à 1100 av. notre ère). 68. Mais les chiens, les renards et les sangliers (peuples autour de la Palestine) commencèrent à les dévorer, jusqu’à ce qu’une autre brebis devint la ruine du troupeau, et le Bélier (roi Saül, roi d’Israël de 1100 à 1060 av. notre ère) qui les conduisit. Ce bélier (royaume d’Israël) commença en effet à frapper de ses cornes les chiens, les renards et les sangliers, et à les exterminer tous. 69. Mais la première brebis (le Juge Samuel) en ouvrant les yeux vit la gloire du Bélier pâlir et s’éteindre. 70. Car il commença à frapper aussi les brebis, à les persécuter, et à oublier toute sa dignité. 71. Alors le Seigneur envoya cette première brebis (Samuel) à une autre brebis (David), pour l’élever comme le “ Bélier ” et le “ conducteur du troupeau ” en place de celle qui a terni sa gloire. 72. Elle y alla et lui parla et l’institua “ Bélier ” (roi) ; et les chiens (Philistins) ne cessaient de vexer les brebis. 73. Et le premier Bélier (Saül) persécutait le second (David). 74. Alors celui-ci se leva, et s’enfuit de devant la face du premier Bélier. Et je vis des chiens (Philistins) qui maltraitaient ce premier Bélier (Saül). 75. Mais le second se leva (David, roi d’Israël de 1060 à 1020 av. notre ère), et il conduisit les jeunes brebis. 76. Et il engendra beaucoup d’autres brebis, mais enfin il succomba. 77. Et il eut pour successeur un jeune Bélier qui devint le chef et le conducteur du troupeau (Salomon, roi d’Israël de 1020 à 980 av. notre ère). 78. Et sous lui, les brebis croissaient et se multipliaient. 79. Et tous les chiens, les renards et les sangliers le craignaient et fuyaient de devant lui. 80. Car ce Bélier frappait et mettait en déroute toutes les bêtes féroces, en sorte qu’il leur était désormais impossible d’opprimer les brebis ou d’en ravir une seule. 81. Et la bergerie devint grande et magnifique, et on y éleva une haute Tour (Temple de Salomon fondé en 1017 av. notre ère) au moyen de ces brebis. 82. La bergerie (palais du roi) était peu élevée, mais la Tour était fort haute. 83. Et le Seigneur des brebis se plaça en cette Tour, et voulut qu’on lui dressât une table magnifique. 84. Mais je vis bientôt que les brebis commencèrent à errer de nouveau, à suivre diverses routes et à abandonner leur bergerie. 85. Et le Seigneur en appela quelques-unes (les Prophètes) et les envoya vers les autres. 86. Mais celles-ci commencèrent à tuer les premières (les Prophètes sont persécutés). Une d’elle cependant parvint à éviter le châtiment dont on la menaçait (prophète Elie), et prenant la fuite, prêcha contre ceux qui voulaient la tuer. 87. Et le Seigneur des brebis la délivra de leurs mains, la fit monter et asseoir (enlèvement d’Elie) auprès de moi (Enoch) et y rester.
Note : Nous remarquons ici qu’Enoch et Elie ont tous deux été enlevés et sont devenus les “ Deux Témoins ” dont parle l’Apocalypse, ceux-là mêmes qui devront revenir pendant les événements apocalyptiques précédant le retour de Jésus.
88. Il envoya encore à ces brebis prévaricatrices de ses commandements, d’autres brebis (autres prophètes), pour avoir des témoins contre elles. 89. Je vis encore que ces brebis, en abandonnant le Seigneur, et la Tour élevée en son honneur, erraient en aveugles en des régions inconnues (dispersion en 721 av. notre ère des dix tribus d’Israël en Assyrie, lesquelles devinrent ensuite un peuple errant, le peuple Tzigane). 90. Enfin je vis le Seigneur lui-même se venger, car il en faisait un grand carnage ; mais elles crièrent vers lui ; alors il abandonna son Temple (prise de Jérusalem en 587 av. notre ère par le roi de Babylone) et les laissa en la puissance des lions (Babyloniens), des tigres (Grecs), des loups (Egyptiens), des renards et de toute espèce de bêtes. 91. Et ces bêtes commencèrent à les déchirer. 92. Je vis aussi que le Seigneur, qu’elles avaient abandonné, les livrait à des lions féroces et cruels, et à toutes espèces de bêtes. 93. Alors je criai de toutes mes forces, et j’implorais le Seigneur pour ces brebis que dévoraient toute espèce de bêtes féroces. 94. Mais il ne répondit point, et il regardait d’un œil satisfait ces brebis qu’on dévorait, qu’on exterminait. Enfin il appela soixante-dix pasteurs et leur donna le soin de veiller sur le troupeau (les pasteurs sont probablement les Chefs religieux des Juifs qui reçoivent mission de “ châtier ” le peuple en exerçant la justice, c’est-à-dire en appliquant la loi de Moïse pendant la domination des nations après le retour d’Exil). 95. Et il leur dit : Que chacun de vous veille sur les brebis, et qu’il fasse ce que je lui commanderai ; je vous en donnerai à chacun un certain nombre à conduire. 96. Et celles que je vous dirai d’exterminer, vous les exterminerez ; et il les leur livra. 97. Alors il en appela un autre (un ange) et lui dit : Comprends et fais attention à tout ce que les pasteurs feront à ces brebis ; car ils en feront périr beaucoup plus que je ne leur en désignerai (en persécutant les prophètes). 98. Et toute transgression, tout meurtre que les pasteurs commettront, sera noté (par l’ange) ; c’est à dire qu’il faudra indiquer celles qu’ils auront tuées par mon ordre (observation de la loi de Moïse), et celles qu’ils auront fait périr de leur propre autorité. 99. Tout meurtre commis par les pasteurs leur est compté. Ne manque donc pas d’écrire combien de brebis ils auront fait périr de leur propre autorité, combien ils en auront livré au supplice, afin que ce compte soit contre eux un témoignage, que je sache tout ce qu’ils auront fait ; s’ils ont exécuté mes ordres, ou s’ils ont négligé de les accomplir. 100. Mais qu’ils ignorent ce que je te commande ; ne leur ouvre point les yeux ; ne leur donne point d’avertissement ; mais compte avec soin tous les meurtres qu’ils commettront, et donnes-en-moi une connaissance exacte. Et je vis comment ces pasteurs gouvernaient le troupeau chacun dans son temps. Et ils commencèrent à tuer plus de brebis qu’ils n’en devaient faire périr. 101. Et ils abandonnèrent les brebis dans la puissance des lions, en sorte que plusieurs d’entre elles furent dévorées par les lions et par les tigres (Grecs) ; et que les sangliers (soldats romains) se jetèrent sur elles, brûlèrent la Tour (destruction du dernier Temple par les Romains en 70 de notre ère) consacrée au Seigneur et détruisirent la bergerie (Jérusalem). 102. Et je fus bien chagrin de l’incendie de cette Tour, et de la ruine de la bergerie (Jérusalem). 103. Car ensuite il me fut impossible de la voir (le Temple n’a plus été reconstruit depuis). 104. Quant aux pasteurs et leurs complices, ils livraient eux-mêmes les brebis à toutes les bêtes féroces, pour les faire dévorer. Chacune d’elle leur était livrée à son tour, et en son temps. Or, chacune aussi était inscrite dans un livre ; et toutes celles qui périssaient y étaient soigneusement notées. 105. Cependant chaque pasteur en faisait périr bien plus qu’il ne devait. 106. Alors je commençai à pleurer et à m’indigner sur le sort misérable de ces brebis. 107. Et je vis dans ma vision comment celui qui écrivait, notait jour par jour les meurtres commis par les pasteurs ; comment il monta, se présenta au Seigneur des brebis et lui donna le livre qui renfermait le compte exact de tout ce que les pasteurs avaient fait, la note de tous ceux qu’ils avaient fait périr. 108. Et de tout le mal qu’ils avaient commis. 109. Et le livre fut lu devant le Seigneur des esprits, qui, étendant la main, le signa et puis le déposa. 110. Ensuite je vis comment les pasteurs avaient l’empire pendant douze heures (peut-être pendant 480 ans, soit douze fois 40 ans). 111. Et voici que trois de ces brebis revenues de la captivité (retour de captivité sous Néhémie), retournèrent et rentrèrent dans le lieu de la bergerie, et commencèrent à relever tout ce qui y avait été détruit. 112. Mais les sangliers les en empêchaient, mais leurs efforts étaient inutiles. 113. Et les brebis continuèrent à édifier, comme auparavant, et relevèrent la Tour (Temple) qu’on nomma “ la Tour haute ”. 114. Et ils recommencèrent à placer une table devant la Tour, mais le pain qu’ils y placèrent était impur et souillé (mauvaise application de la Loi). 115. De plus, toutes les brebis étaient aveuglées ; elles ne pouvaient voir, pas plus que les pasteurs. 116. Les pasteurs les livraient aussi (aux chefs des nations) pour les faire périr en grand nombre. 117. Mais le Seigneur des brebis se taisait, et toutes les brebis furent entraînées. Pasteurs et brebis, tout était confondu, et nul ne les défendait des attaques des bêtes sauvages. 118. Alors celui qui écrivait le livre (l’ange), monta et le remit au Seigneur des brebis. Mais en même temps il le pria pour elles, en portant témoignage contre les pasteurs qui les avaient fait périr. Et après avoir déposé le livre, il s’en alla.
Chapitre 891. Et je remarquai comment trente-sept pasteurs (sur l’ensemble des 70) reprirent soin du troupeau jusqu’à ce que chacun disparût à son tour, comme les premiers. Alors les brebis furent confiées à d’autres pasteurs, qui les gardèrent chacun un certain temps. 2. Puis j’aperçus dans ma vision tous les oiseaux du ciel qui accouraient, les aigles, les milans et les corbeaux. Et les aigles conduisaient tous les autres.
Note : Ces descriptions du Livre d’Enoch concernent les choses qui se passent dans les “ lieux invisibles ”, appelés dans le Nouveau Testament “ lieux célestes ”. Les aigles, les milans , les corbeaux et les vautours seraient des démons ou des “ puissances invisibles des lieux célestes ”. Dans ces conditions, il est normal de ne pas pouvoir trouver toutes les traces historiques de ce qu’Enoch décrit ici : pour voir ces “ oiseaux de malheur ”, il faut être doté d’un “ don spirituel ”, c’est-à-dire du “ discernement des esprits ”.
3. Et ils commencèrent à dévorer les brebis, à leur crever les yeux avec leurs becs, et à se nourrir de leur chair. 4. Et les brebis poussaient des cris lamentables, de se sentir ainsi dévorer. 5. Et je criais aussi, et je gémissais dans mon sommeil contre le pasteur chargé de la garde du troupeau. 6. Et je vis les brebis dévorées par les chiens, par les aigles et les vautours. Leur chair, leur peau, leurs muscles, tout était consommé ; il ne leur restait que les os, qui tombaient à terre. Et le nombre des brebis diminuait considérablement. 7. Et je vis ensuite vingt-trois pasteurs placés à la tête du troupeau (qui s’ajoutent aux 37 pasteurs déjà nommés pour en faire 60 sur les 70 annoncés au début), et dont les temps respectifs accumulés forment cinquante-huit âges (ou 58 successions ?). 8. Alors les agneaux furent mis au monde par les brebis blanches (brebis pures), et ils commencèrent à ouvrir les yeux et à voir (ce qui se passe dans l’invisible), et à appeler leurs mères. 9. Mais les brebis ne les regardaient pas, n’écoutaient point leurs plaintes ; mais elles étaient sourdes, aveugles et endurcies. 10. Et j’aperçus dans ma vision les corbeaux (démons noirs) qui s’abattaient sur ces agneaux (attaques démoniaques). 11. Qui les saisissaient, et qui dévoraient les brebis après les avoir déchirées. 12. Je vis aussi les cornes de ces agneaux s’accroître (développement des dons), mais les corbeaux cherchaient à les ébranler. 13. Voici enfin qu’une grande corne poussa sur la tête d’une de ces brebis, et les yeux de toutes les autres furent ouverts. 14. Et la première les regardait, et leurs yeux furent ouverts, et elle les appelait. 15. Les bœufs (hommes des nations) la voyant, se précipitèrent sur elle. 16. Cependant les aigles, les milans, les corbeaux et les vautours continuèrent à persécuter les brebis, volant sur elles et les dévorant. Et les brebis se taisaient, mais les bœufs (hommes des nations) se lamentaient et poussaient des gémissements. 17. Alors les corbeaux luttèrent contre elle. 18. Cherchant à briser la corne, mais leurs efforts étaient inutiles. 19. Et je regardai jusqu’à ce que vinssent les pasteurs, les aigles, les milans et les vautours, 20. Qui poussaient les corbeaux à briser la corne de ce “ bœuf ” (Jésus, le Fils de l’homme), et qui combattaient contre lui. Mais il soutenait leur choc et demandait du secours (par la prière). 21. Alors je vis venir l’homme (ange) qui avait inscrit les noms des pasteurs, et qui était monté en la présence du Seigneur des brebis. 22. Il vint porter du secours au “ bœuf ”, et annonça à tous (les autres anges ?) qu’il était venu porter du secours au “ bœuf ” (Jésus fut soutenu par un ange qui vint le fortifier avant son sacrifice). 23. Et voici que le Seigneur des brebis descendit enflammé de colère, et tous ceux qui l’aperçurent s’enfuirent. Les autres se prosternèrent dans son Tabernacle, et les aigles, les milans, les corbeaux et les vautours se réunirent et entraînèrent avec eux toutes les brebis des champs. 24. Tous se réunirent et cherchèrent à briser la corne du “ bœuf ” (Jésus fut crucifié en 27 de notre ère, mais il fut ressuscité le troisième jour). 25. Alors je vis l’homme (l’ange) qui écrivait par l’ordre du Seigneur, prendre le livre de la destruction accomplie par les douze derniers pasteurs (soit après l’œuvre des 58 premiers pasteurs), et il prouva qu’ils avaient fait périr plus de monde que ceux qui les avaient précédés (en persécutant les Juifs messianiques, les disciples de Jean-Baptiste et les chrétiens). 26. Je vis encore venir à eux le Seigneur des brebis (accomplissement de l’Apocalypse à la fin de l’ère chrétienne), tenant en sa main le sceptre de sa colère, en frapper la terre, qui s’entrouvrit, et les bêtes et les oiseaux du ciel cessèrent de persécuter les brebis, et tombèrent dans les gouffres béants de la terre, qui se referma sur eux (le Dragon jette un fleuve qui sort de sa bouche contre la femme, mais la terre s’ouvre et l’engloutit selon “ Apocalypse XII, versets 13 à 18 ”). 27. Je vis aussi donner une grande épée aux brebis, qui poursuivaient à leur tour les bêtes sauvages, et les exterminaient (retour de Jésus avec tous les saints). 28. Mais toutes les bêtes et tous les oiseaux du ciel se retirèrent de devant leur face. 29. Et je vis un trône élevé dans une région fortunée, 30. Sur lequel siégeait le Seigneur des esprits, qui prit tous les livres, 31. Et il les ouvrit. 32. Alors le Seigneur appela les sept premiers hommes blancs (les sept anges des sept trompettes de l’Apocalypse ?), et leur ordonna d’amener la première étoile, qui avait précédé toutes les autres, dont les parties sexuelles étaient semblables aux parties sexuelles des chevaux, qui enfin était tombée la première, et tous l’amenaient devant lui (la chute des anges a été provoquée par la séduction sexuelle, car, n’ayant pas de femmes, ils allèrent en prendre parmi les filles des hommes). 33. Et il dit à l’homme (ange) qui écrivait en sa présence, et qui était l’un des sept hommes blancs : Prends ces soixante-dix pasteurs, auxquels j’ai confié les brebis, et qui en ont fait périr beaucoup plus que je ne l’avais ordonné. Et voici ; je les vis enchaînés et debout devant lui. Et on commença par juger les étoiles (anges déchus), et elles furent reconnues coupables, et amenées au lieu du jugement ; et on les jeta dans un lieu profond, et rempli de flammes. Ensuite les soixante-dix pasteurs furent jugés et reconnus coupables ; ils furent également précipités dans l’abîme enflammé. 34. Dans le même temps, je vis au milieu de la terre un abîme rempli de feu. 35. Car c’est là qu’étaient conduites les brebis aveugles, qui avaient été jugées coupables ; toutes, elles étaient précipitées dans ce gouffre de feu. 36. Et ce gouffre se trouvait situé à la droite de cette bergerie (où étaient rassemblées les brebis qui attendaient d’être jugées). 37. Et je vis les brebis brûler et leurs os consumés par le feu. 38. Et je me tenais debout, considérant comment cette antique bergerie fut détruite (fin du monde ?) ; mais auparavant on en avait enlevé les colonnes, l’ivoire et toutes les richesses qu’elle renfermait, et on les avait amoncelées dans un lieu situé à l’orient (soleil levant). 39. Et je vis aussi le Seigneur des brebis élever une maison plus grande et plus haute que la première (pendant le Millenium, avant la fin du monde), et la bâtir dans le même endroit où avait été la première. Toutes ses colonnes étaient neuves, l’ivoire neuf, et en plus grande quantité qu’auparavant. 40. Et le Seigneur des brebis habitait à l’intérieur. Et toutes les bêtes sauvages, tous les oiseaux du ciel (ici, il ne s’agit que “ des oiseaux du ciel ” et non des “ démons ” qui s’étaient attaqués aux brebis) s’inclinèrent devant les brebis qui restaient et les adorèrent, leur adressèrent des prières, en leur obéissant en toutes choses. 41. Alors les trois hommes, qui étaient revêtus de blanc, et qui me prenaient par la main m’avaient fait monter, m’enlevèrent encore, et me placèrent au milieu des brebis, avant le commencement du jugement. 42. Les brebis étaient toutes blanches, la laine longue et pure de toute tache. Et toutes celles qui avaient péri ou qu’on avait exterminées, toutes les bêtes sauvages, tous les oiseaux du ciel se réunirent dans cette maison, et le Seigneur des brebis tressaillait d’allégresse de voir rentrer les brebis au bercail. 43. Et je vis qu’elles déposaient l’épée qui leur avait été donnée, qu’elles la reportaient dans la bergerie, et la scellaient en présence du Seigneur. 44. Les brebis étaient enfermées dans la maison, qui avait peine à les contenir toutes. Et leurs yeux étaient ouverts, et elles contemplaient le Bon, et il n’en était pas une parmi elles qui ne l’aperçût. 45. Je vis aussi que la maison était grande et large, et pleine de monde. Et voici qu’il naquit un veau blanc, dont les cornes étaient grandes, et toutes les bêtes sauvages, tous les oiseaux du ciel l’adoraient et l’imploraient incessamment. 46. Alors je vis leur nature à tous se transformer (nouvelle naissance), et ils devinrent des veaux blancs. 47. Et le premier d’entre eux fut fait “ Verbe ”, et le “ Verbe ” devint un grand animal, et il portait sur sa tête de grandes cornes noires (symboles des dons spirituels). 48. Et le Seigneur des brebis se réjouissait à la vue de tous ces veaux (chrétiens nés de l’Esprit).
Chapitre 10La chronologie prophétique :
Tableaux des Rois et des Prophètes en Juda et en Israël :
La révélation prophétique
commença deux ans avant le séisme dont Parle
Amos 1 v 1 : « Les paroles d’Amos, qui était d’entre les bergers
de Thekoa, qu’il a vues touchant Israël, aux jours d’Ozias (810-758
av. notre ère), roi de Juda, et aux jours de Jéroboam (825-784 av.
notre ère), fils de Joas, roi d’Israël, deux ans avant le tremblement de
terre ». Zacharie 1 v 5 confirme ce séisme : « Et vous
fuirez dans la vallée de mes montagnes ; car la vallée des montagnes
s’étendra jusqu’à Atsal ; et vous fuirez comme vous avez fui devant le
tremblement de terre, aux jours d’Ozias, roi de Juda. - Et l’Éternel, mon
Dieu, viendra, [et] tous les saints avec toi ». L’importance de ce
séisme est signifiée par la référence qui lui est faite dans
le livre du prophète Zacharie, mais aussi par la « fuite » du peuple,
comparée à celle qui aura lieu au moment du retour de Jésus sur le mont des
Oliviers à Jérusalem. C’est donc entre 810 et 784 av. notre ère qu’il eut
lieu, c’est-à-dire quelque part à l’intérieur d’une période de 26 ans. Nous pouvons estimer que la révélation prophétique aurait commencée en 807 av. notre ère à cause des correspondances cycliques :
Total des durées : 510 ans + 430 ans + 440 ans + 80 ans + 210 ans + 200 ans + 70 ans + 80 ans = 2020 ans, de 2477 à 457 av. notre ère.
La date présumée (807 av. notre ère) du début de la révélation prophétique est placée à :
1670 ans de la fin du Déluge ; 1160 ans de l’Alliance de la Circoncision (29 x 40 ans); 730 ans de l’Exode sous Moïse ; 290 ans de l’abandon des années sabbatiques sous le roi Saül ; 210 ans des fondations du Temple de Jérusalem sous le roi Salomon (3 x 70 ans) ; 200 ans avant le premier départ en captivité à Babylone des Juifs ; 270 ans avant le premier retour d’Exil des Juifs de Babylone ; 350 ans avant le début du Compte à rebours des « semaines d’années » prophétiques (5 x 70 ans).
Nous observons que l’année 807 av. notre ère est située 29 fois 40 ans ou « générations » de l’Alliance de la Circoncision, à 3 fois 70 ans des fondations du Temple de Jérusalem et à 5 fois 70 ans avant le début du compte à rebours des « semaines d’années » prophétiques qui conduisent à la crucifixion du Messie. Les cycles de 40 ans et de 70 ans entrent en relation avec le début de la révélation prophétique dans la mesure où elle aurait bien commencé en 807 av. notre ère, mais c’est plus que probable à cause de « l’identification cyclique et chronologique de cette date ». Elle était importante et se plaçait deux années après le séisme, lequel pouvait avoir été provoqué par l’arrivée du « Char de l’Eternel ». Que ce soit par la date du séisme lui-même (qui aurait eu lieu dans ce cas en 807 av. notre ère), ou par celle du livre d’Amos, qui aurait eu lieu cette année là ou deux ans plus tard, nous devons retenir cette date (807 av. notre ère) comme le point de départ chronologique de la « Révélation prophétique » qui fut d’une importance capitale.
La « Révélation Prophétique » peut être datée de 807 av. notre ère (début) jusqu’en 457 av. notre ère (fin de cette révélation), et début des « semaines d’années », soit dans une durée totale de 350 ans.
L’histoire de l’Eglise : Chronologie du début de l’histoire de l’Eglise : Le moine Denys le Petit, dont on sait qu’il mourut vers l’an 545, fixa par erreur la date de la naissance de Jésus en l’an 754 de Rome (au lieu de 748) et introduisit la chronologie de l’ère chrétienne ou « ère dionysienne ». Or, nous savons que Jésus est né six ans plus tôt que le début de cette ère, en réalité en l’an 7 avant « notre ère ». Luc 3, versets 1-2 : « 1 Or, en la quinzième année du règne de Tibère César, Ponce Pilate étant gouverneur de la Judée, et Hérode tétrarque de la Galilée, et Philippe son frère tétrarque de l’Iturée et de la contrée de Trachonite, et Lysanias tétrarque de l’Abilène, 2 sous la souveraine sacrificature d’Anne et de Caïphe… La parole de Dieu vint à Jean, le fils de Zacharie, au désert. »
La quinzième année du règne de Tibère César donne l’an 28 de notre ère (ou 29) ; croyant que c’était l’année du début du ministère de Jean Baptiste, il « fixa » la date de la crucifixion de Jésus en 33 de notre ère (au lieu de l’an 27) : cela faisait une erreur chronologique de « six ans » ! Cette datation de Luc (l’an 28 ou 29 de notre ère) est probablement celle de la rédaction de l’Evangile, à moins qu’une autre indication, de « cinquième année » à l’origine, ait été changée par erreur des copistes en « quinzième année ». Le moine Denys le Petit confondit ce qui devait être « la datation de l’Evangile de Luc » avec ce qui suivait dans le texte. Mais Théophile, le destinataire de l’Evangile, ne pouvait pas lui-même faire une telle confusion, car il savait obligatoirement qu’elle correspondait avec celle de la rédaction de l’Evangile. Par conséquent, c’est lui qui devait faire office de « bibliothécaire des premiers chrétiens », lesquels lui envoyaient leurs écrits « originaux » pour les faire « enregistrer », afin que, par la suite, les chrétiens puissent effectuer un « tri » entre les écrits des disciples authentiques de Jésus et les « autres » qui pouvaient être des « faux » et ne se retrouvaient pas dans cette « bibliothèque ». Ce serait par conséquent grâce à Théophile que tous les écrits du Nouveau Testament auraient été filtrés et préservés. Par ailleurs, des reproductions pouvaient être faites « à la demande » par les copistes, à partir des textes originaux contenus dans la bibliothèque de Théophile. Ce « filtrage » des manuscrits devait être une opération pratiquée et connue depuis longtemps, qui fut utilisée afin de préserver les écrits de l’Ancien Testament. Maintenant, elle s’appliquait aux écrits de la « Nouvelle Alliance ». Notons qu’il est effectivement question d’un « dépôt » dans la 2° Epître à Timothée 1, 8-14 : 8 N’aie donc pas honte du témoignage de notre Seigneur, ni de moi son prisonnier, mais prends part aux souffrances de l’évangile, selon la puissance de Dieu, 9 qui nous a sauvés et nous a appelés d’un saint appel, non selon nos œuvres, mais selon son propre dessein, et sa propre grâce qui nous a été donnée dans le christ Jésus avant les temps des siècles, 10 mais qui a été manifestée maintenant par l’apparition de notre Sauveur Jésus Christ, qui a annulé la mort et a fait luire la vie et l’incorruptibilité par l’évangile ; 11 pour lequel moi j’ai été établi prédicateur et apôtre et docteur des nations. 12 C’est pourquoi aussi je souffre ces choses ; mais je n’ai pas de honte, car je sais qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il a la puissance de garder ce que je lui ai confié, jusqu’à ce jour-là. 13 Aie un modèle des saines paroles que tu as entendues de moi, dans la foi et l’amour qui est dans le christ Jésus. 14 Garde le bon dépôt par l’Esprit Saint qui habite en nous. La 2° Epître à Timothée est considérée comme la dernière de Paul, qui fut écrite juste avant son martyre ; à cette époque l’apôtre était préoccupé par les troubles qui existaient et, avant de mourir, il exhortait son disciple le plus fidèle à « garder ce qu’il avait confié au Seigneur », à savoir le « bon dépôt » de ses écrits, remis à Timothée, et pour la préservation duquel il avait prié ! Timothée remplaçait probablement Théophile dans la mission de « bibliothécaire » en ces temps de persécutions contre les chrétiens sous le règne de l’empereur Néron ! Schéma chronologique issu des indications fournies par l’apôtre Paul : a) Conversion de Saül sur le chemin de Damas, qui devient Paul : 31 de notre ère, 4 ans après l’an 27, début de l’histoire de l’Eglise ; b) Première visite de Paul, pris en main par Barnabas, à Jérusalem, pour rencontrer l’apôtre Pierre, trois ans plus tard (Actes 4, 36 et 9, 26-27) : 34 de notre ère ; c) Claude devient empereur (Actes 9, 28) et Hérode Agrippa I° devient roi des Juifs (Actes 12, 20-23) : 41 de notre ère ; d) Hérode Agrippa I° meurt frappé par un ange (Actes 12, 23), puis l’apôtre Paul se rend à nouveau à Jérusalem dix ans après sa première visite, accompagné de Barnabas (Actes 11, 27-30 et 12, 25) : 44 de notre ère ; e) Premier grand voyage missionnaire de Paul et Barnabas (Actes 13, 4 et 14, 27) : de 45 à 47 de notre ère ; f) Concile de Jérusalem, 14 ans après l’an 34, dont la date est connue des historiens (Actes 15, 1-35 et Galates 2, 3-4) et vision extraordinaire (2° Corinthiens 12, 2-4) : 48 de notre ère ; g) Deuxième voyage missionnaire de l’apôtre Paul, dont un séjour à Corinthe, de 50 à 52 (Actes 15, 40 et 18, 22) : de 49 à 52 de notre ère ; h) Troisième voyage missionnaire de l’apôtre Paul, départ d’Antioche et arrivée à Jérusalem (Actes 18, 23 à Actes 21, 15) : de 53 à 57 de notre ère. i) Arrestation de l’apôtre Paul, 10 ans après le Concile de Jérusalem : 58 de notre ère ; j) L’apôtre Paul captif à Césarée : de 58 à 60 de notre ère ; k) Voyage de Paul à Rome (Actes 27, 1 à Actes 28, 15) : 60 de notre ère ; l) Captivité de l’apôtre à Rome où il écrivit, en 62, la 2° Epître aux Corinthiens, 14 ans après le Concile de Jérusalem : de 61 à 63 de notre ère ; il est libéré en 63, mais nous ne savons pas s’il resta à Rome ou partit pour une nouvelle mission ; m) Dernière arrestation et dernière captivité de l’apôtre Paul : de 66 à 67 de notre ère ; il fut décapité en 67 de notre ère. Galates 1, 15-24 : « 15 Mais quand il plut à Dieu, qui m’a mis à part dès le ventre de ma mère et qui m’a appelé par sa grâce, 16 de révéler son Fils en moi, afin que je l’annonçasse parmi les nations, aussitôt, je ne pris pas conseil de la chair ni du sang, 17 ni ne montai à Jérusalem vers ceux qui étaient apôtres avant moi, mais je m’en allai en Arabie, et je retournai de nouveau à Damas. 18 Puis, trois ans après (de 31 à 34 de notre ère, car l’an 34 se place « 14 ans avant le Concile de Jérusalem » selon Galates 2, 1), je montai à Jérusalem pour faire la connaissance de Céphas, et je demeurai chez lui quinze jours ; 19 et je ne vis aucun autre des apôtres, sinon Jacques le frère du Seigneur. 20 Or dans les choses que je vous écris, voici, devant Dieu, je ne mens point. 21 Ensuite j’allai dans les pays de Syrie et de Cilicie. 22 Or j’étais inconnu de visage aux assemblées de la Judée qui sont en Christ, 23 mais seulement elles entendaient dire : Celui qui nous persécutait autrefois, annonce maintenant la foi qu’il détruisait jadis ; 24 et elles glorifiaient Dieu à cause de moi. » Galates 2, 1-5 (Concile de Jérusalem, dont la date est connue des historiens) : « 1 Ensuite, au bout de quatorze ans (14 ans après l’an 34, c’est-à-dire en 48 de notre ère), je montai de nouveau à Jérusalem avec Barnabas, prenant aussi Tite avec moi. 2 Or j’y montai selon une révélation, et je leur exposai l’évangile que je prêche parmi les nations, mais, dans le particulier, à ceux qui étaient considérés, de peur qu’en quelque manière je ne courusse ou n’eusse couru en vain 3 (cependant, même Tite qui était avec moi, quoiqu’il fût Grec, ne fut pas contraint à être circoncis) : 4 et cela à cause des faux frères, furtivement introduits, qui s’étaient insinués pour épier la liberté que nous avons dans le christ Jésus, afin de nous réduire à la servitude ; 5 auxquels nous n’avons pas cédé par soumission, non pas même un moment, afin que la vérité de l’évangile demeurât avec vous. » Actes 15, 1-5 (Concile de Jérusalem en 48 de notre ère) : « 1 Et quelques-uns, étant descendus de Judée, enseignaient les frères disant : Si vous n'avez pas été circoncis selon l'usage de Moïse, vous ne pouvez être sauvés. 2 Une contestation s'étant donc élevée et une grande dispute, entre Paul et Barnabas et eux, ils résolurent que Paul et Barnabas et quelques autres d'entre eux monteraient à Jérusalem vers les apôtres et les anciens pour cette question. 3 Eux donc, ayant été accompagnés par l’assemblée, traversèrent la Phénicie et la Samarie, racontant la conversion des nations ; et ils causèrent une grande joie à tous les frères. 4 Et étant arrivés à Jérusalem, ils furent reçus par l'assemblée et les apôtres et les anciens ; et ils racontèrent toutes les choses que Dieu avait faites avec eux. 5 Et quelques-uns de la secte des pharisiens, qui avaient cru, s’élevèrent, disant qu'il faut les circoncire et leur enjoindre de garder la loi de Moïse. » 2° Epître aux Corinthiens 12, 1-7 (14 ans après le Concile de Jérusalem, soit en 62 de notre ère) : « 1 Il est vrai qu’il est sans profit pour moi de me glorifier, car j’en viendrai à des visions et à des révélations du Seigneur. 2 Je connais un homme en Christ, qui, il y a quatorze ans (si ce fut dans le corps, je ne sais ; si ce fut hors du corps, je ne sais ; Dieu le sait), je connais un tel homme qui a été ravi jusqu’au troisième ciel. 3 Et je connais un tel homme, (si ce fut dans le corps, si ce fut hors du corps, je ne sais, Dieu le sait,) 4 - qu’il a été ravi dans le paradis, et a entendu des paroles ineffables qu’il n’est pas permis à l’homme d’exprimer. 5 Je me glorifierai d’un tel homme, mais je ne me glorifierai pas de moi-même, si ce n’est dans mes infirmités. 6 Car quand je voudrais me glorifier, je ne serais pas insensé, car je dirais la vérité ; mais je m’en abstiens, de peur que quelqu’un ne m’estime au-dessus de ce qu’il me voit être ou de ce qu’il a pu entendre dire de moi. 7 Et afin que je ne m’enorgueillisse pas à cause de l’extraordinaire des révélations, il m’a été donné une écharde pour la chair, un ange de Satan pour me souffleter, afin que je ne m’enorgueillisse pas. » Nous observons que la chronologie de l’histoire de l’apôtre Paul nous conduit à dater sa conversion en 31 de notre ère, soit quatre ans après l’an 27, année de la crucifixion, de la mort et de la résurrection de Jésus. Par ailleurs, il se trouve que les cycles de 7 ans depuis le début de l’histoire de l’Eglise en 27 de notre ère sont inscrits par l’apôtre Paul lui-même : Ø 1° cycle de sept ans : de l’an 27 (Crucifixion) à 34 (Paul rencontre Pierre à Jérusalem) : 7 ans ; Ø 2° cycle de sept ans : de l’an 34 à 41 (Claude devient empereur et Hérode Agrippa I° devient roi des juifs) : 7 ans ; Ø 3° cycle de sept ans : de l’an 41 à 48 (Concile de Jérusalem, dont la date est connue des historiens) : 7 ans ; Ø 4° cycle de sept ans : de l’an 48 à 55 (milieu du 3° voyage missionnaire de Paul) : 7 ans ; Ø 5° cycle de sept ans : de l’an 55 à 62 (Paul écrit la 2° Epître aux Corinthiens) : 7 ans. Il y a par conséquent au total 35 ans (5 x 7 ans), de l’an 27 à 62 de notre ère. Premier cycle de 14 ans cité par Paul (Galates 2, 1) : de 34 à 48 de notre ère ; deuxième cycle de 14 ans cité par Paul (2° Corinthiens 12, 2) : de 48 à 62 de notre ère. C’est la « vision » de l’apôtre Paul qui l’a conduit au Concile de Jérusalem, en 48 de notre ère. Ce Concile eut lieu très exactement 21 ans (3 x 7 ans) après le début de l’histoire de l’Eglise, en 27 de notre ère. Notons enfin qu’il y a 40 ans passés de l’histoire de l’Eglise de l’an 27 de notre ère jusqu’à la décapitation de l’apôtre Paul, en l’an 67. Les sept âges de l’histoire de l’Eglise sont formés par sept cycles de 280 ans chacun qui forment ensemble une ère de 1960 ans (âges d’Ephèse de 27 à 307, de Smyrne de 307 à 587, de Pergame de 587 à 867, de Thyatire de 867 à 1147, de Sardes de 1147 à 1427, de Philadelphie de 1427 à 1707 et de Laodicée de 1707 à 1987). Les sept messages : Ephèse de 27 à 307 : a) Apocalypse 2 v 1-7 : « 1 À l’ange de l’assemblée qui est à Éphèse, écris : Voici ce que dit celui qui tient les sept étoiles dans sa droite, qui marche au milieu des sept lampes d’or: 2 Je connais tes œuvres, et ton travail, et ta patience, et que tu ne peux supporter les méchants ; et tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres et ne le sont pas, et tu les as trouvés menteurs ; 3 et tu as patience, et tu as supporté des afflictions pour mon nom, et tu ne t’es pas lassé ; 4 mais j’ai contre toi que tu as abandonné ton premier amour. 5 Souviens-toi donc d’où tu es déchu, et repens-toi, et fais les premières œuvres ; autrement, je viens à toi et j’ôterai ta lampe de son lieu, à moins que tu ne te repentes. 6 Mais tu as ceci, que tu hais les œuvres des Nicolaïtes, lesquelles moi aussi je hais. 7 Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées. À celui qui vaincra, je lui donnerai de manger de l’arbre de vie qui est dans le paradis de Dieu ». Les sept étoiles représentent les sept anges des sept Eglises et sont semblables aux sept flammes du chandelier à sept branches qui se trouvaient dans le lieu saint du Temple : il s’agit de sept lumières ou flammes et sans doute aussi des sept pasteurs qui étaient chargés de l’enseignement. Les sept chandeliers d’or sont sept branches d’un chandelier unique auquel elles étaient rattachées et jointes pour former un seul ensemble comme cela était aussi le cas dans Zacharie 4, 2-3 : « 2 Et il me dit : Que vois-tu ? Et je dis : Je vois, et voici un chandelier tout d’or, et une coupe à son sommet ; et ses sept lampes sur lui ; sept [lampes] et sept conduits pour les lampes qui sont à son sommet ; 3 et deux oliviers auprès de lui, l’un à la droite de la coupe, et l’autre à sa gauche. » Les sept branches du chandelier représentent les sept Eglises et les sept étoiles ou pasteurs qui se trouvent également placés dans la main droite du Sauveur qui entretien de cette façon la flamme des Eglises, selon Apocalypse 1, 12-20 : « 12 Et je me retournai pour voir la voix qui me parlait ; et, m’étant retourné, je vis sept lampes d’or, 13 et au milieu des [sept] lampes [quelqu’un de] semblable au Fils de l’homme, vêtu d’une robe qui allait jusqu’aux pieds, et ceint, à la poitrine, d’une ceinture d’or. 14 Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige ; et ses yeux, comme une flamme de feu; 15 et ses pieds, semblables à de l’airain brillant, comme embrasés dans une fournaise ; et sa voix, comme une voix de grandes eaux ; 16 - et il avait dans sa main droite sept étoiles ; et de sa bouche sortait une épée aiguë à deux tranchants ; - et son visage, comme le soleil [quand il] luit dans sa force. 17 Et, lorsque je le vis, je tombai à ses pieds comme mort; et il mit sa droite sur moi, disant : Ne crains point ; moi, je suis le premier et le dernier, et le vivant; et j’ai été mort ; 18 et voici, je suis vivant aux siècles des siècles; et je tiens les clefs de la mort et du hadès. 19 Écris donc les choses que tu as vues, et les choses qui sont, et les choses qui doivent arriver après celles-ci. 20 Le mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma droite, et les sept lampes d’or : les sept étoiles sont [les] anges des sept assemblées, et les sept lampes sont sept assemblées. » Le message à l’Eglise d’Ephèse concerne toute cette période historique :
Smyrne de 307 à 587 : b) Apocalypse 2 v 8-11 : « 8 Et à l’ange de l’assemblée qui est à Smyrne, écris : Voici ce que dit le premier et le dernier, qui a été mort et qui a repris vie : 9 Je connais ta tribulation, et ta pauvreté, mais tu es riche, et l’outrage de ceux qui se disent être Juifs ; et ils ne le sont pas, mais ils sont la synagogue de Satan. 10 Ne crains en aucune manière les choses que tu vas souffrir. Voici, le diable va jeter quelques-uns d’entre vous en prison, afin que vous soyez éprouvés : et vous aurez une tribulation de dix jours. Sois fidèle jusqu’à la mort et je te donnerai la couronne de vie. 11 Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées. Celui qui vaincra n’aura point à souffrir de la seconde mort ». Le message à l’Eglise de Smyrne concerne toute cette période historique :
Pergame de 587 à 867 : c) Apocalypse 2 v 12-17 : « 12 Et à l’ange de l’assemblée qui est à Pergame, écris : Voici ce que dit celui qui a l’épée aiguë à deux tranchants : 13 Je sais où tu habites, là où est le trône de Satan ; et tu tiens ferme mon nom, et tu n’as pas renié ma foi, même dans les jours dans lesquels Antipas était mon fidèle témoin, qui a été mis à mort parmi vous, là où Satan habite. 14 Mais j’ai quelques choses contre toi : c’est que tu as là des gens qui tiennent la doctrine de Balaam, lequel enseignait à Balac à jeter une pierre d’achoppement devant les fils d’Israël, pour qu’ils mangeassent des choses sacrifiées aux idoles et qu’ils commissent la fornication. 15 Ainsi tu en as, toi aussi, qui tiennent la doctrine des Nicolaïtes pareillement. 16 Repens-toi donc ; autrement je viens à toi promptement, et je combattrai contre eux par l’épée de ma bouche. 17 Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées. À celui qui vaincra, je lui donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc, et, sur le caillou, un nouveau nom écrit, que nul ne connaît, sinon celui qui le reçoit ». Le message à l’Eglise de Pergame concerne toute cette période historique :
Thyatire de 867 à 1147 : d) Apocalypse 2 v 18-29 : « 18 Et à l’ange de l’assemblée qui est à Thyatire, écris : Voici ce que dit le Fils de Dieu, qui a ses yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l’airain brillant : 19 Je connais tes œuvres, et ton amour, et ta foi, et ton service, et ta patience, et tes dernières œuvres qui dépassent les premières. 20 Mais j’ai contre toi, que tu laisses faire la femme Jézabel qui se dit prophétesse ; et elle enseigne et égare mes esclaves en les entraînant à commettre la fornication et à manger des choses sacrifiées aux idoles. 21 Et je lui ai donné du temps afin qu’elle se repentît ; et elle ne veut pas se repentir de sa fornication. 22 Voici, je la jette sur un lit, et ceux qui commettent adultère avec elle, dans une grande tribulation, à moins qu’ils ne se repentent de ses œuvres ; 23 et je ferai mourir de mort ses enfants ; et toutes les assemblées connaîtront que c’est moi qui sonde les reins et les cœurs ; et je vous donnerai à chacun selon vos œuvres. 24 Mais à vous je dis, aux autres qui sont à Thyatire, autant qu’il y en a qui n’ont pas cette doctrine, qui n’ont pas connu les profondeurs de Satan, comme ils disent : je ne vous impose pas d’autre charge ; 25 mais seulement, ce que vous avez, tenez-le ferme jusqu’à ce que je vienne. 26 Et celui qui vaincra, et celui qui gardera mes œuvres jusqu’à la fin, - je lui donnerai autorité sur les nations ; 27 et il les paîtra avec une verge de fer, comme sont brisés les vases de poterie, selon que moi aussi j’ai reçu de mon Père; 28 et je lui donnerai l’étoile du matin. 29 Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées ». Le message à l’Eglise de Thyatire concerne toute cette période historique :
Sardes de 1147 à 1427 : e) Apocalypse 3 v 1-6 : « 1 Et à l’ange de l’assemblée qui est à Sardes, écris : Voici ce que dit celui qui a les sept Esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes œuvres, - que tu as le nom de vivre, et tu es mort. 2 Sois vigilant, et affermis ce qui reste, qui s’en va mourir, car je n’ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu. 3 Souviens-toi donc comment tu as reçu et entendu, et garde, et repens-toi. Si donc tu ne veilles pas, je viendrai sur toi comme un voleur, et tu ne sauras point à quelle heure je viendrai sur toi. 4 Toutefois tu as quelques noms à Sardes qui n’ont pas souillé leurs vêtements ; et ils marcheront avec moi en vêtements blancs, car ils en sont dignes. 5 Celui qui vaincra, celui-là sera vêtu de vêtements blancs, et je n’effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. 6 Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées ». Le message à l’Eglise de Sardes concerne toute cette période historique :
Philadelphie de 1427 à 1707 : f) Apocalypse 3 v 7-13: « 7 Et à l’ange de l’assemblée qui est à Philadelphie, écris : Voici ce que dit le saint, le véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre et nul ne fermera, qui ferme et nul n’ouvrira : 8 Je connais tes œuvres. Voici, j’ai mis devant toi une porte ouverte que personne ne peut fermer, car tu as peu de force, et tu as gardé ma parole, et tu n’as pas renié mon nom. 9 Voici, je donne de ceux de la synagogue de Satan qui se disent être Juifs, - et ils ne le sont pas, mais ils mentent ; voici, je les ferai venir et se prosterner devant tes pieds, et ils connaîtront que moi je t’ai aimé. 10 Parce que tu as gardé la parole de ma patience, moi aussi je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur la terre habitée tout entière, pour éprouver ceux qui habitent sur la terre. 11 Je viens bientôt; tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. 12 Celui qui vaincra, je le ferai une colonne dans le temple de mon Dieu, et il ne sortira plus jamais dehors ; et j’écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la cité de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon nouveau nom. 13 Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées ». Le message à l’Eglise de Philadelphie concerne toute cette période historique :
Laodicée de 1707 à 1987 : g) Apocalypse 3 v 14-22 : « 14 Et à l’ange de l’assemblée qui est à Laodicée, écris : Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu : 15 Je connais tes œuvres, - que tu n’es ni froid ni bouillant. Je voudrais que tu fusses ou froid ou bouillant ! 16 Ainsi, parce que tu es tiède et que tu n’es ni froid ni bouillant, je vais te vomir de ma bouche. 17 Parce que tu dis : Je suis riche, et je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien ; et que tu ne connais pas que, toi, tu es le malheureux et le misérable, et pauvre, et aveugle, et nu : 18 je te conseille d’acheter de moi de l’or passé au feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. 19 Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime ; aie donc du zèle et repens-toi. 20 Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi. 21 Celui qui vaincra, - je lui donnerai de s’asseoir avec moi sur mon trône, comme moi aussi j’ai vaincu et je me suis assis avec mon Père sur son trône. 22 Que celui qui a des oreilles écoute ce que l’Esprit dit aux assemblées ». Le message à l’Eglise de Laodicée concerne toute cette période historique :
Le temps de la fin de 1987 à 2020 : h) Parabole des « dix vierges » (Matthieu 25 v 1-13) : « 1 Alors le royaume des cieux sera fait semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, sortirent à la rencontre de l’époux. 2 Et cinq d’entre elles étaient prudentes, et cinq folles. 3 Celles qui étaient folles, en prenant leurs lampes, ne prirent pas d’huile avec elles ; 4 mais les prudentes prirent de l’huile dans leurs vaisseaux avec leurs lampes. 5 Or, comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent. 6 Mais au milieu de la nuit il se fit un cri : Voici l’époux ; sortez à sa rencontre. 7 Alors toutes ces vierges se levèrent et apprêtèrent leurs lampes. 8 Et les folles dirent aux prudentes : Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent. 9 Mais les prudentes répondirent, disant : Non, de peur qu’il n’y en ait pas assez pour nous et pour vous ; allez plutôt vers ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous mêmes. 10 Or, comme elles s’en allaient pour en acheter, l’époux vint ; et celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui aux noces ; et la porte fut fermée. 11 Ensuite viennent aussi les autres vierges, disant : Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! 12 Mais lui, répondant, dit : En vérité, je vous dis : je ne vous connais pas. 13 Veillez donc ; car vous ne savez ni le jour ni l’heure ». La Parabole des « Dix Vierges » concerne toute cette période historique :
Chapitre 11 Les temps et les moments :
Jean-Baptiste, accompagné de deux disciples, vit passer Jésus et leur dit : « Voici l’Agneau de Dieu ! ». Les deux disciples suivirent Jésus et se joignirent à lui. L’un d’eux, André, était le frère de Simon Pierre et alla le trouver pour lui dire : « Nous avons trouvé le Messie ». Pierre le suivi jusqu’à Jésus qui lui dit : « Tu es Simon, le fils de Jonas ; tu seras appelé Céphas (interprété : Pierre) ».
Lorsqu’ils se rendirent
en Galilée, à Bethsaïda, ville de ses premiers disciples,
Jésus trouva Philippe et lui demanda de le suivre. Philippe
alla trouver Nathanaël pour lui dire qu’il avait trouvé le
Messie, mais il ne le crut pas. Alors il lui demanda de le suivre jusqu’à
Jésus, qui dit en le voyant (Jean 1 v 48-51) : « Voici un vrai
Israélite, en qui il n'y a pas de fraude ». Nathanaël lui dit : « D'où me
connais-tu ? ». Jésus répondit et lui dit : « Avant que Philippe t'eût
appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais ». Nathanaël répondit
et lui dit : « Rabbi, tu es le Fils de Dieu ; tu es le roi d'Israël ». Jésus
répondit et lui dit : « Parce que je t'ai dit que je te voyais sous le
figuier, tu crois ? tu verras de plus grandes choses que celles-ci ».
De nos jours, comme au temps des disciples, les chrétiens qui connaissent les prophéties et attendent le retour de Jésus ne sont pas nombreux. Les prophéties annoncent l’accomplissement des événements apocalyptiques pendant sept ans, lesquels doivent précéder le retour de Jésus. Mais très peu le savent et beaucoup affirment « sans réfléchir » et de façon plus ou moins « arrogante », que nul ne peut connaître « les temps et les moments », connus de « Dieu seul ». C’est en réalité mal connaître les Saintes Écritures et, en même temps, faire preuve d’incrédulité. Car si Jésus avait en effet dit à ses disciples, concernant l’époque de son retour (Actes 1 v 7) : « Ce n’est pas à vous de connaître les temps et les moments », il s’adressait aux premiers disciples qui le questionnaient et non aux chrétiens du temps de la fin. Car dire : « ce n’est pas à vous », signifie aussi que : « c’est à d’autres ».
Actes (de Luc) 1 v 1-9 :
J'ai composé le premier traité (Évangile de
Luc), ô Théophile, sur toutes les choses que Jésus commença de faire et
d'enseigner, jusqu'au jour où il fut élevé au ciel, après avoir donné, par
l'Esprit Saint, des ordres aux apôtres qu'il avait choisis ; à qui aussi,
après avoir souffert, il se présenta lui-même vivant, avec plusieurs preuves
assurées, étant vu par eux durant quarante jours, et parlant des choses qui
regardent le royaume de Dieu. Et étant assemblé avec eux, il leur commanda
de ne pas partir de Jérusalem, mais d'attendre la promesse du Père,
laquelle, dit-il, vous avez ouïe de moi : car Jean a baptisé avec de l'eau ;
mais vous, vous serez baptisés de l'Esprit Saint, dans peu de jours. Eux
donc étant assemblés, l'interrogèrent, disant : Seigneur, est-ce en ce
temps-ci que tu rétablis le royaume pour Israël ? Mais il leur dit :
Ce n'est pas à vous de connaître (ou de « vivre ») les temps ou les
saisons que le Père a réservés à sa propre autorité ; mais vous recevrez de
la puissance, le Saint Esprit venant sur vous ; et vous serez mes témoins à
Jérusalem et dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu'au bout de la
terre. Et ayant dit ces choses, il fut élevé de la terre, comme ils
regardaient, et une nuée le reçut et l'emporta de devant leurs yeux. L’expression de Jésus « Ce n’est pas à vous… » est significative. Il leur a dit que, pour ce qui les concernait, le temps n’était pas venu, car il fallait d’abord évangéliser Jérusalem, toute la Judée, la Samarie et le monde entier, jusqu’aux extrémités de la terre. Pour le retour de Jésus, cela s’accomplira effectivement suivant « les temps ou les saisons » fixés par l’autorité divine, ce qui signifie que c’est selon la volonté de Dieu que l’histoire de l’Église devait d’abord s’accomplir avant son retour. En fait, il y avait deux mille ans à attendre très exactement à partir de l’an 27, début de l’histoire de l’Église, mais ce n’était pas aux premiers chrétiens de le savoir.
Comment le sait-on aujourd’hui ? Il y a d’abord les sept messages aux sept Églises d’Asie Mineure (Apocalypse, chapitre 2) dont il apparaît qu’ils représentent les sept âges de l’histoire de l’Église et qu’ils s’inscrivent dans les dates suivantes : Éphèse de 27 à 307, Smyrne de 307 à 587, Pergame de 587 à 867, Thyatire de 867 à 1147, Sardes de 1147 à 1427, Philadelphie de 1427 à 1707 et Laodicée de 1707 à 1987. Chacun s’inscrit dans une période de 280 ans, ce qui fait sept fois 280 ans ou 1960 ans en tout. Arrivés en 1987 (1960 ans ajoutés à l’an 27), les sept âges de l’histoire de l’Église se sont accomplis. Dès lors, nous entrons dans l’histoire de la dernière génération qui va de 1987 à 2027, c’est-à-dire les « derniers temps » ou « les temps de la fin ». Le cycle complet, déterminé par toute la structure des cycles historiques depuis le commencement (ères d’Adam, d’Abraham et ère chrétienne), selon la chronologie biblique, permet d’établir celui de l’ère chrétienne (compté depuis le début de l’histoire de l’Église et non depuis la naissance de Jésus), qui est de deux mille ans, soit : 1960 ans (les sept âges de l’histoire de l’Église) et 40 ans (dernière génération). Le cycle de 40 ans se divise de la façon suivante : 33 ans et 7 ans d’Apocalypse (70° semaine d’année de Daniel). L’Apocalypse se situe donc de 2020 à 2027 et le retour de Jésus est déterminé pour l’année 2027, deux mille ans après le début de l’histoire de l’Église (Pentecôte de l’an 27 jusqu’à son retour). Ajoutons enfin que, pour ce qui concerne « le jour et l’heure », il ne peut pas s’agir ici de « l’année ou du siècle ». Jésus parle de « la génération qui verra ces choses et qui ne passera pas » (v. 34), donc une génération déterminée dans l’histoire et il précise enfin « quant à ce jour-là et à l’heure », c’est-à-dire au moment précis de son retour. Le jour et l’heure ne sont pas précisés car cela se fera dans le cadre de la « Bataille d’Harmaguédon » (Apocalypse 16 v 16) et, dans ces conditions, le secret du jour précis du retour de Jésus s’explique.
Matthieu ch. 24 v 34-36 :
« En vérité, je vous dis : Cette génération ne
passera point que toutes ces choses ne soient arrivées. Le ciel et la terre
passeront, mais mes paroles ne passeront point. Mais, quant à ce jour-là
et à l’heure, personne n’en a connaissance, pas même les anges des
cieux, si ce n’est mon Père seul ». Si les disciples de Jean-Baptiste attendaient Jésus, ce qui est un fait, c’est parce qu’ils connaissaient « l’époque et les temps » de sa manifestation, cela grâce aux indications données par les prophètes, dont en particulier la prophétie des « semaines d’années » de Daniel (décompte chronologique). Il en est de même de nos jours, car nous connaissons la suite obligée de ce même « décompte chronologique », celui qui est déterminé par les cycles historiques à l’intérieur desquels il est inclus : les « semaines d’années » faisaient partie intégrante des cycles historiques, à partir desquels sont désignés « les temps et les moments ». Ils programment de la même manière les « événements apocalyptiques » pour les années 2020 à 2027. Luc précise au chapitre 21, verset 24 : « Jusqu’à ce que les temps des nations soient accomplis ». Comment « les temps » pourraient-ils s’accomplir si le temps n’est pas « compté » ? Et comment le temps pourrait-il être compté en dehors des réalités historiques ? En fait, ce sont les cycles historiques qui déterminent « les temps et les moments » tout comme ils avaient déterminé et précisé l’époque de la venue du Messie en Palestine, lequel devait être « retranché » très précisément en 27 de notre ère, soit après « soixante-neuf semaines d’années » accomplies (483 ans après 457 av. notre ère, année du début de la reconstruction des murailles de Jérusalem et début du « compte à rebours »). Prétendre que « donner du crédit aux cycles historiques » serait « nier la suprématie de Dieu », c’est oublier que les cycles historiques sont déterminés par la volonté de Dieu lui-même et qu’ils obéissent à des lois au même titre que les planètes dans le système solaire obéissent à la loi de la gravité universelle, voulue de Dieu également.
Comprenons bien ceci : si l’ange Gabriel n’avait pas révélé la prophétie des « semaines d’années » à Daniel, si les Esséniens n’avaient pas attendu le Messie et si Jean-Baptiste ne s’était pas manifesté, Jésus n’aurait pas eu de disciple ! De nos jours, il y a les chrétiens qui forment l’Église, comme il y avait les Juifs en Palestine ; il y a parmi eux, peu nombreux, ceux qui attendent le retour de Jésus, comme il y avait les Esséniens, peu nombreux, parmi les juifs ; et il y a les « cycles historiques », continuation logique des « semaines d’années » de Daniel. Il n’y a plus « Jean-Baptiste », mais l’Apocalypse annonce la manifestation de deux prophètes qui précéderont le retour de Jésus, lesquels sont appelés « les Deux Témoins ». Le même processus se répète de façon à nous avertir à l’avance de ce qui va arriver et à nous permettre de reconnaître les signes des temps. C’est ce que firent, au premier siècle de notre ère (en 24), les disciples de Jésus qui se décidèrent à le suivre.
Étrangement en 2023-2024, 1999 ans passés ou deux millénaires après la manifestation publique de Jésus qui se fit en l’an 24, il y aura la domination de l’Antéchrist. Celui-ci prétendra être le « Christ », mais il ne le sera pas ! Jésus reviendra trois ans et demi plus tard et mettra fin à son règne ! Nostradamus voulait-il parler de la manifestation de l’Antéchrist en annonçant « 1999, septième mois » ? Il semble que oui ! Mais, dans ce cas, ce n’était pas l’année 1999 de notre calendrier : il s’agissait d’un temps compté depuis la manifestation publique de Jésus jusqu’à celle de l’Antéchrist ! Si ce n’est qu’une « coïncidence », elle est troublante !
Matthieu XXV, 1-12 : Alors le royaume des cieux sera semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, allèrent à la rencontre de l’époux. Cinq d’entre elles étaient folles, et cinq sages. Les folles, en prenant leurs lampes, ne prirent point d’huile avec elles ; mais les sages prirent, avec leurs lampes, de l’huile dans des vases. Comme l’époux tardait, toutes s’assoupirent et s’endormirent. Au milieu de la nuit, on cria : « Voici l’époux, allez à sa rencontre ! ». Alors toutes ces vierges se réveillèrent, et préparèrent leurs lampes. Les folles dirent aux sages : « Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent ». Les sages répondirent : « Non ; il n’y en aurait pas assez pour nous et pour vous ; allez plutôt chez ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous ». Pendant qu’elles allaient en acheter, l’époux arriva ; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent : « Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ». Mais il répondit : « Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas ». 1° aux Thessaloniciens V, 1-5 : Pour ce qui est des temps et des moments, vous n’avez pas besoin, frères, qu’on vous en écrive. Car vous savez bien vous-mêmes, que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit. Quand les hommes diront : « Paix et sûreté ! », alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l’enfantement surprennent le femme enceinte, et ils n’échapperont point. Mais vous, frères, vous n’êtes pas dans les ténèbres, pour que ce jour vous surprenne comme un voleur ; vous êtes tous des enfants de lumière et des enfants du jour. Nous ne sommes point de la nuit et des ténèbres. Daniel XII, 4-10 : Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera. Et moi, Daniel, je regardai, et voici, deux autres hommes se tenaient debout, l'un en deçà du bord du fleuve, et l'autre au delà du bord du fleuve. L'un d'eux dit à l'homme vêtu de lin, qui se tenait au-dessus des eaux du fleuve : Quand sera la fin de ces prodiges ? Et j'entendis l'homme vêtu de lin, qui se tenait au-dessus des eaux du fleuve ; il leva vers les cieux sa main droite et sa main gauche, et il jura par celui qui vit éternellement que ce sera dans un temps, des temps, et la moitié d'un temps, et que toutes ces choses finiront quand la force du peuple saint sera entièrement brisée. J'entendis, mais je ne compris pas ; et je dis : Mon seigneur, quelle sera l'issue de ces choses ? Il répondit : Va, Daniel, car ces paroles seront tenues secrètes et scellées jusqu'au temps de la fin. Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront. L’Apocalypse de Saint Jean, aux chapitres II et III, présente les sept messages aux sept Eglises d’Asie ; il s’agit des sept développements de l’Histoire de l’Eglise décrits en prenant en exemple des « états spirituels » de chacune des sept Eglises qui existaient à l’époque en Asie Mineure. Cela fut donné en exemple afin de pouvoir, par la suite, repérer et reconnaître, dans la structure historique elle-même, les sept âges qui séparent le début de l’Histoire de l’Eglise jusqu’à la fin des sept âges (de 27 de notre ère à l’an 1987) et du commencement de l’Apocalypse 33 ans après 1987 (début en 2020), laquelle correspond à la « soixante-dixième semaine d’année » de Daniel (voir Daniel IX, 20-27). Nous savons que les sept années apocalyptiques se divisent en deux périodes de trois ans et demi et que c’est dans la seconde que doit se manifester l’Antéchrist. Ainsi, lors de l’apparition de l’Antéchrist, nous connaîtrons aussi l’année du retour de Jésus-Christ, soit trois ans et demi plus tard ! Pour ce qui est « du jour et de l’heure », ce n’est pas « le mois et l’année », ni « l’année et le siècle », ni même « le siècle et le millénaire », soyons clairs ! Le « jour et l’heure » seront tenus secrets, car il y aura une stratégie de guerre planétaire et « cosmique », de telle sorte qu’on ne doit pas prévenir à l’avance l’Adversaire du moment précis où il va être vaincu !
Après l’accomplissement des sept âges de l’histoire de l’Eglise, nous entrons dans les « temps de la fin ».
Tableau des sept âges de l’histoire de l’Eglise :
Chapitre 12
L’Apocalypse expliquée :
Apocalypse 1 v 1-3 : Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses esclaves les choses qui doivent arriver bientôt ; et il l’a signifiée, en l’envoyant par son ange, à son esclave Jean, qui a rendu témoignage de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus Christ, de toutes les choses qu’il a vues. Bienheureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de la prophétie et qui gardent les choses qui y sont écrites, car le temps est proche!
Telle est l’introduction du livre de l’Apocalypse de Saint Jean, laquelle nous servira de conclusion. Certains disent que l’Apocalypse ne parle pas des « malheurs qui doivent arriver », mais qu’il s’agit d’une « œuvre d’initiation mystique ». Rien n’est plus faux : ils vous trompent ! Relisez l’introduction de l’Apocalypse : « … pour montrer à ses esclaves (serviteurs) les choses qui doivent arriver bientôt ». Il s’agit bel et bien d’un livre prophétique pour nous révéler les événements du futur !
Si la véritable signification des textes a toujours été cachée au peuple, c’est parce que ceux qui détenaient les premiers exemplaires de la Bible, et avaient le privilège de pouvoir les lire, n’avaient pas toujours la conscience tranquille ! Ils ne souhaitaient pas que le peuple connaisse toutes les vérités, de peur de se trouver eux-mêmes bientôt condamnés par lui ! Ils ne tenaient pas particulièrement à ce le peuple sache ce que la Bible disait des « questions d’argent » ou des « traditions humaines ». En clair, ce que contenait la Bible « dérangeait » le plus souvent ceux qui étaient chargés de l’enseigner ! Ils auraient même été tentés de la tenir fermée et attachée avec des chaînes tout autour, si cela n’aurait pas clairement trahi leur pensée ! Alors, ils se sont contentés de tenir certains textes « cachés » pour ne pas avoir à en parler.
Comprenez bien ceci : tant que la Bible demeurait entre les mains de quelques-uns, on parlait volontiers au peuple de certaines choses, mais on lui cachait tout ce que l’on ne voulait pas qu’il sache ! Cela s’appellerait de nos jours de la « désinformation » ! Savez-vous que la lecture de la Bible a été longtemps interdite ? Mais de nos jours « la connaissance a augmenté » grâce à l’invention de l’imprimerie et à la possibilité de trouver une Bible dans le commerce. La connaissance des textes prophétiques s’est ainsi répandue dans le monde entier.
Peut-être direz-vous : « A quoi bon, puisque personne ne comprend ce qui est écrit dans le livre de Daniel ou dans l’Apocalypse, et qu’il est possible de ce fait d’en interpréter le sens comme l’on veut ! ». En réalité, de nos jours, il est devenu réellement possible de comprendre les visions prophétiques à cause des « progrès de la connaissance » dont a parlé le prophète Daniel (12 v 4) : « Et toi, Daniel, cache les paroles et scelle le livre jusqu’au temps de la fin. Plusieurs courront çà et là; et la connaissance sera augmentée ».
Il se trouve que le livre de Daniel et l’Apocalypse de Saint Jean se complètent mutuellement l’un l’autre, exactement comme s’il s’agissait d’une seule et même œuvre, écrite par un seul auteur ! Dieu lui-même en est l’auteur ! Il a révélé ces choses, non pas en une seule fois, mais en plusieurs étapes, en envoyant à chaque fois ses anges. Ainsi, plusieurs visions prophétiques ont été accordées en premier lieu au prophète Daniel, et ensuite, quelques siècles plus tard, à l’apôtre Jean qui a reçu les dernières d’entre elles, lesquelles nous permettent aujourd’hui de comprendre tout l’ensemble du corps prophétique.
Si ces textes sont toujours difficiles à assimiler, c’est parce qu’ils ne devaient pas être compris avant « le temps », celui de la fin ! Car sinon, ils auraient été purement et simplement détruits par ceux qui les détenaient auparavant dans le cas où ils auraient « tout compris » ! C’était donc pour pouvoir assurer leur protection au cours des siècles qu’ils ont été codés. Ensuite, le décodage des visions prophétiques s’effectue de façon naturelle, dès que la Bible est mise en vente libre dans les commerces et que ceux qui souhaitent l’étudier puissent enfin le faire ! Le codage qui a été utilisé est celui de la « dispersion des éléments d’un puzzle caché dans le texte », c’est-à-dire que lorsqu’un texte paraît être écrit en clair, il ne l’est pas en réalité, à cause de l’absence de « certains éléments nécessaires » pour qu’il puisse être clairement compris : ce sont des « vides » ! C’est bien cette méthode qui a été utilisée pour « coder » les visions prophétiques ! Les « vides » qui se trouvent dans les textes de Daniel et de l’Apocalypse ne peuvent être « comblés » que grâce à une lecture systématique et assidue des deux livres, laquelle permet de trouver les éléments du « puzzle » qui manquent. Car les éléments à retrouver sont dispersés dans d’autres parties de l’ensemble des textes, soit dans le livre du prophète Daniel, soit dans l’Apocalypse ! Certains éléments du « puzzle » se trouvent également dispersés dans d’autres livres de la Bible, comme par exemple dans ceux des prophètes Zacharie et Ezéchiel, ou même dans les Evangiles ! Cependant, l’essentiel des éléments du « puzzle » reste dispersé dans les visons prophétiques elles-mêmes ! Par exemple, un « vide » qui se trouve dans un texte du livre de Daniel et rend sa lecture « obscure » est comblé par un élément qui se trouve dans l’Apocalypse de saint Jean, et cela est vrai aussi dans l’autre sens. Il est par conséquent indispensable de lire les deux livres car ils s’éclairent mutuellement l’un l’autre. Ceux qui ne lisent que l’Ancien Testament ne peuvent pas comprendre le livre de Daniel, car il leur manque l’Apocalypse de saint Jean pour les éclairer ; de même, ceux qui ne lisent que le Nouveau Testament, sans jamais lire les prophètes de l’Ancien Testament, ne comprendront pas l’Apocalypse qui restera obscure pour eux !
Pour trouver l’ensemble de tous les éléments du « puzzle » et les rassembler, il n’y a qu’une seule et unique méthode qui fonctionne : il faut étudier tous les textes des visions prophétiques sans exception, par des lectures répétées, et cela pendant des mois et des années ! Comprenons bien que ce codage des textes prophétiques a été rendu nécessaire, parce qu’il fallait qu’ils soient protégés de la destruction ! C’est dans l’esprit de celui qui étudie les textes, et nulle part ailleurs, que les « éléments du puzzle » qui manquent « ici et là » se rassemblent enfin peu à peu, jusqu’à ce que la lumière paraisse ! Différentes parties des textes s’éclairent mutuellement les unes les autres, mais il faut persévérer, sans cesse et toujours ! Ainsi, ceux qui ne croient pas réellement en Dieu abandonneront rapidement une telle recherche ! De même, ceux qui veulent se servir des Saintes Ecritures pour « faire de l’argent » seront en réalité préoccupés par « autre chose » et ne s’attarderont plus, car pour eux, « le temps c’est de l’argent » ! Mais tous ceux qui sont conduits par une foi authentique et qui persévèrent dans l’étude, vont de progrès en progrès jusqu’à ce que les textes deviennent de plus en plus clairs dans leur esprit ! Après des années, ils peuvent comprendre beaucoup de choses ! Il s’agit d’un « effet miraculeux », car aucun esprit humain n’aurait pu concevoir ni mettre en place un « complexe codé » comme celui que nous trouvons dans les visions prophétiques !
Mais aujourd’hui, l’étude persévérante des visions prophétiques qu’il fallait faire durant des années est une chose accomplie ! En 2005, cela faisait 25 ans que l’auteur avait étudié les visions prophétiques et avait également fait de nombreuses découvertes sur les cycles de l’histoire, mais il ne savait pas s’il fallait ou non livrer toutes ces choses à la connaissance du public, car il est certain que connaître les dates de l’Apocalypse à l’avance fait peur. Par ailleurs, celui qui les divulgue risque aussi de mettre « sa propre vie en danger » ! Mais le Seigneur Jésus le lui a demandé. Il a accepté et a été « conduit » pour cela : c’est pourquoi vous pouvez lire aujourd’hui ces lignes.
L’Apocalypse expliquée :
Tableau de l'Equation Apocalyptique : Les structures de l’Apocalypse : Structures cycliques dévoilées des visions prophétiques, qui vont permettre dans un deuxième temps de dater les événements apocalyptiques : 1) Les sept sceaux font : 7 x 180 jours, soit 1260 jours (42 x 30 jours) ; 2) Les sept trompettes font : 7 x 180 jours, soit 1260 jours (42 x 30 jours) ; 3) Les sept coupes font : 7 x 30 jours = 210 jours, car 1260 jours + 30 jours = 1290 jours (voir Daniel 12 v 11 pour « 1290 jours ») ; 4) La bataille d’Harmaguédon fait : 45 jours, car 1335 jours – 45 jours = 1290 jours (voir Daniel 12 v 12 pour « 1335 jours »). 5) Cycle apocalyptique complet fait : 1260 jours + 1260 jours + 30 jours + 45 jours = 2595 jours ! 6) Résolution : 1260 jours (sept sceaux) + 1290 jours (sept trompettes avec les sept coupes contenues dans la dernière d’ente elles) + 45 jours (bataille d’Harmaguédon) = 2595 jours !
Equation apocalyptique :
Le cycle de 2340 jours est à prendre en considération, car il nous explique cette révélation des 2300 jours ou « soirs et matins » ! En effet, c’est après 2340 jours que l’Eglise sera enlevée, mais c’est après 2300 jours accomplis depuis le début de l’Apocalypse que les deux Témoins, Elie et Moïse seront crucifiés, c’est-à-dire qu’ils auront achevé leur ministère ! Il y a une différence de 40 jours entre ces deux durées (2340 jours – 2300 jours).
Sept fois 180 jours font 1260 jours (180 jours = durée de chaque sceau et de chaque trompette) et, puisque les Deux Témoins auront commencé leur ministère, qui doit durer également 1260 jours, 40 jours plus tôt avant le début du 7° sceau, ils l’achèveront également 40 jours plus tôt avant le début de la 7° trompette. Il faudra donc retirer 40 jours aux 2340 jours accomplis (qui correspondent avec 13 fois 180 jours depuis le début de l’Apocalypse jusqu’au début de la 7° trompette) et il restera exactement 2300 jours ! Nous avons ici la preuve « scripturaire » ou « biblique » que les Deux Témoins commenceront leur ministère 1040 jours après le début de l’Apocalypse, c’est-à-dire après 4 fois 260 jours, suivant les divisions de 260 jours du cycle complet de 2340 jours (2340 jours = 9 x 260 jours = 13 x 180 jours).
Sachons enfin que 2340 jours font aussi trois fois 780 jours ou trois révolutions synodiques de la planète Mars (c’est-à-dire trois alignements Soleil – Terre – Mars). Les cycles apocalyptiques sont confirmés par les cycles célestes, mais il ne peut pas s’agir ici d’astrologie, car cela n’a aucun rapport avec la « divination astrologique ». Il faut y voir un rapport avec la planète Mars du point de vue des cycles astronomiques qu’elle détermine, c’est-à-dire des « durées » comme c’est le cas avec la Lune qui détermine les mois.
Le schéma apocalyptique, tiré du cycle de 2340 jours, inscrit de façon parfaite tous les cycles des visions prophétiques tirés de la Bible et, de plus, il correspond avec une valeur astronomique fondamentale que voici :
2340 jours = 3 x 780 jours (Mars) = 6,5 x 360 jours = 4 x 585 jours (Vénus). Nous pouvons lui donner un nom : « Equation apocalyptique » !
1° Tableau : Le schéma des cycles apocalyptiques.
2°Tableau : Les dates apocalyptiques.
PREMIERE PARTIE :
PREMIER SCEAU : Ce cavalier pourrait être l’Archange Michel : sa victoire est assurée.
SECOND SCEAU : C’est ici l’ange de la guerre. Il y aura une guerre qui se déclenchera pendant le deuxième sceau de l’Apocalypse. Il ne faut donc pas penser que « tout va aller pour la mieux dans le meilleur des mondes » : tous les pronostics des hommes politiques seront contredits car, malgré leurs efforts de paix, la guerre éclatera. Croire que la Deuxième Guerre mondiale a été la dernière des guerres est une erreur ! Pourquoi ? Parce que l’injustice dans le monde ne peut pas produire la paix ! La guerre est obligatoire et revient toujours tout aussi longtemps que le problème des riches et des pauvres ne sera pas réglé dans le monde, autant entre les individus qu’entre les peuples (pays riches et pays pauvres). Dans cette période la paix ne sera plus possible sur terre. Il faudra observer les événements et les noter car ils seront significatifs.
TROISIEME SCEAU : Le blé et l’orge seront affectés, mais pas le fruit de l’olivier, ni celui de la vigne. L’huile et le vin sont utilisés dans les rites de l’Eglise : Onction d’huile et Sainte Scène ; ils seront préservés ! Par ailleurs, les oliviers et les vignes souffrent moins en période de sécheresse que le blé et l’orge : il y aura donc une grande sécheresse ! Celle-ci commencera au printemps, à partir du 26 mars 2021. Mais nous pouvons observer que le processus d’une sécheresse mondiale est déjà commencé depuis 2003, année de la première grande canicule ! Qu’arrivera-t-il 20 ans après cette date ? Le denier correspondait dans l’Antiquité à un jour de salaire. La mesure de blé coûtera une journée de salaire et celle d’orge le tiers seulement. Pour nourrir une famille, il ne faudra plus compter sur le blé, devenu trop cher !
QUATRIEME SCEAU : Le quatrième cavalier de l’Apocalypse est sorti pour accomplir les conséquences des fléaux précédents : la guerre et le famine. Des multitudes mourront de faim et seront victimes des conséquences des guerres dans un monde où la paix ne sera plus qu’un souvenir ! Notons ici que le quart de la Terre est affecté, mais ce n’est que le début ! Nous avons la signification des quatre cavaliers de l’Apocalypse : « faire périr les hommes par l'épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre ».
CINQUIEME SCEAU : Il s’agit de la première résurrection : les âmes des élus en Christ se retrouvent rassemblées dans le ciel. Mais l’Eglise est toujours présente sur terre, car l’enlèvement des chrétiens n’a pas encore eu lieu. Les persécutions contre les chrétiens ont recommencé, comme aux premiers temps de l’histoire de l’Eglise. Mais qui a reconnu l’existence des cycles historiques, qui a compris que les dates de l’Apocalypse pouvaient être connues à l’avance ? Beaucoup parmi ceux qui prêchent l’Evangile n’ont rien voulu savoir ! Le monde n’a probablement pas été prévenu à cause du « black out » contre les tentatives qui ont été faites pour le prévenir. Ne vous y trompez pas, l’Eglise ne sera pas enlevée « tout de suite », c’est-à-dire avant les événements apocalyptiques ! Ceux qui veulent vous le faire croire vous « trompent », car en réalité ils ne croient pas du tout à l’accomplissement des événements apocalyptiques, et pour éviter d’en parler, ils prétendent, en tordant le sens des Ecritures, que l’enlèvement de l’Eglise doit avoir lieu avant la « 70° semaine d’années » de Daniel ! Quel argument sortent-ils ? Juste un passage qu’il n’ont pas compris de la Deuxième Epître aux Thessaloniciens (ch. 2 v 6-8) : « Et maintenant vous savez ce qui retient pour qu’il soit révélé en son propre temps. Car le mystère d’iniquité opère déjà ; seulement celui qui retient maintenant, le fera jusqu’à ce qu’il soit loin. Et alors sera révélé l’inique, que le seigneur Jésus consumera par le souffle de sa bouche et qu’il anéantira par l’apparition de sa venue ». Celui qui retient la manifestation de l’Antéchrist est l’Esprit de Dieu dans l’Eglise. Mais « le retrait » de l’Esprit de Dieu dans les Eglises ne viendra pas de l’enlèvement des chrétiens, il viendra de l’abandon de la foi, en particulier dans les Eglises qui obéissent aux « traditions humaines » plutôt qu’à Dieu ! L’Esprit de Dieu a déjà été « écarté » depuis longtemps de nombreuses Eglises et comment se fait-il que vous ne vous en soyez pas rendu compte ? Par ailleurs, le jour où l’Eglise sera effectivement enlevée, croyez vous réellement que l’Esprit de Dieu cessera d’exister sur Terre ? Ne savez-vous pas qu’il remplit tout l’Univers ? Il ne s’agit donc pas, dans ce passage de la Deuxième Epître aux Thessaloniciens, de l’enlèvement de l’Eglise, mais des conséquences de l’apostasie ou « abandon de la foi » partout dans le monde, et en particulier dans les Eglises ! Quant à ceux qui soutiennent toujours que l’enlèvement de l’Eglise se fera avant l’Apocalypse, ce sont ceux qui ont déjà « abandonné la foi » (apostasie) car en réalité ils ne croient pas à l’accomplissement des prophéties apocalyptiques et c’est la raison pour laquelle ils ne veulent surtout pas en parler ! En vous « trompant » comme ils le font, ils évitent d’avoir à aborder le sujet de l’Apocalypse lui-même : ce sont des « hypocrites » ! La vérité, c’est que l’enlèvement de l’Eglise aura lieu à la septième trompette, juste avant les sept coupes, c’est-à-dire six années passées après le début des événements apocalyptiques ! Considérez à quel point ces « hypocrites » vous « trompent » et voyez déjà quel jugement leur est réservé !
SIXIEME SCEAU : Le ciel s’assombrit, le soleil devient noir comme un sac de crin et la lune rouge comme du sang, tandis que les « étoiles » du ciel sont précipitées sur la terre ! Les « étoiles » du ciel ne sont pas des étoiles proprement dites, mais des météorites qui tombent sur terre en grand nombre. Elles provoquent des dégâts partout dans le monde. Peut-être seront-elles aussi à l’origine de séismes et de raz-de-marée ? Dans la confusion générale, personne ne voit ce qui se passe « derrières les coulisses » : le Diable lui-même est précipité sur la terre, avec ses anges, lesquels ne sont pas des « démons », mais des anges déchus. Ils arrivent en grand nombre en O.V.N.I. ou vaisseaux spatiaux ! Le Diable ne trouve plus sa place dans le ciel, car la première résurrection a eu lieu et il est précipité sur la Terre. Cela a été dit, mais personne ne l’a cru ! Tout ce qui concernait l’Apocalypse et son accomplissement à été « verrouillé » pour que les peuples n’en prennent pas connaissance ! Le Diable a bien fait son travail et maintenant, il impose son pouvoir sur la Terre. Le sixième sceau correspond avec la chute du Diable sur la Terre. Ce passage de l’Apocalypse nous indique qu’elle sera accompagnée de la chute de véritables astéroïdes, en même temps que son arrivée ! Pour semer la confusion, l’arrivée en masse d’O.V.N.I. doit être « masquée » par une véritable chute de corps célestes car, en observant le ciel, il deviendra difficile de faire la différence entre les astéroïdes et les O.V.N.I. ! De plus, les occupants des vaisseaux spatiaux pourront prétendre être venus au secours de notre monde en détresse ! Le Diable n’est pas à un mensonge près ! Il faut ajouter un avertissement : le Diable et ses anges ne vont pas « improviser leur arrivée sur la Terre », mais ils l’ont sans doute déjà préparée depuis longtemps ! Depuis 1947 nous attendons en effet parler de « soucoupes volantes » et de « contacts » entre leurs occupants et des êtres humains, mais tout cela peut-il se faire sans raison et sans plan élaboré à l’avance ? Ne soyons pas naïfs !
2°) LE SIGNE DU DRAGON : Voici ce qui se passe « derrière les coulisses » : le Diable lui-même est précipité sur la terre avec ses anges qui correspondent au tiers des « étoiles du ciel », c’est-à-dire avec le tiers des anges qui ont été séduits par le Dragon et sont devenus depuis des « anges déchus ». Ils arriveront par conséquent sur terre en très grand nombre : il s’agit d’une véritable invasion d’O.V.N.I. Bien sûr, « personne » ne croyait avant cela aux « O.V.N.I. » et ne pouvait se « ridiculiser » en mentionnant seulement le mot « soucoupe volante » ! Tout a été fait pour préparer ce jour, dans l’obscurité et dans l’ombre, avec la complicité de ceux qui ont tout fait pour cacher la vérité au peuple en faisant passer les O.V.N.I. pour des « hallucinations collectives » ! Tous ceux qui ont travaillé à essayer d’avertir le peuple depuis des années ont perdu leur temps, mais maintenant, il est trop tard ! L’apparence du Diable décrit comme un dragon rouge, avec sept têtes et dix cornes, est en rapport avec la « succession des empires » qu’il a dominé dans le passé, dont l’empire romain. Il arrive en force pour dominer le monde avec toute sa puissance comme il ne l’a jamais fait dans le passé ! La queue du Dragon (le Diable) entraîne avec elle le tiers des étoiles du ciel, c’est-à-dire des anges, lesquels sont les anges déchus ! Considérez à quel point ils vont arriver nombreux ! Il s’agit bien d’une invasion d’O.V.N.I. ! Mais le scénario est préparé à l’avance et ils n’auront aucune difficulté à s’emparer du pouvoir mondial car ils sont déjà « infiltrés » dans les milieux politiques, économiques, scientifiques et sociaux depuis plusieurs années ! Même si ce n’est pas directement eux-mêmes, c’est déjà fait à cause des « implants » placés à l’intérieur des corps de leurs victimes ! Pourquoi croyez-vous que l’on ait caché la vérité sur le phénomène O.V.N.I. ? Sans doute pour ne pas « troubler » ce qui était en train de se faire ! Ce serait de la « science fiction » dites-vous ? Non, il s’agit bien des prophéties bibliques : il faut les étudier, les lire et les relire, car de cette façon tout devient clair ! Les prophéties nous ont averti longtemps à l’avance, mais qui s’en soucie de nos jours ? Parmi ceux qui ont compris, beaucoup ont « peur » et se taisent ! Ezéchiel 28 v 1-19 : 28.1 La parole de l'Éternel me fut adressée, en ces mots: 28.2 Fils de l'homme, dis au prince de Tyr: Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Ton cœur s'est élevé, et tu as dit: Je suis Dieu, Je suis assis sur le siège de Dieu, au sein des mers! Toi, tu es homme et non Dieu, Et tu prends ta volonté pour la volonté de Dieu. 28.3 Voici, tu es plus sage que Daniel, Rien de secret n'est caché pour toi; 28.4 Par ta sagesse et par ton intelligence Tu t'es acquis des richesses, Tu as amassé de l'or et de l'argent Dans tes trésors; 28.5 Par ta grande sagesse et par ton commerce Tu as accru tes richesses, Et par tes richesses ton cœur s'est élevé. 28.6 C'est pourquoi ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Parce que tu prends ta volonté pour la volonté de Dieu, 28.7 Voici, je ferai venir contre toi des étrangers, Les plus violents d'entre les peuples; Ils tireront l'épée contre ton éclatante sagesse, Et ils souilleront ta beauté. 28.8 Ils te précipiteront dans la fosse, Et tu mourras comme ceux qui tombent percés de coups, Au milieu des mers. 28.9 En face de ton meurtrier, diras-tu: Je suis Dieu? Tu seras homme et non Dieu Sous la main de celui qui te tuera. 28.10 Tu mourras de la mort des incirconcis, Par la main des étrangers. Car moi, j'ai parlé, Dit le Seigneur, l'Éternel. 28.11 La parole de l'Éternel me fut adressée, en ces mots: 28.12 Fils de l'homme, Prononce une complainte sur le roi de Tyr! Tu lui diras: Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel: Tu mettais le sceau à la perfection, Tu étais plein de sagesse, parfait en beauté. 28.13 Tu étais en Éden, le jardin de Dieu; Tu étais couvert de toute espèce de pierres précieuses, De sardoine, de topaze, de diamant, De chrysolithe, d'onyx, de jaspe, De saphir, d'escarboucle, d'émeraude, et d'or; Tes tambourins et tes flûtes étaient à ton service, Préparés pour le jour où tu fus créé. 28.14 Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées; Je t'avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu; Tu marchais au milieu des pierres étincelantes. 28.15 Tu as été intègre dans tes voies, Depuis le jour où tu fus créé Jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi. 28.16 Par la grandeur de ton commerce Tu as été rempli de violence, et tu as péché; Je te précipite de la montagne de Dieu, Et je te fais disparaître, chérubin protecteur, Du milieu des pierres étincelantes. 28.17 Ton cœur s'est élevé à cause de ta beauté, Tu as corrompu ta sagesse par ton éclat; Je te jette par terre, Je te livre en spectacle aux rois. 28.18 Par la multitude de tes iniquités, Par l'injustice de ton commerce, Tu as profané tes sanctuaires; Je fais sortir du milieu de toi un feu qui te dévore, Je te réduis en cendre sur la terre, Aux yeux de tous ceux qui te regardent. 28.19 Tous ceux qui te connaissent parmi les peuples Sont dans la stupeur à cause de toi; Tu es réduit au néant, tu ne seras plus à jamais!
Dans cette complainte d’Ézéchiel, le roi de Tyr est comparé au Diable et, au travers de ce texte inspiré, nous obtenons des renseignements. Ce chapitre du prophète Ézéchiel, qui vécut au moment de la captivité des Juifs à Babylone, nous le fait mieux connaître ! C’est ce même Chérubin qui s’acharna contre Jésus, et par la suite contre tous les chrétiens ! C’est lui enfin qui sera précipité sur la terre au « sixième Sceau », c’est-à-dire après « cinq fois six mois » ou 900 jours accomplis (2,5 x 360 jours) du début de l’Apocalypse, allant de 2020 à 2027 (voir Apocalypse 6 v 12-17, 12 v 3-4 et 12 v 7-9)), entraînant avec lui le « tiers des étoiles du ciel », c’est-à-dire tous les anges déchus à sa suite : soit un tiers des anges ! Oui, un tiers des anges, comprenez-vous ? Cela signifie que pendant l’Apocalypse le Diable sera installé sur terre avec les anges déchus, arrivés en grand nombre ! Le phénomène O.V.N.I. dont il ne semble pas sérieux de parler, prend toute sa signification ! Que faut-il penser de ceux qui veulent aujourd’hui construire une ambassade sur terre pour les accueillir ?
Beaucoup ne croient pas au Diable ! En principe, c’est difficile d’y croire, mais si l’expérience spirituelle nous conduit à le rencontrer, c’est autre chose ! Avez-vous entendu parler d’exorcisme ? Sachez que les démons chassés sont au service du Diable ! Mais ce ne sont pas des anges déchus ! Les démons sont des esprits et les anges déchus ont un corps semblable au nôtre ! En fait, nous sommes effrayés lorsque nous nous rendons compte que le Diable existe réellement avec son armée de démons et d’anges déchus.
Un dialogue peut avoir lieu entre le Diable et Dieu lui-même ! Dieu nous le montre, grâce à l’histoire de Job !
Sachons que l’épreuve vient souvent du Diable, comme celle de Job par exemple (Job 1 v 6-12) : « Or, un jour, il arriva que les fils de Dieu vinrent se présenter devant l’Éternel, et Satan aussi vint au milieu d’eux. Et l’Éternel dit à Satan : D’où viens-tu ? Et Satan répondit à l’Éternel et dit : De courir çà et là sur la terre et de m’y promener. Et l’Éternel dit à Satan : As-tu considéré mon serviteur Job, qu’il n’y a sur la terre aucun homme comme lui, parfait et droit, craignant Dieu, et se retirant du mal ? Et Satan répondit à l’Éternel et dit : Est-ce pour rien que Job craint Dieu ? Ne l’as-tu pas, toi, entouré de toutes parts d’une haie de protection, lui, et sa maison, et tout ce qui lui appartient ? Tu as béni le travail de ses mains, et tu as fait abonder son avoir sur la terre. Mais étends ta main et touche à tout ce qu’il a : tu verras s’il ne te maudit pas en face. Et l’Éternel dit à Satan : Voici, tout ce qu’il a est en ta main, seulement tu n’étendras pas ta main sur lui. Et Satan sortit de la présence de l’Éternel ».
4°) MICHEL COMBAT LE DRAGON : 12.13 Quand le dragon vit qu'il avait été précipité sur la terre, il poursuivit la femme qui avait enfanté l'enfant mâle. 12.14 Et les deux ailes du grand aigle furent données à la femme, afin qu'elle s'envolât au désert, vers son lieu, où elle est nourrie un temps, des temps, et la moitié d'un temps, loin de la face du serpent. 12.15 Et, de sa bouche, le serpent lança de l'eau comme un fleuve derrière la femme, afin de l'entraîner par le fleuve. 12.16 Et la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche. 12.17 Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au restes de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus. Le Diable doit être précipité sur la Terre, à partir du ciel et non de lieux souterrains, comme le pensent certains partisans de la « théorie de la Terre creuse ». Il est précisé : « et ses anges furent précipités avec lui ». Il s’agit des anges déchus et non des démons. Les anges déchus ont un corps physique, comme les autres anges et les démons sont des esprits seulement. La chute du Diable sur la Terre se présentera obligatoirement par la « chute des étoiles », c’est-à-dire l’arrivée en masse d’O.V.N.I. Il s’agira d’une invasion car ils seront très nombreux : leur nombre correspond au tiers de la totalité des anges. Etrangement le tiers de « 1000 » est « 333 » et les deux tiers de « 1000 » font « 666 » ! La marque de la Bête, qui est le nombre « 666 », signifierait-elle d’un point de vue analogique qu’un tiers des anges, les anges déchus, contrôleront les deux tiers des êtres humains après leur arrivée ? La précipitation du Diable sur la terre ne se fait pas avec facilité : elles est la conséquence d’une guerre dans le ciel. En effet, l’Archange Michel, accompagné de ses anges a chassé le Diable du ciel qui ne peut plus y trouver de place : enfin pour le ciel, mais que dire pour la terre ! Ici le Dragon poursuit la femme qui a mis au monde l’enfant mâle, c’est-à-dire Jésus-Christ. Par conséquent la femme, c’est Israël. Les visions prophétiques ne tiennent pas compte de l’histoire de l’Eglise, comme si elle n’existait pas et c’est pourquoi on a pris l’habitude de parler de la « parenthèse de l’histoire de l’Eglise » ou « Temps de la Grâce ». Mais cela ne signifie pas que l’Eglise sera enlevée avant le début des événements apocalyptiques ! Lisons attentivement ce texte : « Et le dragon fut irrité contre la femme, et il s'en alla faire la guerre au restes de sa postérité, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus ». Comment cela serait-il possible dans le cas où l’Eglise aurait déjà été enlevée ? Les choses se passent bien après que le Dragon ait été précipité sur la terre, c’est-à-dire au sixième sceau de l’Apocalypse, deux ans et demi après son commencement ! Une guerre va éclater contre Israël juste après la précipitation du Diable sur la Terre, mais « la terre vient au secours d’Israël » et « avale » le fleuve (armée) lancé contre Israël ! Il peut s’agir d’une victoire militaire ou d’un événement prodigieux ! Romains 11 v 11-24 : 11.11 Je dis donc: Est-ce pour tomber qu'ils ont bronché? Loin de là! Mais, par leur chute, le salut est devenu accessible aux païens, afin qu'ils fussent excités à la jalousie. 11.12 Or, si leur chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, combien plus en sera-t-il ainsi quand ils se convertiront tous. 11.13 Je vous le dis à vous, païens: en tant que je suis apôtre des païens, je glorifie mon ministère, 11.14 afin, s'il est possible, d'exciter la jalousie de ceux de ma race, et d'en sauver quelques-uns. 11.15 Car si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon une vie d'entre les morts? 11.16 Or, si les prémices sont saintes, la masse l'est aussi; et si la racine est sainte, les branches le sont aussi. 11.17 Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui était un olivier sauvage, tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, 11.18 ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. 11.19 Tu diras donc: Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. 11.20 Cela est vrai; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains; 11.21 car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. 11.22 Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu: sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement, tu seras aussi retranché. 11.23 Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront entés; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau. 11.24 Si toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier. La promesse est faite de faire entrer à nouveau le peuple Juif dans la grâce de Dieu. C’est ici la clé de la « parenthèse de l’histoire de l’Eglise » dans les visions bibliques, laquelle y est occultée. La raison n’a rien à voir avec l’enlèvement de l’Eglise appartenant au « temps de la Grâce » et laissant place « au temps de la Loi » à nouveau revenu ! L’Eglise n’est pas enlevée juste avant le début de l’Apocalypse, la « 70° semaine d’années prophétiques », mais Israël revient au premier plan de l’histoire comme s’il n’y avait pas eu d’interruption après la crucifixion et la résurrection du Messie Jésus. Souvenons-nous qu’après la crucifixion et la résurrection de Jésus, de nombreux disciples de Jésus pensaient que le retour de Jésus devait se faire dans les sept années qui suivaient, c’est-à-dire en 34 de notre ère ! Mais ce n’était pas possible à cause de l’état spirituel dans lequel se trouvait le peuple Juif, quelques années après avoir rejeté le Messie : un temps supplémentaire était nécessaire et « ajouté », celui de l’histoire de l’Eglise, caché du point de vue prophétique, lequel devait durer 1993 ans ! Car il y a eu effectivement une « interruption », laquelle correspond avec l’arrêt de l’accomplissement des visions prophétiques liées aux « semaines d’années » du prophète Daniel ; voici comment : Semaines d’années : Point de départ du décompte chronologique : 457 av. notre ère. 69 semaines d’années (483 ans) accomplies : 27 de notre ère. Il manque alors sept ans pour faire « 70 semaines d’années » : il y a interruption des visions prophétiques et du « compte à rebours » des « semaines d’années » en l’an 27 de notre ère. Dès que nous connaissons l’année du début de l’Apocalypse, nous savons quand le « compte à rebours » reprend, n’est-ce pas logique ? L’Apocalypse doit s’accomplir de l’an 2020 à 2027 et, par conséquent, c’est en 2020 que le « compte à rebours » des « semaines d’années prophétiques » reprends son cours, soit après 1993 ans d’interruption, de l’an 27 à l’an 2020. Cela ne signifie pas qu’il y aura l’enlèvement de l’Eglise et un retour à la Loi, mais qu’Israël entre à nouveau dans le plan de Dieu et dans la révélation prophétique. Ce qui signifie que les Juifs ont été écartés du plan de Dieu pendant 1993 ans. l’Etat d’Israël a été fondé en 1948, certes, mais son « histoire spirituelle » ne reviendra pas dans la révélation prophétique elle-même avant l’an 2020, soit 72 ans après 1948. Retenons qu’en 2020 de notre ère, Israël sera réintégré dans le plan de Dieu et l’Apocalypse s’accomplira. Cette réintégration des Juifs explique les Serviteurs de Dieu « marqués du sceau » appartenant aux douze tribus d’Israël, mais aussi la vision de la femme (Israël) dans le désert contre laquelle le Dragon lance un fleuve pour l’engloutir ! Tous les Juifs ne seront pas « convertis » en 2020 pour autant, mais ce peuple sera à nouveau pris en compte dans le plan de Dieu après avoir été « écarté » pendant 1993 ans ! En 2006, il reste 14 ans avant l’an 2020, mais aussi autant d’années pour nous préparer, non pas à l’enlèvement de l’Eglise qui aura lieu plus tard (à la « septième trompette »), mais au début des événements apocalyptiques !
5°) SERVITEURS DE DIEU MARQUES DU SCEAU : Voici donc les Serviteurs de Dieu marqués du sceau : il s’agit bien du peuple d’Israël, revenu au premier plan de la révélation prophétique, mais l’Eglise est toujours présente sur terre. C’est alors que commence le début du ministère prophétique des Deux Témoins : « Elie et Moïse ». Cela arrivera pendant le temps du « sixième sceau » de l’Apocalypse, juste après la chute du Diable sur la Terre. Nous comprenons alors pourquoi le Dragon (le Diable) lancera un « fleuve » (une armée) contre la femme (Israël) pour l’engloutir ! Pour certains, il s’agirait de l’Israël spirituel incluant l’Eglise. C’est possible, mais ce qui est sûr, c’est que les Juifs sont concernés au premier chef ! Le nombre donné étant celui de « 144 000 » (12 fois 12 000), il ne peut s’agir que d’un nombre limité de fidèles, donc probablement de Juifs en Israël ! Il s’agit d’un nombre équivalent à la population d’une ville et nous pensons à celle de Jérusalem ! Ceux-ci pourront « remplacer » d’un point de vue spirituel les « Lévites » qui n’officient plus du point de vue de la Loi de Moïse ! Il reste peu de temps à attendre avant de voir s’accomplir cette prophétie ! Les temps changent : les élus ont été ressuscités et rassemblés dans le ciel et le Diable a été précipité sur la terre avec ses anges déchus ! Maintenant, Israël revient au premier plan dans le texte de l’Apocalypse ! L’histoire de l’Eglise s’est achevée, car les sept âges sont accomplis depuis l’année 1987 et le monde commence à être sévèrement jugé depuis le début des événements apocalyptiques ! Mais le peuple Juif et Israël n’ont pas été oubliés par Dieu, car il semble bien que les « serviteurs marqués du sceau de Dieu » soient des Juifs ! Avec eux, apparaissent également les Deux Témoins annoncés : Elie et Moïse ! 11.1 On me donna un roseau semblable à une verge, en disant: Lève-toi, et mesure le temple de Dieu, l'autel, et ceux qui y adorent. 11.2 Mais le parvis extérieur du temple, laisse-le en dehors, et ne le mesure pas; car il a été donné aux nations, et elles fouleront aux pieds la ville sainte pendant quarante-deux mois. 11.3 Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours. 11.4 Ce sont les deux oliviers et les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre. 11.5 Si quelqu'un veut leur faire du mal, du feu sort de leur bouche et dévore leurs ennemis; et si quelqu'un veut leur faire du mal, il faut qu'il soit tué de cette manière. 11.6 Ils ont le pouvoir de fermer le ciel, afin qu'il ne tombe point de pluie pendant les jours de leur prophétie; et ils ont le pouvoir de changer les eaux en sang, et de frapper la terre de toute espèce de plaie, chaque fois qu'ils le voudront. Il s’agit d’Elie et de Moïse qui reviennent pendant les événements apocalyptiques. Ils prophétiseront car il y aura à nouveau des prophètes en Israël ! Comment cela est-il possible ? Nous savons qu’ils sont apparus à la Transfiguration de Jésus, en présence de Pierre, Jacques et Jean. Marc 9 v 2-13 : Et après six jours, Jésus prend avec lui
Pierre et Jacques et Jean, et les mène seuls à l’écart, sur une haute
montagne. Et il fut transfiguré devant eux ; et ses vêtements devinrent
brillants et d’une extrême blancheur, comme de la neige, tels qu’il n’y a
point de foulon sur la terre qui puisse ainsi blanchir. Et Élie leur apparut
avec Moïse, et ils parlaient avec Jésus. Et Pierre, répondant, dit à Jésus :
Rabbi, il est bon que nous soyons ici ; et faisons trois tentes : une pour
toi, et une pour Moïse, et une pour Élie. Car il ne savait que dire; car ils
étaient épouvantés. Et il vint une nuée qui les couvrit, et il vint de la
nuée une voix : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le. Et aussitôt,
ayant regardé de tous côtés, ils ne virent plus personne, sinon Jésus seul
avec eux. Puisque Jésus dit qu’Elie est déjà venu en parlant de Jean Baptiste, alors il faut penser que ces deux prophètes qui doivent se manifester pendant l’Apocalypse sont bien Elie et Moïse !
Apocalypse 11.3 : Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant mille deux cent soixante jours.
Le temps de leur ministère prophétique est inclus dans les cycles apocalyptiques des visions prophétiques, de même que dans celui des « semaines d’années » de Daniel. C’est pourquoi nous pouvons donner des dates. En effet, les textes bibliques donnent des durées et, pour autant que l’on sache, une durée a un commencement et une fin. Ces durées sont inclues dans le système des visions prophétiques révélées et elles s’enchevêtrent entre elles. Il suffit de connaître la date inaugurale de l’Apocalypse pour pouvoir connaître toutes les autres, cela n’a rien d’extraordinaire ! La date inaugurale de l’Apocalypse est l’année 2020 (déterminée par les cycles historiques) et à partir de cette année là, tout le système des cycles révélé dans les visions prophétiques est « mis en marche » et s’accomplit ! Les 1260 jours du ministère des Deux Témoins commencent après la chute du Diable, dans le « sixième sceau » de l’Apocalypse. Quatre fois 260 jours seront alors accomplis, soit 1040 jours ; leur ministère s’inscrit à l’intérieur d’un cycle de cinq fois 260 jours ou de 1300 jours. Il y a une différence de 40 jours entre 1300 jours et 1260 jours : c’est pourquoi leur ministère commencera 40 jours avant le début du septième sceau (7° cycle de 180 jours). Car le secret de l’enchevêtrement de ces cycles est que la période de 2340 jours est égale à 13 fois 180 jours ou à 9 fois 260 jours. Le début de l’Apocalypse commence avec des cycles qui se croisent de 180 jours et de 260 jours ; ils se recoupent en un même point après 2340 jours accomplis, au moment précis de l’enlèvement de l’Eglise, c’est-à-dire à la fin de la « sixième trompette » (début de la septième). Ayant commencé 40 jours plus tôt leur ministère que le début du 7° sceau apocalyptique (soit après 4 fois 260 jours ou 1040 jours, tandis que le 7° sceau commence après 6 fois 180 jours ou 1080 jours), ils l’achèveront également 40 jours plus tôt que le début de la 7° trompette apocalyptique après 1260 jours accomplis ; c’est pourquoi tout le monde assistera à leur crucifixion, puis à leur résurrection suivie de leur enlèvement au ciel ; peu après seulement l’Eglise sera enlevée à son tour car la boucle des 2340 jours sera achevée ! Après l’enlèvement de l’Eglise, nous observons dans le schéma des cycles apocalyptiques que les cycles « repartent » à partir de leur point d’origine comme pour recommencer un nouveau cycle de 2340 jours ! Mais ce second cycle séparera ceux qui auront été enlevés au ciel des autres qui seront restés sur la Terre ! Ainsi, les 180 jours de la septième trompette commencent ce nouveau cycle pour s’achever au début de la septième coupe, laquelle ajoute un mois de trente jours supplémentaire pour faire 210 jours (180 jours + 30 jours), soit un cycle accompli de 1290 jours (1260 jours + 30 jours) depuis le début de la « 1° trompette apocalyptique » : c’est la destruction de Rome dans ce septième mois, celui de la septième coupe, destruction comptée après six mois accomplis de la septième trompette ou six mois passés après l’enlèvement de l’Eglise ! Les chrétiens qui n’auront pas été enlevés et seront restés sur terre seront jugés, car le Diable ne voudra pas qu’il reste un seul souvenir du christianisme sur terre : Rome sera ainsi détruite ! Il restera après cela un cycle de 45 jours pour accomplir celui de 1335 jours, lequel s’accomplira après 255 jours passés le début du nouveau cycle de 2340 jours, car : 180 jours + 30 jours + 45 jours = 255 jours ; en ajoutant cinq jours supplémentaires, nous obtenons 260 jours accomplis, soit le point d’achèvement du premier cycle de 260 jours du nouveau cycle de 2340 jours du schéma sur lequel tous les cycles apocalyptiques s’inscrivent ! Cela fera 2600 jours accomplis depuis le début de l’Apocalypse ! Est-ce au milieu de ces « cinq jours supplémentaires » que se fera le retour de Jésus ? A ce sujet, Jésus nous a mis en garde en nous précisant que pour ce qui concerne « le jour et l’heure », nul ne peut le connaître à l’avance, sauf Dieu lui-même ! Mais il ne s’agit pas « du mois ou de l’année » et nous en donnons pour preuve que les cycles apocalyptiques s’inscrivent tous dans des durées révélées par les visions prophétiques elles-mêmes, faisant par conséquent partie de la Parole de Dieu ! Nous connaîtrons de façon précise où nous en serons à l’intérieur de ces cycles qui s’accompliront et l’année du retour de Jésus sera obligatoirement connue à l’avance, car c’est ici une évidence qui ne peut être niée, car elle est de rigueur mathématique !
SEPTIEME SCEAU :
Que se passera-t-il à l’ouverture du septième sceau ? Avant cela, le rassemblement des élus (morts en Christ) s’est réalisé dans le ciel à l’ouverture du 5° sceau et le Diable a dès lors été précipité sur la Terre (car il ne trouvait plus sa place au ciel) avec ses armées d’anges déchus (invasion d’O.V.N.I.) à l’ouverture du 6° sceau. Quarante jours avant la fin du 6° sceau, mais après la chute du Diable, les serviteurs de Dieu ont été marqués du sceau et les Deux Témoins, Elie et Moïse, ont commencé leur ministère. Le Diable, sachant qu’il ne lui reste que peu de temps, soit trois ans et demi, se met immédiatement au travail. Les O.V.N.I., occupés par les anges déchus, entrent immédiatement en action, comme dans un film de science-fiction ! Partout, ils imposent leur domination, militaire si le besoin s’en fait ressentir ! Ils installent à la tête du pouvoir politique dans le monde l’Antéchrist et le Faux prophète ! C’est la manifestation de la « Trinité satanique » !
Comment cela va-t-il se traduire au niveau géopolitique de la planète ? L’Antéchrist (qui « monte de la mer », c’est-à-dire de l’Occident méditerranéen) est placé à la tête de l’Union européenne, car elle est la « reconstitution » de l’empire romain des visions prophétiques, et le Faux prophète (qui « monte de la terre », c’est-à-dire de l’Orient méditerranéen) se trouve tout indiqué pour être placé à la tête d’une confédération d’Etats musulmans. Ainsi apparaît dans le monde un « nouvel empire » formé par l’Union européenne alliée avec les Etats musulmans, c’est-à-dire étendu sur toute l’Europe, sur l’Afrique du Nord et dans tout le Moyen-Orient ! Le reste de la planète est contrôlé par l’intermédiaire des organisations politiques internationales, lesquelles seront assurément dominées par l’Antéchrist et le Diable lui-même !
Ce qui se passe sur terre ne nous est pas directement montré dans Apocalypse ch. 8 v. 1-5, car cela concerne l’instauration du pouvoir de la Trinité satanique dans le monde, mais nous voyons comment réagissent les anges dans le ciel ! La première moitié de l’Apocalypse s’accomplit avec l’ouverture du septième sceau. Que se passe-t-il sur terre ? Le Diable impose sa domination dans le monde, pas de façon très catholique à notre avis ! Il envoie ses anges (en O.V.N.I.) pour prendre le pouvoir militaire, politique et économique dans tous les pays de la planète ! Qui peut lutter contre les soucoupes volantes ? Vous êtes-vous déjà informé à ce sujet ? Si c’est le cas, vous savez déjà que personne ne le peut ! Nos armes sont inefficaces contre les vaisseaux spatiaux des anges, déchus ou pas !
1°) L’ANTECHRIST : Qui vous a jamais expliqué les textes de l’Apocalypse ? Probablement personne jusqu’ici ! Etes-vous étonnés ? Remarquez que l’Antéchrist, appelé ici la « Bête qui monte de la mer », ressemble comme « deux gouttes d’eaux » au Diable appelé « Dragon » ! Il s’agit d’Alexandre le Grand ressuscité, oui mais, jamais personne ne vous l’avait dit ! Pourtant un homme est ressuscité par le pouvoir du Diable et il s’agit de l’Antéchrist ! Il reconstitue l’ancien empire Romain, mais à une échelle beaucoup plus grande. Il s’agit de la « Bête qui monte de la mer », c’est-à-dire des « îles des nations », expression biblique qui sert à désigner l’Europe occidentale. L’Antéchrist dominera l’Union européenne ! Bien sût, tout a été fait avant cela pour créer cette Union, même éventuellement contre la volonté des peuples ! Etes-vous étonnés ? Avez vous observé la rapidité avec laquelle la construction de l’Union européenne s’est effectuée ? Savez-vous pourquoi ? Certes, le Diable qui passait pour n’être qu’un « mythe » n’a jamais empêché cette construction et, bien au contraire, il l’a accélérée et précipitée ! En avez-vous pris conscience ? Mais c’est vrai, vous avez subi comme tout le monde un véritable « lavage de cerveau » en faveur de cette construction de l’Union européenne ! Merci, messieurs les « politiques » ! Cependant, tout ce qui est construit sur terre sans Dieu est destiné à être renversé !
13.5 Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois.
Le temps du pouvoir de l’Antéchrist sera limité à 42 mois, c’est-à-dire à 1260 jours, les mois cités correspondant toujours à des périodes invariables de 30 jours chacune.
La Bête à sept têtes et dix cornes est tirée des empires qui l’ont précédé dans le cadre du « temps des nations », c’est-à-dire depuis la captivité des Juifs à Babylone : 1° tête : le lion ou l’empire babylonien ; 2° tête : l’ours ou l’empire perse ; 3°, 4°, 5° et 6° tête : le léopard ou empire grec ; 7° tête : la bête monstrueuse ou empire romain.
Antiochos IV Epiphane (175-164 av. notre ère) fut roi de la dynastie grecque séleucide, fils d’Antiochos III Mégas (223-187) et successeur de Séleucos IV Philopatôr (187-175). Il occupa l’Egypte pendant deux ans, mais les Romains l’obligèrent à restituer ses conquêtes. Il se retourna contre Jérusalem, fit périr les sept Maccabées et leur mère car ils refusèrent de manger de la chair de porc. Mais le prêtre Mattatias Maccabée incita les Juifs à la révolte en 166 av. notre ère ; son fils, Judas Maccabée vainquit les généraux du roi avec l’aide de ses quatre frères, Jean, Simon, Jonathas et Eléazar (165-164), puis il prit Jérusalem. Antiochos IV Epiphane mourut lors d’une expédition en Orient en 164. Judas Maccabées fut battu par le général Lysias, mais il obtint finalement la liberté religieuse en 162.
Apocalypse 13 v 3 : « Et je vis l'une de ses têtes comme blessée à mort; mais sa blessure mortelle fut guérie ». Ce verset est énigmatique, mais l’ensemble des texte nous permet de le comprendre. Il s’agit de la mort réelle d’un fondateur d’empire, Alexandre le Grand, mais qui n’est pas considéré comme « réellement mort » car il doit « reparaître » en « montant de l’abîme » (séjour des morts), c’est-à-dire qu’il doit être ressuscité par la puissance du Diable afin de devenir l’Antéchrist de la fin des temps.
Alexandre le Grand (356 – 323 av. notre ère) est l’image inversée du Christ : il a été le libérateur des Grecs, a vécu 33 ans comme Jésus et est mort de façon inexpliquée. Il fut élève d’Aristote (384 – 322 av. notre ère) et roi de Macédoine en 336, à l’âge de 20 ans. La Pythie de Delphes lui avait dit, lorsqu’il alla la consulter avant de partir à la conquête des Perses et de tout l’Orient : « Tu es invincible mon fils ! ». En effet, il vainquit les troupes de Darius III Codoman au Granique en 334, et à Issos en 333. Il prit Tyr et l’Egypte où il fonda Alexandrie. Il battit définitivement les Perses entre Gaugamèles et Arbèles en 331. Dès lors, il s’empara de Babylone et de Suze, puis brûla Persépolis. Il étendit ses conquêtes jusqu’à l’Indus. De retour à Babylone, il organisa son empire. Il mourut de façon énigmatique en 323 av. notre ère, huit ans après avoir vaincu définitivement les Perses. Son empire fut partagé en quatre parties par ses généraux en 301 av. notre ère, entre Cassandre qui prit la Macédoine, Lysimaque qui prit la Grèce et l’Asie Mineure, Séleucos qui prit la Syrie et Ptolémée qui prit l’Egypte.
L’invincibilité d’Alexandre le Grand fut confirmée par ses victoires et est reprise dans l’Apocalypse au ch. 13 v 4 : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête; ils adorèrent la bête, en disant: Qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle? ».
La citée de Delphes est celle où les Pythies officiaient, assises sur un trépied placé sur une étroite ouverture donnant à l’intérieur d’un gouffre, au-dessus duquel le Temple d’Apollon avait été construit. C’était donc le contraire du Temple de Jérusalem où l’ange de l’Eternel venait se placer au-dessus de l’Arche de l’alliance, qui lui servait de piédestal, et d’où il donnait ses ordres au Grand Prêtre. Du gouffre de Delphes sortaient des émanations gazeuses et, imprégnées par elles, les Pythies rendaient leurs oracles, lesquels sont considérés par la Parole de Dieu comme des « contrefaçons » des prophéties bibliques. Le « Puits de l’Abîme » de la cinquième trompette (Apocalypse ch. 9 v 1-11) se situe à Delphes, de telle sorte qu’il est certain qu’Alexandre le Grand est bel et bien l’Antéchrist à venir ! Les Pythies, imprégnées des gaz sortis du gouffre avaient le pouvoir de prophétiser et leurs oracles étaient connus dans tout l’empire grec, puis enfin dans tout l’empire romain ! Mais du gouffre sortaient aussi des démons qui les possédaient ! Ce puits était une « porte cosmique » par laquelle passaient les puissances de l’enfer, mais cela était tenu « caché », car seule la Parole de Dieu l’a fait ressortir aux travers de la « Révélation apocalyptique » ! Lorsque Alexandre le Grand a été appelé « mon fils » par la Pythie de Delphes, au travers de son oracle, c’était le Diable lui-même qui s’adressait à lui ! Personne ne vous l’a-t-il jamais dit ? Non ? Ah oui, je comprends !
Apocalypse ch. 9 v 1-11 :
Et le cinquième
ange sonna de la trompette : et je vis une étoile tombée du ciel sur la
terre ; et la clef du puits de l’abîme lui fut donnée, et elle ouvrit le
puits de l’abîme, et une fumée monta du puits, comme la fumée d’une
grande fournaise, et le soleil et l’air furent obscurcis par la fumée du
puits. Et de la fumée il sortit des sauterelles sur la terre ; et il leur
fut donné un pouvoir semblable au pouvoir qu’ont les scorpions de la terre.
Et il leur fut dit qu’elles ne nuisissent ni à l’herbe de la terre, ni à
aucune verdure, ni à aucun arbre, mais aux hommes qui n’ont pas le sceau de
Dieu sur leurs fronts. Et il leur fut donné de ne pas les tuer, mais qu’ils
fussent tourmentés cinq mois ; et leur tourment est comme le tourment du
scorpion, quand il frappe l’homme. Et en ces jours-là les hommes chercheront
la mort et ils ne la trouveront point ; et ils désireront de mourir, et la
mort s’enfuit d’eux. Et la ressemblance des sauterelles était semblable à
des chevaux préparés pour le combat ; et sur leurs têtes il y avait comme
des couronnes semblables à de l’or ; et leurs faces étaient comme des faces
d’hommes ; et elles avaient des cheveux comme des cheveux de femmes, et
leurs dents étaient comme des dents de lions ; et elles avaient des
cuirasses comme des cuirasses de fer, et le bruit de leurs ailes était comme
le bruit de chariots à plusieurs chevaux courant au combat ; et elles ont
des queues semblables à des scorpions, et des aiguillons ; et leur pouvoir
était dans leurs queues, pour nuire aux hommes cinq mois. Elles ont sur
elles un roi, l’ange de l’abîme, dont le nom est en hébreu : Abaddon,
et en grec il a nom : Apollyon. Les références à « Abaddon » (abîme) et à « Apollyon » (destructeur) permettent de faire un double rapprochement d’abord avec le cite de Delphes (où se trouve le puits de l’abîme) et ensuite avec Apollon, dieu grec de la beauté, de la lumière, des arts et de la divination, dont le sanctuaire (Temple) se trouvait précisément à Delphes, là où la Pythie donnait les oracles de ce même dieu. C’est aussi à Delphes que la Pythie avait dit à Alexandre le Grand : « Tu es invincible mon fils ! ». Il faudrait le faire « exprès » pour ne pas comprendre ! Ajoutons que les sauterelles sorties du « Puits de l’Abîme » (à Delphes) sont des démons qui ont pour mission de séduire et de « posséder les hommes » pour les conduire à la Bataille d’Harmaguédon ! Alexandre le Grand est bien l’Antéchrist à venir qui doit « avoir autorité (pendant 42 mois) sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation, car tous les habitants de la terre l'adoreront, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l'agneau qui a été immolé ».
2°) ROME : 17.9 C'est ici l'intelligence qui a de la sagesse. - Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. L’Apocalypse parle de Rome et la décrit d’une façon peu favorable : une « femme assise sur une bête écarlate », c’est-à-dire sur l’empire de l’Antéchrist ! Elle « s’assoit dessus » ! Mais que lui arrivera-t-il après cela ? L’empire romain doit « revenir » au temps de la fin, lorsque l’Antéchrist reparaîtra. Rome a été la capitale de l’empire Romain, puis elle est devenue le siège de la papauté.
Il s’agit du jugement de Rome « à la septième coupe » de l’Apocalypse pour la totalité de son histoire et pas seulement parce qu’elle est devenue le siège de la papauté.
Lettre ouverte de Patrick DOLCIANI au pape :
Sa Sainteté Benoît XVI, C’est au nom de notre Seigneur Jésus-Christ que je vous adresse ces quelques mots. Saint Malachie (1095 env.-1148) nous a laissé la « Prophétie des Papes », document de six pages, édité en 1595 par le moine bénédictin Arnold Wion ; cette suite de 111 devises s’applique aux papes en commençant par Célestin II jusqu’à vous-même, Benoît XVI, dont la devise finale est : « De la Gloire de l’Olivier ». Le prophète Zacharie écrit (ch. 4, v. 2-3) : « Que vois-tu ? Je répondis : Je regarde, et voici, il y a un chandelier tout d’or, surmonté d’un vase et portant sept lampes, avec sept conduits pour les lampes qui sont au sommet du chandelier ; et il y a près de lui deux oliviers, l’un à la droite du vase, et l’autre à sa gauche » ; Saint Jean écrit (Apocalypse ch. 11 v. 3-4) : « Je donnerai à mes deux témoins le pouvoir de prophétiser, revêtus de sacs, pendant 1260 jours. Ce sont les deux oliviers et les deux chandeliers qui se tiennent devant le Seigneur de la terre ». Il ajoute (v. 7-8) : « Quand ils auront achevé leur témoignage, la bête qui monte de l’abîme (antéchrist) leur fera la guerre, les vaincra, et les tuera. Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié (Jérusalem) ». Ainsi il apparaît que votre devise est en rapport avec les « deux oliviers » de ces citations bibliques, c’est-à-dire avec l’accomplissement d’un ministère prophétique, ici celui de deux prophètes qui seront appelés à annoncer le Retour de Jésus-Christ. C’est au cours de votre Pontificat que se manifesteront ces deux prophètes annoncés et que se réalisera l’Apocalypse de Saint Jean. Saint Malachie a reçu en son temps la révélation de la « Prophétie des Papes » pour nous prévenir, nous qui sommes arrivés au temps de la fin. Vous ne mourrez pas avant d’avoir vu se réaliser l’Apocalypse, « Révélation de Jésus-Christ, que Dieu lui a donnée pour montrer à ses serviteurs les choses qui doivent arriver… ». Ainsi, vivrez-vous jusqu’à cent ans s’il le faut et Jésus reviendra en gloire sur le mont des oliviers (Zacharie, ch. 14) ; ainsi, vous aurez atteint 96 ans au moment de l’apparition de l’Antéchrist et vous aurez 93 ans au début de la « 70° semaine d’années » du prophète Daniel (ch. 9, v. 20-27). C’est vous, dont le nom est désormais « Benoît XVI », qui verrez ces événements s’accomplir…de même que tous ceux et toutes celles qui seront encore vivants dans les années 2020 à 2027. Votre vie s’inscrit dans le dernier siècle de l’histoire de l’Eglise et c’est pourquoi votre âge indique aussi quelle est l’année en cours de ce dernier siècle ; en effet, nous savons que Jésus est né en l’an sept avant notre ère et il fut crucifié pour la purification de nos péchés à l’âge de trente-trois ans, donc en l’an 27 de notre ère ! Vous êtes né en 1927, juste un siècle avant l’an 2027 ! En 2027, deux mille ans seront accomplis de l’histoire de l’Eglise ! Voilà pourquoi nous savons que vous vivrez jusqu’à cent ans, vous qui avez été élu par les Cardinaux seulement pour exercer un pontificat de « transition » de cinq à six ans ! Ceux qui espèrent avoir une chance pour vous succéder à la tête du Saint-Siège seront déçus ! Que direz-vous ? Direz-vous que la prophétie des papes de Saint Malachie est fausse ? Vous pouvez voir, à l’intérieur de la Basilique Saint-Paul-hors-les-murs à Rome, une suite de médaillons qui représentent la succession des papes ; il ne reste plus qu’un seul emplacement après celui de Jean-Paul II, le vôtre ! La basilique fut détruite par un incendie au début du XIX° siècle, mais elle fut reconstruite par Léon XII (1823-1829), puis consacrée par Pie IX en 1854, lequel reconnaissait de fait la valeur de cette prophétie. Elle s’achève par ces mots : « Pendant la dernière persécution que souffrira la Sainte Eglise Romaine siégera un « Pierre le Romain ». Il paîtra les brebis au milieu de nombreuses tribulations ; celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite ; et un Juge redoutable jugera le peuple, le sien ». « Pierre le Romain », c’est le dernier pape, c’est-à-dire vous-même, car cette expression signifie tout simplement qu’il siégera à Rome (cité aux sept collines) un « Successeur de Saint Pierre », pour désigner très exactement le « dernier pape », celui de la dernière devise ! Nous savons par ailleurs que les papes ne prennent jamais par tradition le nom de « Pierre » et que « Pierre le Romain » n’aurait pas de devise s’il devait être votre successeur ! L’interprétation est par conséquent très claire : toute la prophétie de Saint Malachie conduit à vous-même ! Vous, mais aussi à nous tous, qui sommes les chrétiens de la dernière génération ! C’est donc au nom de notre Seigneur Jésus-Christ que je vous écris ces quelques mots, afin de vous préparer dès maintenant à accomplir votre destin en connaissance de cause ! Gloire à Celui qui revient bientôt !
Conclusion de la prophétie des papes de saint Malachie : « Pendant la dernière persécution (celle de l'Apocalypse) que souffrira la Sainte Eglise Romaine siégera un "Pierre le Romain" (un pape, le dernier : Benoît XVI). Il paîtra les brebis au milieu de nombreuses tribulations (événements apocalyptiques) ; celles-ci terminées (après l'enlèvement de l'Eglise à la septième trompette), la cité aux sept collines (Rome) sera détruite (septième coupe); et un Juge redoutable (Jésus) jugera le peuple, le sien ».
3°) L’ANTECHRIST (SUITE) : Ce texte sert à désigner l’identité de l’Antéchrist, soit celle d’Alexandre le Grand ! Il fait allusion à la succession des anciens empires : celui de Babylone, celui des Perses, celui des Grecs (avec quatre têtes) et celui de Rome. La Bête a sept têtes : une pour Babylone (1°), une pour l’empire Perse (2°), quatre pour l’empire Grec (3°, 4°, 5° et 6°), lequel s’est divisé en quatre parties après la mort d’Alexandre le Grand, et une dernière pour l’empire Romain (7°), ce qui fait sept têtes en tout. Mais le texte n’en compte que six au lieu de sept, parce que l’une d’entre elles n’est pas encore « tombée », c’est-à-dire qu’elle doit revenir et il s’agit d’Alexandre le Grand. Pourquoi lui et pas un autre ? Si vous connaissez un peu l’histoire, cela devient évident pour vous. Le Temple de Delphes était celui d’Apollon et il se caractérisait par un « gouffre » placé en profondeur au-dessous de lui. De ce gouffre sortait des émanations de gaz, à la croisée de deux failles géologiques. Ces gaz avaient la propriété de provoquer une effet de « voyance » pour prédire l’avenir dans un effet de transe. La « Pythie », assise sur un trépied, prédisait le futur de ses consultants, et Alexandre le Grand a reçu ce message lorsqu’il est venu pour la consulter : « Tu es invincible mon Fils ! ». Qui a parlé au travers d’elle ? Le Diable lui-même bien sûr ! Alexandre le Grand est « l’antithèse du Christ », tout comme le Temple de Delphes était « l’antithèse de celui de Jérusalem » ! Du gouffre de Delphes ne sortaient pas seulement des gaz, mais aussi des démons, car il s’agissait d’une « porte ouverte sur l’enfer ». « Prouvez-le » dira-t-on ! Le texte de l’Apocalypse le dit et cela doit suffire pour y croire ! Les explications données ci-après peuvent être considérées comme des « révélations » et c’est pourquoi il faut les lire avec attention !
L’énigme des têtes de la Bête (Apocalypse 17 v 9-11) : « Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme (Rome) est assise. Ce sont aussi sept rois: cinq sont tombés, un existe (sixième), l'autre n'est pas encore venu, et quand il sera venu, il doit rester peu de temps. Et la bête qui était, et qui n'est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition ».
Ce passage signifie qu’il y a eu sept empires qui sont : 1) l’empire babylonien : 1° tête (tombée) ; 2) l’empire perse : 2° tête (tombée) ; 3) a) l’empire grec (Macédoine) : tête non comptée, car elle n’est pas « tombée » ; 4) b) l’empire grec (Grèce et Asie Mineure) : 3° tête (tombée) ; 5) c) l’empire grec (Syrie) : 4° tête (tombée) ; 6) d) l’empire grec (Egypte) : 5° tête (tombée) ; 7) l’empire romain : 6° tête (celle qui « existe ») ; 8) l’empire « romain » reconstitué de l’Antéchrist : « 7° tête » et, en même temps « 8° roi » (elle est du nombre des sept têtes précédentes – en comptant cette fois celle qui n’est pas tombée – et elle reparaîtra).
La tête non tombée est « Alexandre le Grand », fondateur de l’empire grec, divisé ensuite en quatre parties. Elle n’est pas comptée car elle doit reparaître au temps de la fin. Il s’agit de la Bête qui était et qui n’est plus, qui est en même temps « la septième tête et un huitième roi », étant lui-même du nombre des sept (rois) précédents, car il apparaît deux fois au lieu d’une seule. Cette tête va à la perdition, car il s’agit de l’Antéchrist. Cela signifie que le comptage des têtes est « perturbé » par l’une d’entre elles, celle « qui n’est pas réellement tombée » et que l’on ne compte pas pour cette raison, car « on ne doit compter que celles qui sont réellement tombées » pour « dresser l’énigme ». Lorsqu’il est dit que « l’une existe », il s’agit de l’empire romain (qui existait effectivement à l’époque de la révélation de l’Apocalypse à Saint Jean), compté alors comme une « sixième tête » (placée après la cinquième), ce qui signifie que l’Antéchrist à venir n’est pas issu de l’empire romain lui-même, mais de celui qui l’a précédé : l’empire grec. C’est ici que se trouve la clé de l’énigme : qui, dans l’empire grec, est « l’Antéchrist » qui doit reparaître ? Là nous comprenons effectivement qu’il ne peut s’agir que d’Alexandre le Grand ! Car quel autre grec que lui pourrait être à la fois « admiré » et « reconnu invincible » comme il l’a été ? C’est donc bien lui, car aucun autre ne peut lui être comparé : il est « Celui » qui était, qui n’est plus et qui doit reparaître ! Telle est la résolution de « l’énigme des têtes » de la Bête ! Elle sert à désigner Alexandre le Grand comme l’Antéchrist qui était (avant l’empire romain), qui n’est plus (à l’époque de l’empire romain) et qui doit reparaître au temps de la fin (à la reconstitution de l’empire romain) !
Nous avons ici l’indication que l’Antéchrist est un fondateur d’empire, « mort » car « il n’est plus », et qui doit « monter de l’abîme », c’est-à-dire du séjour des morts. Les habitants de la terre « s’étonneront en voyant la Bête » reparaître, c’est-à-dire l’Antéchrist, ancien fondateur d’empire : Alexandre le Grand, revenu à la vie. En effet, qui l’a annoncé à l’avance ? Et pourtant cela arrivera ! Il doit revenir dans un corps ressuscité, donc immortel. Qui vous a expliqué les visions prophétiques ? Ceux qui l’ont fait ne vous ont pas tout dit !
Ils vous ont en effet déjà parlé de Néron, à cause de la « marque de la Bête », le fameux « 666 », mais ont-ils compris ? Non, pas réellement, car ils n’ont pas pensé à la réincarnation ! Mais il semble, d’après les Saintes Ecritures qu’il y aurait au moins trois incarnations pour chaque âme car, d’une part Enoch se serait réincarné en Moïse qui devra revenir comme l’un des deux Témoins, et d’autre part, Elie se serait réincarné en Jean-Baptiste, lequel devra aussi revenir lui aussi comme l’un des deux Témoins ! Il en serait de même pour l’Antéchrist : paru une première fois en la personne d’Alexandre le Grand (356-323 av. notre ère), il serait déjà revenu deux fois : d’abord en la personne d’Antiochos IV Epiphane (175-164 av. notre ère), puis en celle de Néron (37-68 de notre ère) ! Sa troisième apparition en tant qu’Antéchrist doit se faire dans un corps immortel, ressuscité par la puissance du Diable ! Alors nous comprenons mieux pourquoi le nom de Néron correspondait (en valeur numérique) à « 666 », la marque de la Bête. Il réapparaîtra en tant qu’Alexandre le Grand « ressuscité », faisant « oublier » ses deux autres incarnations d’une part en « Antiochos IV Epiphane » et d’autre part en « Néron », lesquelles n’auraient trompé personne !
Dans l’Antiquité, chaque lettre avait une valeur numérique car il n’y avait pas de chiffre (le système décimal fut inventé en Inde). Le « A » ou « א » comptai « 1 », le « B » ou « ב » comptait « 2 », etc. Arrivé à la 10° lettre, celle-ci comptait « 10 », mais la 11° lettre comptait « 20 », la 12° lettre comptait « 30 », etc. Arrivé à la 19° lettre, celle-ci comptait « 100 », la 20° lettre comptait « 200 », la 21° comptait « 300 » et la 22° comptait « 400 ». Ainsi, la valeur numérique des lettres « CESAR NERON » en hébreu (qui compte 22 consonnes) est, d’une part (Qof, Samekh, Rèch) : QSR (ק-ס-ר) (100 + 60 + 200 = 360) ; et d’autre part (Noun, Rèch, Vav, Noun) : NRON (נ-ר-ו-נ) (50 + 200 + 6 + 50 = 306). La somme « QSR NRON » fait : 360 + 306 = 666. L’addition de toutes les lettres numériques du nom complet (ק-ס-ר-נ-ר-ו-נ) en une seule fois est : 100 + 60 + 200 + 50 + 200 + 6 + 50 = 666. La difficulté de la reconnaissance de l’Antéchrist avec ce code venait du fait que Néron, reconnu de son vivant comme « l’Antéchrist » par de nombreux chrétiens, est mort depuis longtemps et que l’on n’avait pas pensé à la réincarnation ; plus difficile encore était le fait de comprendre que l’Antéchrist devait revenir dans le futur avec un corps immortel, « ressuscité » par la puissance du Diable. Pourtant, lorsque Jésus sera revenu il est bien précisé dans Apocalypse 19 v 20, que l’Antéchrist et le Faux prophète seront jetés « vivants » dans l’étang ardent de feu et de souffre ! Or il faut que le corps ait d’abord été ressuscité avant de pouvoir être jeté dans l’étang ardent de feu et de soufre car, pour tous les autres, cela ne se fera pas avant la « dernière résurrection » laquelle précède le jugement dernier (Apocalypse 20 v 11-15). C’est ainsi que les Saintes Ecritures présentent de sérieuses difficultés pour être comprises, mais leur étude approfondie, grâce à la méthode des « lectures répétées », provoque à l’intérieur de l’esprit humain une « mise en ordre » progressive des divers éléments du « puzzle caché » de la révélation prophétique, si bien que ceux qui, grâce à leur foi, les étudient sans relâche comprennent à un moment donné leur véritable signification ! Mais il faut les étudier pendant plusieurs années. Cette méthode d’occultation des Saintes Ecritures a été voulue par la prescience divine à cause de ceux qui n’y croient pas et pour qui ces choses devaient restées cachées ! En effet, le « profane » qui lit le texte de l’Apocalypse pour la première fois ne peut pas le comprendre et il fallait qu’il en soit ainsi ! Mais de nos jours, l’Apocalypse de Saint Jean est expliquée et révélée de façon providentielle car nous sommes arrivés au temps de la fin, selon Daniel 12 v 8-9 : « Et moi, j’entendis, mais je ne compris pas. Et je dis : Mon seigneur, quelle sera l’issue de ces choses ? Et il dit : Va, Daniel ; car ces paroles sont cachées et scellées jusqu’au temps de la fin ». Notons enfin que ceux qui prêchent l’Evangile pour « faire de l’argent » ne comprennent pas la signification cachée des Saintes Ecritures, et ils seront ainsi « piégés » au moment de l’accomplissement des visions prophétiques : il n’y aura pas de salut pour eux !
Apocalypse 19 v 20 :
Et la bête fut
prise, et le faux prophète qui était avec elle, qui avait fait devant elle
les miracles par lesquels il avait séduit ceux qui recevaient la marque de
la bête, et ceux qui rendaient hommage à son image. Ils furent tous deux
jetés vifs dans l’étang de feu embrasé par le soufre. C’est seulement après la résurrection des corps que les âmes perdues seront jetées en enfer, et non avant ! L’énigme cachée de l’Antéchrist est enfin révélée ! Le Faux prophète sera également un homme ressuscité par la puissance du Diable, alors, à qui pensez-vous ? Qui a été dans le passé un « prophète » au service du Diable et qui, pour cette raison, devra revenir ? Cette question est plus délicate à révéler, comprenez-vous pourquoi ? La religion fait partie du « domaine sensible » et par conséquent, il y a un danger réel à dire la vérité ! Mais nous pouvons dire les choses de façon « voilée » en faveur de ceux qui appartiennent à Jésus, pour qu’ils puissent comprendre ! Ainsi : qui a nié la divinité de Jésus ? L’apôtre Jean a révélé dans sa première épître, chapitre 2, verset 22 : « Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’Antéchrist, qui nie le Père et le Fils ». Et maintenant, quelle est la religion qui ne reconnaît pas la divinité de Jésus et qui a voulu se substituer au christianisme ? Qui est le prophète de cette religion ? Ce « prophète » ne vient pas de Dieu et il est l’allié naturel de l’Antéchrist !
Le mot « antéchrist » peut aussi être choisi pour qualifier également la nature spirituelle du faux prophète, lequel a été et sera également contre le Christ !
Le Coran (de l’arabe « qur’an », récitation) est un ensemble de 114 chapitres ou « sourates » qui ferait penser à des Psaumes. Mahomet (vers 570 ou 580 – 632) aurait eu, vers 610, une vision de l’ange Gabriel l’investissant d’une mission. Le Coran est l’interprétation de la Bible, celle qui serait authentique, supérieure à l’Ancien et au Nouveau Testaments, présentée comme celle des anges, laquelle a été rapportée par « celui » qui s’est manifesté à Mahomet. Mais il ne reconnaît pas la divinité de Jésus.
L’islam (soumission à Dieu) s’est répandu en Asie, en Afrique et en Europe. Les cinq « piliers » de l’islam sont : 1°) la « chahada » ou profession de la foi (il n’y a pas d’autre Dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète) ; 2°) la prière rituelle cinq fois par jour ; 3°) le jeûne du ramadan ; 4°) le pèlerinage à La Mecque (hadjdj) une fois dans sa vie ; 5°) l’aumône rituelle. Il se divise en deux principaux groupes : les sunnites représentants de la tradition et les chi’ites qui se réclament d’Ali, cousin et gendre de Mahomet.
L’islam déclare sa profession de foi : « Il n’y a pas d’autre Dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète » et le christianisme déclare la sienne par l’apôtre Jean : « Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est antéchrist, qui nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils a aussi le Père » (1° Epître de Jean 2 v 22-23). L’islam présente « Allah et Mahomet, son prophète » ; le christianisme présente « Dieu et Jésus, le Fils de Dieu ». Ainsi Mahomet remplace Jésus dans l’islam ! Ce « remplacement » de Jésus par le prophète du Coran fait de Mahomet l’antéchrist, car il a pris la place du Christ dans l’islam ! En effet, les musulmans ne croient pas en la divinité de Jésus et ils placent Mahomet au-dessus de lui car, pour eux, le Coran est une révélation supérieure à celle du Nouveau Testament ! Cela, les chrétiens ne peuvent pas l’accepter et c’est la raison pour laquelle ils ne croient pas au Coran ! C’est donc bien la question de la nature de Jésus qui divise les deux religions.
Voici comment le problème se pose : d’une part, le Nouveau Testament (nouvelle alliance) est tenu par les chrétiens comme une « révélation supérieure » à celle de l’Ancien Testament ; d’autre part, le Coran est considéré par les musulmans comme une « révélation supérieure » à celle du Nouveau Testament. L’islam s’est manifesté pour « remplacer » le christianisme tout comme le christianisme s’était manifesté pour « remplacer » le judaïsme. Mais l’islam est une négation de la divinité de Jésus : « Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? » (1° épître de Jean 2 v 22).
Certes, les Juifs ne croient pas non plus à la divinité de Jésus et cela renforce la position de la religion musulmane. Mais la différence entre le judaïsme (représentant la Loi de Dieu révélée à Moïse) et le christianisme (représentant la grâce de Dieu révélée en Jésus-Christ) est expliquée dans Romains 3 v 9-31 :
« Quoi donc ? Sommes-nous plus excellents ? Nullement. Car nous avons ci-devant accusé et Juifs et Grecs d’être tous sous le péché, selon qu’il est écrit : " Il n’y a point de juste, non pas même un seul ; il n’y a personne qui ait de l’intelligence, il n’y a personne qui recherche Dieu ; ils se sont tous détournés, ils se sont tous ensemble rendus inutiles ; il n’y en a aucun qui exerce la bonté, il n’y en a pas même un seul " [Psaume 14:1-3] ; " c’est un sépulcre ouvert que leur gosier ; ils ont frauduleusement usé de leurs langues " [Psaume 5:9] ; " il y a du venin d’aspic sous leurs lèvres " [Psaume 140:3] ; " et leur bouche est pleine de malédiction et d’amertume " [Psaume 10:7] ; " leurs pieds sont rapides pour verser le sang ; la destruction et la misère sont dans leurs voies, et ils n’ont point connu la voie de la paix " [Ésaïe 59:7-8] ; " il n’y a point de crainte de Dieu devant leurs yeux " [Psaume 36:1]. Or nous savons que tout ce que la loi dit, elle le dit à ceux qui sont sous la loi, afin que toute bouche soit fermée, et que tout le monde soit coupable devant Dieu. C’est pourquoi nulle chair ne sera justifiée devant lui par des œuvres de loi, car par la loi est la connaissance du péché.
Mais maintenant,
sans loi, la justice de Dieu est manifestée, témoignage lui étant rendu par
la loi et par les prophètes, la justice, dis-je, de Dieu par la foi en Jésus
Christ envers tous, et sur tous ceux qui croient ; car il n’y a pas de
différence, car tous ont péché et n’atteignent pas à la gloire de Dieu, -
étant justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le
christ Jésus, lequel Dieu a présenté pour propitiatoire, par la foi en son
sang, afin de montrer sa justice à cause du support des péchés précédents
dans la patience de Dieu, afin de montrer, dis-je, sa justice dans le temps
présent, en sorte qu’il soit juste et justifiant celui qui est de la foi de
Jésus.
Considérons à quel point la Bible a bien « dissimulé » l’identification de l’Antéchrist dans le cadre de déclarations énigmatiques, lesquelles étaient destinées à n’être comprises que de quelques-uns. Elle l’a fait par la première énigme, celle du « comptage des têtes », dont l’une est volontairement « oubliée », et ensuite par la deuxième énigme, celle du nombre « 666 », la marque du nom de la Bête ! Mais une première fois il est question d’Alexandre le Grand dans l’empire grec et une seconde fois il est question de Néron dans l’empire romain ! Il y a effectivement de quoi « perdre son latin » ! Mais dès lors où Néron est reconnu comme une réincarnation d’Alexandre le Grand, alors tout s’éclaire, car c’est l’esprit de l’Antéchrist qui est désigné, c’est-à-dire son entité spirituelle ! Quelques-uns ne croiront toujours pas en la réincarnation, mais à ce sujet, nous leur demandons de bien réfléchir : serait-il juste que les âmes soient jugées à partir d’une seule et unique incarnation afin de déterminer leur destinée éternelle ? Croyez-vous vraiment que cela serait juste, c’est-à-dire équitable ?
Lorsque les mêmes chances sont données à tous, il y a « équité », c’est-à-dire « justice », mais le contraire est de « l’iniquité », c’est-à-dire de « l’injustice » ! Croyez-vous que Dieu soit injuste, c’est-à-dire « inique » ? Et qu’adviendrait-il de tous ceux qui n’ont pas connu l’Evangile du salut pour être sauvés ? N’oublions pas que tous les hommes sont pécheurs et condamnés selon Romains 3 v 21-26 : « Mais maintenant, sans loi, la justice de Dieu est manifestée, témoignage lui étant rendu par la loi et par les prophètes, la justice, dis-je, de Dieu par la foi en Jésus Christ envers tous, et sur tous ceux qui croient ; car il n’y a pas de différence, car tous ont péché et n’atteignent pas à la gloire de Dieu, - étant justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est dans le christ Jésus, lequel Dieu a présenté pour propitiatoire, par la foi en son sang, afin de montrer sa justice à cause du support des péchés précédents dans la patience de Dieu, afin de montrer, dis-je, sa justice dans le temps présent, en sorte qu’il soit juste et justifiant celui qui est de la foi de Jésus ». Comment tous ceux qui n’ont jamais connu l’Evangile pourraient-ils être sauvés ? Comment ceux qui ont été égarés par d’autres religions pourraient-ils recevoir le salut ? Si la connaissance de l’Evangile n’est pas nécessaire au salut, alors pourquoi l’avoir propagé, suivant les ordres donnés par Jésus lui-même ? Les mêmes chances sont données à tous de recevoir le salut grâce à la réincarnation. Il en est ainsi pour les chinois, les japonais, les tibétains et les hindous qui croient en la réincarnation et qui n’ont pas connu l’Evangile : ils se réincarneront, ou se sont déjà réincarnés, dans des pays occidentaux. De même, les handicapés physiques, les sourds, les aveugles, les handicapés mentaux se sont réincarnés ou se réincarneront et connaîtront eux aussi l’Evangile pour recevoir le salut ! Tous ceux et celles qui sont morts depuis des siècles, en Amérique précolombienne et ailleurs, sans avoir connu le salut en Jésus se réincarneront pour le recevoir ! Seuls ceux qui auront refusé leur salut et l’auront rejeté « en connaissance de cause » seront perdus ! Après le jugement dernier, lorsque les élus auront acquis la vie éternelle en Jésus leur sauveur et vivront dans la Nouvelle Jérusalem, ils sauront que toutes les âmes perdues qui se trouveront en enfer seront celles qui n’auront pas accepté le salut en Jésus-Christ, le Fils de Dieu : ces âmes auront délibérément refusé leur salut ! Voilà où se manifestent à la fois la justice et l’équité (les mêmes chances pour tous) de Dieu ! Prétendre que la réincarnation n’existe pas, c’est d’une part diminuer la puissance de Dieu, en estimant que la réincarnation des âmes ne lui est pas possible, mais c’est aussi d’autre part enseigner que Dieu serait « inique » ! Est-ce cela que vous croyez ? Enfin, la réincarnation n’est pas incompatible avec le salut, mais elle devient nécessaire pour l’acquérir ! C’est cela la vérité !
Vous citez sans cesse, toujours et continuellement certains versets bibliques en les sortant de leur contexte, comme par exemple « Hébreux 9 v 27 » : « Et comme il est réservé aux hommes de mourir une fois, - et après cela le jugement, ainsi le Christ aussi, ayant été offert une fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra une seconde fois, sans péché, à salut à ceux qui l’attendent ». Pensez-vous réellement que ce jugement, celui dont il est question ici, qui vient après la mort d’une personne sur terre, soit le « jugement dernier » ? Ne croyez-vous pas que cela aurait été nettement précisé si c’était réellement le cas ? Puisqu’il y aura effectivement un « jugement dernier », ne comprenez-vous pas qu’il doit y en avoir d’autres avant celui-là ? Le jugement de cette citation de l’épître aux Hébreux est celui qui sanctionne une incarnation dans le cadre d’une existence sur terre, mais cela ne signifie pas qu’il ne puisse pas y en avoir d’autres, suivies chacune d’un jugement approprié ! N’avez-vous donc jamais pensé que ceux qui ont été ressuscités par Jésus dans le cadre de son ministère terrestre sont morts deux fois ? Mais peut-être niez-vous que Jésus ait jamais ressuscité quelqu’un ? Effectivement, vous ne l’avez probablement jamais cru ! Depuis de nombreuses années, je n’ai jamais entendu un seul argument fondé de la part de ceux qui ne croient pas en la réincarnation, et cela, c’est un fait !
En « conducteurs d’aveugles », toujours « pleins d’orgueil », vous affirmez sans cesse et toujours : « La doctrine de la réincarnation est du Diable ! ». Prouvez-le en vous servant des Saintes Ecritures elles-mêmes, si c’est réellement possible, ou cessez d’affirmer n’importe quoi ! N’avez-vous pas compris que, par votre « fermeture d’esprit » sur cette question, vous avez écarté du salut beaucoup d’âmes qui savaient que la réincarnation existe réellement ? Pourquoi croyez-vous que des pays comme la Chine, le Tibet, le Japon et l’Inde soient restés fermés à l’Evangile depuis des siècles alors qu’ils auraient dû être évangélisés depuis longtemps ? Sachez que vous en êtes responsables et que, pour cela, vous devrez rendre des comptes devant Dieu et les anges ! A votre place, maintenant, je réfléchirais ! Ne dites pas : « Le retour de Jésus ne se fera pas avant que ces pays là ne soient évangélisés ! ». C’est trop facile de se justifier de cette façon ! Le temps a été compté et il est maintenant trop tard ! Vous en êtes responsables, car Jésus est à la porte, il revient ! Ah c’est vrai, vous ne croyez pas non plus réellement au retour de Jésus ! Pourquoi n’y ai-je pas pensé ?
Connaissez-vous le scénario de la Bataille d’Harmaguédon ? Cela arrivera parce que l’Extrême-Orient n’aura pas été évangélisé comme il aurait dû l’être, mais pourquoi ? Vous, les « théologiens donneurs de leçons » qui vous caractérisez en particulier par votre « étroitesse d’esprit », toujours pleins d’orgueil, vous qui prêchez l’Evangile sans croire réellement au retour de Jésus et dans le seul et unique but de « faire de l’argent », parce que, en réalité, vous n’avez jamais voulu travailler comme tout le monde, que croyez-vous qu’il va bientôt vous arriver ? Vous n’avez pas réellement étudié les Saintes Ecritures, car cela ne vous intéressez pas ! Oui, vous devrez en répondre devant Dieu et les anges, même si vous ne croyez pas que Dieu existe, car vous ne croyez pas plus en lui qu’aux anges, mais vous avez prêché l’Evangile, toujours remplis d’orgueil, car vous êtes exactement comme les scribes et les pharisiens dénoncés par Jésus, à savoir, des « comédiens de la foi » !
4°) LE FAUX PROPHETE :
Cette seconde « Bête » monte de la terre, c’est-à-dire du Moyen-Orient appelé « la terre » dans les Saintes Ecritures. Il s’agit par conséquent de l’autre moitié de l’ancien empire Romain : l’empire Romain d’Orient, ou plus exactement ce qui en reste et qui se trouve placé au sud-est de l’Union européenne. Il s’agit de l’ensemble des pays musulmans qui sont placés sur les anciens territoires de l’empire Romain. Par extension, nous pouvons comprendre qu’il s’agit aussi de l’ensemble du monde musulman. Qui est ce faux prophète ? Il s’agit aussi d’un homme ressuscité par la puissance du Diable, bien sûr ! Mais qui ? Devinez ! Le nombre de la Bête ne doit-il pas servir à identifier l’Antéchrist ? Oui, mais attendez que son nom apparaisse officiellement et vous compterez l’addition des valeurs numériques des lettres de son nom (dans l’Antiquité chaque lettre avait une valeur numérique comme A = 1 ; B = 2 ; etc.). Il s’agit ici de la « Bête qui monte de la terre » ; la « terre », ce n’est pas Israël, qui dans les textes apocalyptiques est représenté par la femme (Apocalypse 12 v 1-6). Il s’agit par conséquent de l’empire de l’Antéchrist placé au sud-est de la Méditerranée et qui correspond avec l’ancien empire romain d’Orient. De même que l’empire romain avait été partagé, celui de l’Antéchrist le sera aussi : l’Orient sera entre les mains du Faux prophète qui dominera les pays de religion musulmane. Le Faux prophète a deux cornes, semblables à celles d’un agneau, ce qui signifie qu’il possède à la fois le pouvoir religieux et politique. Ce Faux prophète recevra le pouvoir de l’Antéchrist et par conséquent lui sera soumis. Apocalypse 16 v 13-14 : « Et je vis sortir de la bouche du dragon, et de la bouche de la bête, et de la bouche du faux prophète, trois esprits immondes, comme des grenouilles ; car ce sont des esprits de démons faisant des miracles, qui s’en vont vers les rois de la terre habitée tout entière, pour les assembler pour le combat de ce grand jour de Dieu le Tout-puissant ». Nous avons ici l’explication du pouvoir du Faux prophète : il est possédé par un esprit de démon capable de faire des prodiges et des miracles, car la « Trinité satanique » est accompagnée de trois démons « semblables à des grenouilles ». Le Faux prophète fera faire « une image de la Bête », c’est-à-dire une représentation de l’Antéchrist, très probablement sous forme de statue. Elle aura le pouvoir de « parler », ce qui n’est pas surprenant au début du XXI° siècle dans le cas où la technologie serait utilisée pour provoquer ce « prodige ». Mais il est possible aussi qu’il n’y ait pas de « trucage » et dans ce cas, il s’agira de la parole d’un démon qui sera associé à la statue et s’exprimera par elle. C’est en effet par la « parole » de l’image de la Bête que seront dénoncés tous ceux qui ne l’adoreront pas, c’est-à-dire qui ne viendront pas se prosterner devant elle ! Imaginons un ou plusieurs démons, cachés par leur invisibilité naturelle, qui surveillent l’application du « culte de la Bête », repèrent ceux qui ne s’y soumettent pas et viennent les dénoncer en « faisant parler la statue » ! Comment leur échapper ? De plus, le Faux prophète imposera que tous soient marqués du nombre « 666 » sur la main droite ou sur le front ! Tous ceux qui ne porteront pas cette « identification » ne pourront plus rien acheter ou vendre et de ce fait seront condamnés à mourir de faim ! Cette marque fera fonction de « carte codée » permettant d’effectuer toutes les transactions commerciales, mais elle sera « gravée dans la chair » comme un tatouage. Il faudra donc, pour survivre, d’une part se soumettre au « culte de la Bête » en allant adorer une statue et, d’autre part, porter la « marque de la Bête », c’est-à-dire le nombre « 666 ». Tous les autres seront « condamnés à mort ». Facile de se soumettre penserez-vous ! Oui, mais tous ceux et celles qui se soumettront, qui accepteront de porter la « marque de la Bête » et « d’adorer la statue » (l’image de la Bête), seront condamnés par Dieu. Le choix sera celui-ci : servir le Diable et vivre sur terre au prix de la perdition éternelle (âme offerte au Diable) ou refuser de se soumettre et périr, mais sauver en même temps son âme des flammes de l’enfer ! Dans l’Antiquité, chaque lettre avait une valeur numérique car il n’y avait pas de chiffre (le système décimal fut inventé en Inde). Le « A » ou « א » comptai « 1 », le « B » ou « ב » comptait « 2 », etc. Arrivé à la 10° lettre, celle-ci comptait « 10 », mais la 11° lettre comptait « 20 », la 12° lettre comptait « 30 », etc. Arrivé à la 19° lettre, celle-ci comptait « 100 », la 20° lettre comptait « 200 », la 21° comptait « 300 » et la 22° comptait « 400 ». Ainsi, la valeur numérique des lettres « CESAR NERON » en hébreu (qui compte 22 consonnes) est, d’une part (Qof, Samekh, Rèch) : QSR (ק-ס-ר) 100 + 60 + 200 = 360) ; et d’autre part (Noun, Rèch, Vav, Noun) : NRON (נ-ר-ו-נ) 50 + 200 + 6 + 50 = 306). La somme « QSR NRON » fait : 360 + 306 = 666. L’addition de toutes les lettres numériques du nom complet (ק-ס-ר-נ-ר-ו-נ) en une seule fois est : 100 + 60 + 200 + 50 + 200 + 6 + 50 = 666. Cette fois « César Néron » revient, persécuteur des chrétiens, mais infiniment plus dangereux ! Ceux qui parviendront à survivre devront le faire clandestinement à l’intérieur d’un système séparé de celui de la « Trinité satanique », à la façon des moines ou des ermites. Mais il n’y aura plus de monastère libre qui pourrait échapper à la dictature de l’Antéchrist et du Faux prophète. Toute organisation collective des opposants au Diable devra se tenir « séparée du monde » et en des lieux secrets et cachés que nous pourrions appeler des « sanctuaires ». Il reste encore une question à laquelle il faut trouver une réponse : le Faux prophète imposera-t-il le culte de l’Antéchrist seulement dans les pays musulmans ou bien dans le monde entier ? Il est à craindre que cela ne devienne le système imposé par le Diable sur toute la planète, mais il restera bien quelques « lieux de refuge » si nous les préparons à l’avance ! Voilà pourquoi tous ceux qui ne veulent pas entendre parler des cycles historiques, qui ne veulent pas y croire et ne veulent pas accepter de reconnaître que les dates de l’Apocalypses puissent être connues à l’avance, prennent la responsabilité de « livrer » tous ceux qui leur font confiance au Diable pendant l’Apocalypse, qui s’accomplira de 2020 à 2027 ! Voulez-vous toujours vous conduire en insensés ? Allez-vous toujours combattre la vérité ? Alors, vous n’entrerez pas dans le royaume de Dieu ! Réfléchissez : comment est-il possible que l’on vous explique aujourd’hui les visions prophétiques, toujours tenues « cachées » jusque là, et que l’on vous prévienne à l’avance des dates de l’Apocalypse, si cela n’a pas été permis et voulu par Dieu ? Celui qui écrit ces lignes ne voulait plus faire connaître ses découvertes à personne, car il y avait renoncé à cause des oppositions qui existent à l’intérieur même des Eglises, oui vous dis-je, à l’intérieur des Eglises ! Mais le Seigneur est intervenu et l’a convaincu qu’il devait se mettre au travail pour « préparer les Eglises au retour de Jésus ». L’opposition est forte, en particulier à l’intérieur des Eglises, mais que Dieu ait pitié des chrétiens, si possible ! « Comptez le temps qui vous reste ! », mais lorsque je lance ce message, qui comprend réellement ?
DEUXIEME PARTIE :
PREMIERE TROMPETTE : Après l’apparition de l’Antéchrist et du Faux prophète, les jugements de Dieu commencent à sévir : grêle de feu provoquant de nombreuses blessures pour commencer ! Comment une grêle peut-elle être mêlée de feu ? Il faut peut-être penser à la foudre qui provoquera de nombreux incendies. En effet, la grêle n’étant pas « tout de suite » de la glace changée en eau, elle n’empêchera pas les incendies de se propager après une longue sécheresse !
DEUXIEME TROMPETTE : Il s’agit d’un immense météorite qui tombe dans la mer ; elle ressemble à une montagne ! Les météorites sont effectivement en feu lorsqu’elles arrivent sur terre à cause de leur combustion dans l’atmosphère. Que peut provoquer une telle météorite en tombant dans la mer ? Un raz-de-marée pour commencer ! Mais quelles en seront les conséquences ? Il ne faudra pas rester sur les plages, ni habiter au bord de la mer, ni se trouver sur un bateau pour une croisière ou une autre raison lorsque cela arrivera ! Mais vous savez quand cela doit arriver : pendant la deuxième trompette, laquelle commence en mars 2024 ! Ah c’est vrai, vous n’y croyez pas ! Mais nous verrons bien !
TROISIEME TROMPETTE : Pour qu’une météorite « tombe sur les eaux », il faut d’abord qu’elle empoisonne l’atmosphère ! Ensuite les pluies font le reste ! Pensez au nuage radioactif de Tchernobyl par exemple, ou aux retombée des cendres volcaniques ! Est-il possible qu’une météorite soit radioactive ? Nous ne savons pas, mais le mal que fera celle de la 3° trompette est équivalent ! C’est par conséquent dans l’atmosphère que se situera le problème : elle se désintégrera avant de toucher le sol ! « Ouf ! » diront tous ceux qui ne connaissent pas les textes de l’Apocalypse ! Quant aux autres, le plus petit nombre bien sûr, comme d’habitude, ils prendront les précautions qui s’imposent pour leur approvisionnement en eau potable ! Les « serviteurs de Dieu » qui auront prêché l’Evangile pendant des années, mais sans croire réellement au retour de Jésus, deviendront honteux devant ceux qui les écoutaient jusqu’ici, car ils n’auront prévenu personne !
QUATRIEME TROMPETTE : Qu’est-ce qui peut provoquer un tel obscurcissement de la voûte céleste ? Ce n’est pas précisé dans le texte, mais il est certain que le problème viendra à nouveau de l’atmosphère ; il pourrait être la conséquence d’une chaleur excessive provoquant une évaporation massive des eaux douces et des océans. Des nuages, en grand nombre, feront place à la sécheresse, mais ils ne donneront pas leur pluies ! Alors, tous ceux qui auront prêché l’Evangile sans réellement y croire (pour faire de l’argent), et qui n’auront jamais compris le texte du livre de la Genèse, parce qu’ils ne s’en souciaient jamais, comprendront enfin, mais un peu trop tard : l’obscurité qui recouvrait la face de « l’abîme » provenait des masses nuageuses dans le ciel ! Cela recommencera comme avant la « création » du livre de la Genèse, mais un tiers seulement du jour sera obscurci ! Oui les hommes deviendront amers, et plus particulièrement les chrétiens, toujours présents sur terre, car l’enlèvement de l’Eglise n’aura pas encore eu lieu, contrairement à ce qu’on leur avait sans cesse prêché, et ils verront toutes les conséquences du fait de n’avoir pas été prévenus à l’avance ! « Nul ne peut connaître le jour et l’heure » leur disait-on toujours (sans comprendre que « le jour et l’heure », ce n’est pas la même chose que « l’année et le siècle »), et « l’enlèvement de l’Eglise se fera avant l’Apocalypse » leur assurait-on en martelant continuellement cette « erreur » grave, comme pour leur faire subir un « lavage de cerveau » ! Ils se souviendront qu’on leur affirmait ces « mensonges » de façon systématique et étrangement arrogante ! Oui, les chrétiens deviendront « amers » ! Mais vous qui lisez ces lignes, vous avez été prévenus à l’avance ! Il est vrai que vous appartenez au « très petit nombre » !
CINQUIEME TROMPETTE (1° GRAND MALHEUR) : Cette étoile tombée du ciel n’est pas une météorite, c’est bien pire ! Il pourrait s’agir du Diable lui-même ! La confusion apparemment « volontaire » qui est faite dans les textes entre les « étoiles » qui sont des « météorites » et celles qui sont des « anges déchus » permet de cacher la signification des textes sacrés aux « profanes », c’est-à-dire à ceux qui ne croient pas réellement en Dieu ou qui veulent se servir des Saintes Ecritures pour « faire de l’argent » ! La compréhension de ces textes est réservée aux chrétiens authentiques, mais aujourd’hui ils sont expliqués à tous ceux qui ont accès à cet enseignement, malheureusement en très petit nombre, parce que l’Apocalypse va bientôt s’accomplir ! Si le grand nombre n’est pas informé, ce n’est pas parce que l’auteur de ces lignes ne l’a pas voulu, mais parce qu’on l’a empêché de le faire. Ceux qui en sont responsables sont parfois ceux-là mêmes qui dirigent les Eglises : ne vous en étonnez pas ! Le « Puits de l’abîme » se trouve à Delphes. Bien sûr, nous assistons à une violente « levée de tous les boucliers » pour s’opposer à cette affirmation et le Diable n’y est pas pour rien ! Sous ce qui reste des ruines du Temple de Delphes, il y a toujours ce qui, dans l’Antiquité, avait rendu ce lieu si célèbre, mais cela ne venait nullement de Dieu ! Nouvelle « levée de tous les boucliers » ! Qu’importe ! Car personne ne pourra empêcher l’auteur de ces lignes de dire la vérité ! A cet endroit se trouve un passage, dissimulé sous terre, qui s’ouvre sur « l’abîme », car il s’agit de la porte de l’enfer ! Cet enfer n’est certes pas « l’étang ardent de feu et de soufre », mais c’est le lieu où sont enfermés les démons. Le Diable viendra les libérer pour préparer la bataille d’Harmaguédon ! Bien sûr, les Pasteurs, les prêtres et tous ceux qui vous enseignent, sans croire réellement en l’Evangile, mais pour faire de l’argent, ne peuvent pas comprendre qu’il y a réellement à cet endroit une ouverture qui donne sur l’enfer ! De là sortiront les « sauterelles » qui sont des démons « invisibles » mais réels, et non pas des engins de guerre comme des hélicoptères ou des avions. Pourquoi doivent-elles faire du mal seulement à ceux qui ne porteront pas le sceau de Dieu sur leur front ? Parce que leur but est de « posséder » les êtres humains, de façon à les conduire à la destruction, c’est-à-dire à la Bataille d’Harmaguédon. Elles tourmenteront les hommes par des piqûres douloureuses à cause d’un « venin », semblable à celui des scorpions, précisément tous ceux qui ne voudront pas se laisser posséder par elles, jusqu’à ce qu’ils finissent par céder ! Comment des démons invisibles peuvent-ils inoculer du venin semblable à celui des scorpions ? Il faut croire que c’est possible car les pouvoirs occultes des démons sont réels et ont été reconnus depuis longtemps. Elles n’ont que cinq mois pour agir (5 x 30 jours), non pas parce que, après cela, elles ne pourraient plus nuire, mais parce que le Diable est pressé et qu’il n’y a pas de temps à perdre : il faut rassembler les armées le plus vite possible pour les conduire au carnage de la grande bataille d’Harmaguédon ! Ces démons sont très nombreux, comme des nuages de sauterelles, et tous, sans exception, doivent posséder les hommes en grand nombre pour les conduire très rapidement à la guerre. Ces démons donnent aux armées leurs forces, comme ils le firent avec les armées d’Alexandre le Grand qui devint invincible ! Elles ont pour roi l’ange de l’abîme appelé en hébreu « Abaddon » (destruction) et en grec « Apollyon » (destructeur). Le mot « Abaddon » signifie aussi « abîme » et « Apollyon » est phonétiquement proche « d’Apollon », dieu grec en relation avec le site de Delphes où était célébré son culte. Une relation est par conséquent établie entre les termes suivants : « destruction, abîme, destructeur, Apollon ». Cette façon de procéder sert à « occulter » le sens des Ecritures pour les « profanes » auxquelles elles ne sont pas destinées. Mais les véritables croyants en Dieu comprennent le sens caché du texte, parce que cela leur apparaît « évident » ! Le sens caché, le voici : « la destruction vient du Puits de l’abîme, dans le site de Delphes où se trouvait le culte d’Apollon associé au Diable, le destructeur ». C’est la « porte de l’enfer » ! L’ouverture de cette porte qui donne sur le gouffre de Delphes, appelé « Puits de l’Abîme » est le premier grand malheur sur les trois mentionnés dans l’Apocalypse !
SIXIEME TROMPETTE (2° GRAND MALHEUR) : Comment certains se sont-ils permis de dire que « nul ne peut connaître les temps et les moments » en ce qui concerne les événements apocalyptiques ? Ils n’ont probablement jamais lu ce passage de l’Apocalypse : « Et les quatre anges qui étaient prêts pour l’heure, le jour, le mois et l’année, furent déliés afin qu’ils tuassent le tiers des hommes ». Ils ont « tordu le sens des Ecritures » pour leur propre perdition, mais ici le sens du texte est parfaitement clair ! Il ne s’agit pas de « l’heure et du jour » du retour de Jésus, mais bien de « l’heure et du jour » de la libération de quatre anges dont la mission est d’assécher le Tigre et l’Euphrate pour laisser passer une armée de 200 millions d’hommes ! Les événements apocalyptiques sont bien inscrits dans la structure des cycles historiques, et cela depuis le commencement de l’histoire ! C’est ici le deuxième grand malheur, en relation avec le premier : les démons ont possédé les hommes pour les conduire à la bataille d’Harmaguédon, et l’armée des « possédés » arrive sur les deux fleuves « mis à sec » par les quatre anges qui ont été déliés pour « le jour et l’heure » !
1°) LES DEUX TEMOINS : Il s’agit des Deux Témoins, Elie et Moïse : observons de quelle façon ils seront traités !
2°) LES SEPT TONNERRES : L’ange puissant n’est-il pas le Christ lui-même ? Il revient pour chercher les élus, ceux qui se trouvent encore sur terre à ce moment là. Les sept tonnerres sont sans doute les paroles du Christ lui-même, lesquelles ressemblent à sept mots ou peut-être à sept phrases. En vérité, nous comprenons très bien le message : l’enlèvement de l’Eglise est annoncé, comme dans la parabole des dix vierges. L’enlèvement de l’Eglise, c’est aussi le « mystère de Dieu », celui qui doit s’accomplir à la septième et dernière trompette ! Il y a eu les sept messages aux Eglises d’Asie, lesquelles sont aussi vues comme l’Eglise universelle du Christ (et non de Rome) et maintenant, il y a les sept paroles qui leur sont destinées : « Jésus revient, préparerez-vous à le recevoir ! ». Notez bien ceci : il y a sept mots dans cette phrase ! Est-ce les bons ? « Jésus (1) revient (2), préparerez (3) - vous (4) à (5) le (6) recevoir (7) ! ».
Parabole des dix vierges (Matthieu 25 v 1-13) :
« Alors le royaume des cieux sera fait semblable à dix vierges qui, ayant pris leurs lampes, sortirent à la rencontre de l’époux. Et cinq d’entre elles étaient prudentes, et cinq folles. Celles qui étaient folles, en prenant leurs lampes, ne prirent pas d’huile avec elles ; mais les prudentes prirent de l’huile dans leurs vaisseaux avec leurs lampes. Or, comme l’époux tardait, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent. Mais au milieu de la nuit il se fit un cri : Voici l’époux ; sortez à sa rencontre. Alors toutes ces vierges se levèrent et apprêtèrent leurs lampes. Et les folles dirent aux prudentes : Donnez-nous de votre huile, car nos lampes s’éteignent. Mais les prudentes répondirent, disant : Non, de peur qu’il n’y en ait pas assez pour nous et pour vous ; allez plutôt vers ceux qui en vendent, et achetez-en pour vous mêmes. Or, comme elles s’en allaient pour en acheter, l’époux vint ; et celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui aux noces ; et la porte fut fermée. Ensuite viennent aussi les autres vierges, disant : Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! Mais lui, répondant, dit : En vérité, je vous dis : je ne vous connais pas. Veillez donc ; car vous ne savez ni le jour ni l’heure ».
Voici les sept mots de la parabole des dix vierges : Voici (1) l’ (2) époux (3) ; sortez (4) à (5) sa (6) rencontre (7) !
Jean 6 v 63 : « C'est l'Esprit qui vivifie ; la chair ne profite de rien : les paroles que moi je vous ai dites sont esprit et sont vie ».
Jean 8 v 12 : « Jésus donc leur parla encore, disant : Moi, je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie ».
Ce serait être de mauvaise foi de ne pas reconnaître que cette parabole se rapporte au retour de Jésus ! Les dix vierges sont dix Eglises : cinq d’entre elles sont « sages » et cinq sont « folles ». Celles qui sont prudentes ont pris avec elles de l’huile, mais les autres non ! L’huile dans les lampes, c’est la « Parole de Dieu » dans les Eglises ! La foi vient de la Parole de Dieu, laquelle est « esprit et vie » ! L’apostasie qui se manifeste à l’approche de la manifestation de l’Antéchrist vient de l’abandon de la foi, laquelle ne peut être fondée que sur les Saintes Ecritures. Les « traditions » dans les Eglises ont progressivement « écarté » et « remplacé » les Saintes Ecritures. Celles-ci ne sont plus réellement étudiées, ni enseignées, et c’est pour cette raison que l’Esprit de Dieu a « disparu » : il ne peut pas se manifester en dehors de la foi fondée sur la Parole de Dieu. Les « traditions » ont malheureusement remplacé l’étude de la Bible dans les Eglises et on ne la trouve plus dans les foyers des chrétiens ! Si quelques chrétiens possèdent encore une Bible chez eux, ils ne la lisent plus depuis longtemps ! Il n’y a donc plus d’huile dans les Eglises et cela signifie clairement que la Bible est « oubliée », c’est-à-dire que les chrétiens ne la lisent plus ! L’apostasie vient de l’abandon de l’étude de la Bible, tout simplement !
Cette parabole précise que les Eglises vont être prévenues à l’avance du retour de Jésus et qu’elles seront appelées à se préparer ! Comment pourraient-elles être prévenues à l’avance si rien ne peut les prévenir ? Mais « quelque chose se passe » et les Eglises sont prévenues du retour de Jésus ! Alors, cette fois elles se réveillent de leur sommeil, mais certaines sont « perdues dans la nuit » car elles n’ont plus d’huile dans leur lampes ! En effet, si nous vous disons : « Jésus revient dans très peu de temps », comment allez-vous réagir ? Vous souhaitez en savoir d’avantage et vous vous demandez : que faut-il faire pour s’y préparer ? Pour le savoir, il faut déjà connaître les textes bibliques ! Sinon, il faut « acheter » une Bible et prendre le temps de la lire pour comprendre tout ce qu’il faut faire ! Il se trouve qu’il est « trop tard » pour pouvoir être aidé par « ceux qui savent », car eux mêmes se dépêchent, voire même se précipitent pour ne pas « manquer le rendez-vous » ! Ce qui signifie que les Eglises qui auront « abandonné » les Saintes Ecritures en les « remplaçant » par des « traditions humaines » n’auront plus le temps de se préparer pour être prêtes : elles resteront dans la nuit sans savoir quoi faire ! Quel malheur pour elles !
Enfin l’enlèvement de l’Eglise aura lieu, mais tous les chrétiens ne seront pas pris ! Ceux qui resteront sur terre ne seront pas épargnés par les jugements des sept coupes qui suivront : le temps d’une grande détresse sera venu pour eux ! Je vous le dis : « Ne manquez pas le rendez-vous, abandonnez les traditions inutiles, lisez la Bible et recevez la Parole de Dieu avec foi, avant qu’il ne soit trop tard ! ».
SEPTIEME TROMPETTE (ENLEVEMENT DE L’EGLISE) : Avec l’enlèvement de l’Eglise universelle du Christ (et non de Rome), tous ceux qui doivent hériter du royaume de Dieu sont rassemblés dans le ciel. Alors oui, « le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ; et il régnera aux siècles des siècles ! ». 2° Epître aux Thessaloniciens 2.3 : Que personne ne vous séduise d'aucune manière; car il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant, et qu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition, 2.4 l'adversaire qui s'élève au-dessus de tout ce qu'on appelle Dieu ou de ce qu'on adore, jusqu'à s'asseoir dans le temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu.
Concernant l’époque du retour de Jésus, l’apôtre Paul nous averti qu’il faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, c’est-à-dire l’abandon de la foi. Il faut ensuite qu’apparaisse « l’homme du péché, le fils de la perdition », c’est-à-dire l’Antéchrist. Retenons que l’apostasie doit précéder l’apparition de l’Antéchrist, qui lui-même précède celle du retour de Jésus :
1) Apostasie (abandon de la foi) ; 2) Apparition de l’Antéchrist ; 3) Retour de Jésus.
Ensuite, l’apôtre Paul ajoute : « Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu'il ne paraisse qu'en son temps. Car le mystère de l'iniquité agit déjà; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il anéantira par l'éclat de son avènement ».
C’est dans ce petit texte que se trouve la difficulté, reconnue par presque tous les théologiens. Certains en ont profité pour interpréter cette déclaration en fondant la doctrine de « l’enlèvement de l’Eglise avant les événements apocalyptiques », en réalité nous nous doutons bien que c’était dans le but de ne pas avoir à donner des explications au sujet des prophéties de l’Apocalypse, livre ainsi resté « fermé » ! Il est vrai que « celui qui le retient » est bien l’Esprit de Dieu, il n’y a pas de désaccord ici ! Mais la raison de la « disparition de l’Esprit de Dieu » n’est pas celle qui est proclamée par les défenseurs de « l’enlèvement de l’Eglise avant les événements apocalyptiques » ! Car l’Esprit de Dieu disparaît à cause de l’apostasie et non pas de l’enlèvement de l’Eglise ! Car c’est l’abandon de la foi qui a fait « disparaître » l’Esprit de Dieu dans les Eglises ! En effet, la « foi » a été remplacée par des « traditions », lesquelles correspondent à un abandon de la Parole de Dieu, donc de la foi en cette Parole. Il s’agit en réalité des « Eglises qui n’ont plus d’huile dans leur lampe » selon la parabole des dix vierges (Matthieu 25 v 1-13) ! Cette huile, c’est la Parole de Dieu elle-même, c’est-à-dire l’enseignement des Saintes Ecritures, mais là où il ne reste plus que des traditions dans les Eglises, la Bible est « oubliée » et l’Esprit de Dieu ne peut plus se manifester : il « disparaît » ! Il s’agit bien de ce que disait l’apôtre Paul : il y a premièrement l’apostasie, puis la manifestation de l’Antéchrist, mais il ne s’agit pas encore de l’enlèvement de l’Eglise ! Quand doit avoir lieu l’enlèvement de l’Eglise demanderez-vous ? La Bible est très claire à ce sujet : c’est à la « dernière trompette », c’est-à-dire à la septième, celle qui précède les sept coupes ! Six années et demi seront alors passées depuis le début de l’Apocalypse (c’est-à-dire « sept sceaux qui correspondent avec 7 fois six mois », et « six trompettes qui correspondent avec 6 fois six mois », soit 13 fois six mois en tout). Les sept coupes correspondent, après l’enlèvement de l’Eglise, avec sept mois de 30 jours chacun, ou une période de 210 jours. Il y a enfin, après les sept coupes, la bataille d’Harmaguédon qui sera interrompue par le retour de Jésus ! Le jour et l’heure ne seront toujours pas connus, mais en ces jours, pendant la bataille d’Harmaguédon, il ne sera plus question d’attendre encore pendant des mois et des années pour que Jésus revienne, comprenez-vous ? Il se trouve que l’année du retour de Jésus peut être effectivement connue, mais pas « le jour et l’heure » !
1° Epître aux Corinthiens 15 v 51-57 : « Voici, je vous dis un mystère : Nous ne nous endormirons pas tous, mais nous serons tous changés : en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette, car la trompette sonnera et les morts seront ressuscités incorruptibles, et nous, nous serons changés. Car il faut que ce corruptible revête l’incorruptibilité, et que ce mortel revête l’immortalité. Or quand ce corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite : " La mort a été engloutie en victoire " [Ésaïe 25:8]. " Où est, ô mort, ton aiguillon ? où est, ô mort, ta victoire ? " [Osée 13:14]. Or l’aiguillon de la mort, c’est le péché ; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais grâces à Dieu, qui nous donne la victoire par notre seigneur Jésus Christ ! »
1° Epître aux Thessaloniciens 4 v 13-18 : « Or nous ne voulons pas, frères, que vous soyez dans l’ignorance à l’égard de ceux qui dorment, afin que vous ne soyez pas affligés comme les autres qui n’ont pas d’espérance. Car si nous croyons que Jésus mourut et qu’il est ressuscité, de même aussi, avec lui, Dieu amènera ceux qui se sont endormis par Jésus. Car nous vous disons ceci par la parole du Seigneur : que nous, les vivants, qui demeurons jusqu’à la venue du Seigneur, nous ne devancerons aucunement ceux qui se sont endormis. Car le Seigneur lui-même, avec un cri de commandement, avec une voix d’archange, et avec la trompette de Dieu, descendra du ciel ; et les morts en Christ ressusciteront premièrement ; puis nous, les vivants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur, en l’air ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. Consolez-vous donc l’un l’autre par ces paroles ».
Apocalypse 10 v 5-7 : « Et l’ange que j’avais vu se tenir sur la mer et sur la terre, leva sa main droite vers le ciel, et jura par celui qui vit aux siècles des siècles, lequel a créé le ciel et les choses qui y sont, et la terre et les choses qui y sont, et la mer et les choses qui y sont, qu’il n’y aurait plus de délai, mais qu’aux jours de la voix du septième ange, quand il sera sur le point de sonner de la trompette, le mystère de Dieu aussi sera terminé, comme il en a annoncé la bonne nouvelle à ses esclaves les prophètes ».
Le « mystère de Dieu », c’est l’enlèvement de l’Eglise ! L’enlèvement de l’Eglise n’aura pas lieu avant la « septième » et dernière trompette !
2° Epître de Pierre 3 v 8-10 : 3.8 Mais il est une chose, bien-aimés, que vous ne devez pas ignorer, c'est que, devant le Seigneur, un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour. 3.9 Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. 3.10 Le jour du Seigneur viendra comme un voleur; en ce jour, les cieux passeront avec fracas, les éléments embrasés se dissoudront, et la terre avec les œuvres qu'elle renferme sera consumée.
Il y aura très exactement deux mille ans entre le début de l’histoire de l’Eglise en 27 de notre ère et le retour de Jésus en 2027.
Une « erreur chronologique de 40 ans » enfin corrigée, permet de trouver la chronologie exacte de l’histoire du monde en Adam, laquelle est entièrement conforme à la structure générale des cycles historiques.
Il s’est glissé en effet une erreur de 40 ans dans l’interprétation chronologique habituelle de l’Ancien Testament, car il y a en réalité 520 ans depuis l’Exode d’Israël sous Moïse jusqu’aux fondations du Temple de Jérusalem, la quatrième année du règne du roi Salomon. A l’origine de cette erreur il y a, au premier livre des Rois, ch. VI, v. 1, une indication chronologique, que nous prenions « textuellement » prise en compte, mentionnant : « 480 ans après la sortie des Israélites du pays d’Egypte ». Il ne s’agissait pas en réalité d’une référence à l’Exode, comme nous l’avions cru, mais du temps compté depuis la « Sortie du Sinaï », sans doute considéré comme un prolongement du territoire égyptien, c’est-à-dire au moment du passage du Jourdain – et non pas de la mer Rouge – pour entrer dans la terre promise, définitivement hors d’Egypte.
Il apparaît que la chronologie du livre des Juges, trop souvent négligée, donne en réalité 390 ans depuis la première oppression d’Israël par Cusan-Risathaïm, roi de Mésopotamie (Juges ch. III, v. 8), jusqu’à celle des Philistins (Juges ch. XIII, v. 1). Nous sommes alors au début du règne de Saül, en 1100 avant notre ère. De ce fait, la chronologie des Juges nous permet de dater en 1490 avant notre ère (390 ans avant 1100) le début de la première oppression d’Israël, par le roi de Mésopotamie, juste 7 ans après l’entrée des Israélites en Palestine, laquelle se fit en 1497, c’est-à-dire 480 ans avant la fondation du Temple de Jérusalem, qui eut lieu en 1017 av. notre ère. Par ailleurs, nous observons que le livre de Josué, ch. XV, v. 15-17, et des Juges, ch. I, v. 11-13, que le premier libérateur, Othniel, était effectivement contemporain de Josué et Caleb. Il faut donc compter, après l’Exode, 40 ans de marche dans le désert du Sinaï sous la conduite de Moïse, puis 397 ans pour le temps des Juges (après la mort de Moïse), jusqu’au début du règne de Saül, premier roi d’Israël, et, enfin, 83 ans jusqu’à la quatrième année du règne du roi Salomon, soit 520 ans au total au lieu de « 480 ans ». Nous obtenons, après cette étude, bel et bien une différence de 40 ans, origine de l’erreur d’interprétation initiale. Le schéma corrigé des cycles de l’Histoire du Monde se trouve par conséquent modifié et il révèle, ce qui nous avait échappé jusqu’ici, à savoir : l’emplacement exact de l’Apocalypse, de 2020 à 2027 de notre ère. Car nous observons dès lors qu’il y a en réalité 1993 ans, au lieu de « 1953 ans » depuis l’alliance de la Circoncision faite avec Abraham en 1967 av. notre ère (c’est-à-dire 430 ans avant l’Exode, durée indiquée dans Galates III, v. 17, ou 470 ans avant l’entrée d’Israël en Palestine), jusqu’à la Crucifixion de Jésus en 27 de notre ère, sachant qu’il est né en l’an 7 av. notre ère. Soit 1960 ans (ou 7 fois 280 ans, les sept âges de la « postérité d’Abraham »), jusqu’à la naissance de Jésus, auxquels il faut ajouter les 33 années de sa vie. Nous savons que lorsque les Mages arrivèrent à Jérusalem, Jésus était déjà né depuis deux ans et le roi Hérode I° le Grand (37 – 4 av. notre ère) était toujours vivant. La famille alla se réfugier en Egypte sans doute pendant une année entière jusqu’en 4 av. notre ère, année de la mort du roi ; cela place la naissance de Jésus trois ans avant la mort d’Hérode I° le Grand et c’est ici la certitude que Jésus est bien né en l’an 7 av. notre ère. Il fut crucifié en l’an 27 de notre ère, à l’âge de 33 ans. Il n’y a pas de contradiction entre les Evangiles de Luc et de Matthieu, mais Luc se rapporte à la naissance réelle de Jésus, tandis que Matthieu raconte ce qui s’est passé deux années plus tard (le temps que les Mages venus de Perse accomplissent leur voyage, car l’étoile leur était apparue dans leur pays au moment même de la naissance de Jésus). Par ailleurs, la datation de Luc (ch. III, v. 1 – 6) est, soit l’année de la composition de l’Evangile, soit une erreur de transcription des copistes qui auraient probablement changé « la 5° année du règne de Tibère-César » en « 15° année » ; Jean-Baptiste aurait alors commencé son ministère à l’âge de 25 ans, en 19 de notre ère. De même, il y a aussi une durée de 1993 ans depuis la Résurrection de Jésus, soit 1960 ans (ou 7 fois 280 ans, les sept âges de l’Histoire de l’Eglise), auxquels il faut ajouter un temps supplémentaire de 33 ans (répétition des cycles ou « effet miroir »), jusqu’au début de l’Apocalypse. Ces observations faites, il faut ensuite ajouter les sept années de l’Apocalypse elle-même, dont nous connaissons la durée exacte grâce à la prophétie des « 70 semaines d’années » du prophète Daniel (ch. IX, v. 24-27). Cela donne enfin 2000 ans car l’Apocalypse commence à la fin du cycle de 1993 ans (1993 ans + 7 ans = 2000 ans, ou 1960 ans + 33 ans + 7 ans = 2000 ans). Nous obtenons deux millénaires depuis la Mort et la Résurrection de Jésus jusqu’à son prochain Retour, de l’an 27 de notre ère jusqu’en 2027 (et non pas depuis sa naissance). Le schéma général des cycles, définitivement achevé, compte 71 siècles depuis la Création d’Adam en 4074 av. notre ère, jusqu’à la fin du Millenium en 3027, alors que d’autres ont cru devoir en trouver soixante-dix (7000 ans). Cependant, il apparaît que l’ensemble des cycles de l’histoire schématique du Monde compte 72 siècles depuis le début de la Création en 4174 av. notre ère, laquelle a été probablement décidée et mise en œuvre après un cataclysme d’ordre planétaire (et non cosmique), provoqué probablement par la chute d’un ou de plusieurs astéroïdes. Nous obtenons un siècle de plus car il faut compter 100 ans depuis le milieu du premier jour (apparition de la lumière), jusqu’au milieu du sixième jour (création d’Adam), chaque « jour » de la Création ayant une durée « schématiquement » définie de 20 ans. Nous pouvons néanmoins obtenir un ensemble de 70 siècles. Pour cela, il faut compter 2000 ans depuis la sortie d’Adam « schématiquement » indiquée (voir le schéma des cycles de l’histoire du Monde) du Jardin d’Eden en 3974 av. notre ère, lorsqu’il avait 100 ans (nous savons qu’il vécut 930 ans), jusqu’au début du « compte à rebours » de sept années avant la destruction, faite par les anges, de Sodome et Gomorrhe (destruction par le « feu du ciel » après sept ans d’attente par rapport à la position d’origine du nouveau cycle, ce qui peut être interprété comme une préfiguration de l’Apocalypse). Il faut ensuite ajouter les 2000 ans qui suivent le début de ce premier « compte à rebours » jusqu’à la Crucifixion de Jésus, soit 4000 ans accomplis. Pour tenir compte du temps complet de l’Histoire de l’Eglise (1960 ans + 33 ans + 7 ans), il faut ajouter 2000 ans depuis la Résurrection de Jésus jusqu’à son Retour attendu pour l’an 2027, soit 6000 ans accomplis. Enfin, pour terminer, nous devons ajouter les 1000 ans du Millenium, dont la durée est nettement indiquée dans l’Apocalypse de Saint Jean (ch. XX, v. 1-3 et 7-10), pour obtenir très exactement une durée globale de 7000 ans (70 siècles), depuis l’entrée dans le Monde du péché en Adam jusqu’à la libération finale du Diable suivie du Jugement dernier. Pour ce qui concerne l’ensemble des cycles de 1040 ans (périodes méso-américaines de quatre fois 260 ans ou « roues de katuns »), ils sont intégrés dans cette structure et se confondent avec ceux du calendrier méso-américain lui-même. De ce fait, le schéma général des cycles de l’Histoire du Monde s’en trouve simplifié. (Voir schéma des cycles de l’histoire du monde et clés de la chronologie biblique.)
TROISIEME PARTIE : 16.1 : Et j’entendis une voix forte qui venait du temple, et qui disait aux sept anges: Allez, et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu. Les sept coupes sont elles-mêmes le troisième grand malheur ! Les armées qui comptent 200 millions d’hommes traversent les deux grands fleuves, le Tigre et l’Euphrate pour se rendre en Palestine, et , pendant ce temps, les jugement des sept coupes sont « versés » sur la terre !
PREMIERE COUPE : Ils se sont laissés « posséder » parce qu’ils ne supportaient pas les « piqûres » des « sauterelles-démons », mais maintenant un ulcère douloureux se saisit de tous les autres, qui portent la marque de la Bête et adorent son « image » (c’est-à-dire sa « statue ») ! La marque de la Bête, « 666 », est la somme des valeurs numériques des lettres de son nom, celui de l’Antéchrist. Il sera semblable à Néron, dont la valeur numérique des lettres du nom en hébreu, « CESAR NERON », correspond bien à « 666 ». Comme lui, l’Antéchrist persécutera les chrétiens restés fidèles au Christ, mais après l’enlèvement de l’Eglise, ceux qui seront restés sur terre comprendront du fait qu’ils n’auront plus personne à persécuter et ils seront « ulcérés ».
DEUXIEME COUPE : La mer est changée en sang ! Comme dans les plaies d’Egypte, l’eau est changée en sang ! Ceci est un phénomène miraculeux et non un phénomène explicable. Alors, que signifie-t-il ? L’homme récolte ce qu’il sème et, après avoir versé le sang, Dieu lui donne du sang à boire !
TROISIEME COUPE : Cela commence par les eaux de la mer qui sont changées en sang, puis c’est le tour de toutes les eaux, celles des fleuves et des sources d’eaux ! Le sang coule partout : c’est la conséquence naturelle des œuvres criminelles des hommes sur terre, lesquels ne s’intéressaient qu’au profit au détriment de tout le reste, et cela depuis des siècles !
QUATRIEME COUPE : Sauf erreur, nous sommes arrivés à la fin du mois de novembre, et au lieu du froid, il y a de la chaleur : le soleil brûle tout, pire que pendant une canicule d’été !
CINQUIEME COUPE : L’empire de l’Antéchrist, après les chaleurs insupportables, est maintenant, à partir du jour de Noël, le 25 décembre 2026, couvert de ténèbres : il n’y a pas et il ne peut pas y avoir de célébration de la fête de Noël pour tous ceux qui ont pris la « marque de la Bête » ! Leur cadeau est un ulcère qui les fait de plus en plus souffrir !
SIXIEME COUPE : Nous avons ici le secret de la « Trinité satanique » : il s’agit de trois démons, semblables à des grenouilles ! Les armées sont maintenant rassemblées à Harmaguédon, en Palestine !
SEPTIEME COUPE : C’est le plus grand fléau ou cataclysme que le monde ait connu, provoqué par un immense séisme, peut-être propagé à divers endroits de la planète. Le monde « ne tient plus debout » après avoir « rejeté Dieu » !
JUGEMENT DE ROME : 18.1 : Après cela, je vis descendre du ciel un autre ange, qui avait une grande autorité; et la terre fut éclairée de sa gloire. 18.2 : Il cria d’une voix forte, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux, 18.3 : Parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de son impudicité, et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe. 18.4: Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux. Rome est détruite !
QUATRIEME PARTIE :
Retour de Jésus : 19.11 : Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc.
Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat
avec justice. 19.12 : Ses yeux étaient comme une flamme de feu; sur sa tête
étaient plusieurs diadèmes; il avait un nom écrit, que personne ne connaît,
si ce n’est lui-même; 19.13 : Et il était revêtu d’un vêtement teint de
sang. Son nom est la Parole de Dieu. 19.16 : Il avait sur son vêtement et
sur sa cuisse un nom écrit: Roi des rois et Seigneur des seigneurs. 19.20 :
Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant
elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la
marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants
dans l’étang ardent de feu et de soufre.
24.15 C'est pourquoi, lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, - que celui qui lit fasse attention! - 24.16 alors, que ceux qui seront en Judée fuient dans les montagnes; 24.17 que celui qui sera sur le toit ne descende pas pour prendre ce qui est dans sa maison; 24.18 et que celui qui sera dans les champs ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau. 24.19 Malheur aux femmes qui seront enceintes et à celles qui allaiteront en ces jours-là! 24.20 Priez pour que votre fuite n'arrive pas en hiver, ni un jour de sabbat. 24.21 Car alors, la détresse sera si grande qu'il n'y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu'à présent, et qu'il n'y en aura jamais. 24.22 Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé; mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés.
Jésus nous met en garde : « Lorsque vous verrez l'abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint… ». Cela signifie que le retour de Jésus se fera lorsque l’Antéchrist sera au pouvoir et aura imposé son culte abominable à Jérusalem.
Voici la description de retour de Jésus :
Zacharie 14 v 1-15 : « Voici, un jour vient pour l’Éternel, et tes dépouilles seront partagées au milieu de toi. Et j’assemblerai toutes les nations contre Jérusalem, pour le combat ; et la ville sera prise, et les maisons seront pillées, et les femmes violées, et la moitié de la ville s’en ira en captivité ; et le reste du peuple ne sera pas retranché de la ville. Et l’Éternel sortira et combattra contre ces nations comme au jour où il a combattu au jour de la bataille. Et ses pieds se tiendront, en ce jour-là, sur la montagne des Oliviers, qui est en face de Jérusalem, vers l’orient ; et la montagne des Oliviers se fendra par le milieu, vers le levant, et vers l’occident, - une fort grande vallée, et la moitié de la montagne se retirera vers le nord, et la moitié vers le midi. Et vous fuirez dans la vallée de mes montagnes ; car la vallée des montagnes s’étendra jusqu’à Atsal ; et vous fuirez comme vous avez fui devant le tremblement de terre, aux jours d’Ozias, roi de Juda. - Et l’Éternel, mon Dieu, viendra, et tous les saints avec toi. Et il arrivera, en ce jour-là, qu’il n’y aura pas de lumière, les luminaires seront obscurcis; mais ce sera un jour connu de l’Éternel, - pas jour et pas nuit ; et au temps du soir il y a aura de la lumière. Et il arrivera, en ce jour-là, que des eaux vives sortiront de Jérusalem, la moitié vers la mer orientale, et la moitié vers la mer d’occident; cela aura lieu été et hiver. Et l’Éternel sera roi sur toute la terre. En ce jour-là, il y aura un Éternel, et son nom sera un. Tout le pays, de Guéba à Rimmon qui est au midi de Jérusalem, sera changé pour être comme l’Araba, et Jérusalem sera élevée et demeurera en son lieu, depuis la porte de Benjamin jusqu’à l’endroit de la première porte, jusqu’à la porte du coin, et depuis la tour de Hananeël jusqu’aux pressoirs du roi. Et on y habitera, et il n’y aura plus d’anathème ; et Jérusalem habitera en sécurité. Et c’est ici la plaie dont l’Éternel frappera tous les peuples qui auront fait la guerre contre Jérusalem : leur chair se fondra tandis qu’ils seront debout sur leurs pieds, et leurs yeux se fondront dans leurs orbites, et leur langue se fondra dans leur bouche. Et il arrivera, en ce jour-là, qu’il y aura, de par l’Éternel, un grand trouble parmi eux, et ils saisiront la main l’un de l’autre, et lèveront la main l’un contre l’autre. Et Juda aussi combattra à Jérusalem ; et les richesses de toutes les nations d’alentour seront rassemblées, or et argent et vêtements en grande quantité. Et ainsi sera la plaie du cheval, du mulet, du chameau et de l’âne, et de toute bête qui sera dans ces camps : elle sera selon cette plaie-là ».
Nous pouvons penser que si « le jour et l’heure » du retour de Jésus ne peuvent pas être connus à l’avance, c’est à cause d’une « stratégie de guerre » à la fois terrestre et cosmique, puisque cela se fera dans le cadre de la bataille d’Harmaguédon. Mais c’est probablement aussi à cause de la « plaie » dont seront frappées les armées qui viendront combattre Israël : y aura-t-il une « interférence d’espace-temps » qui aurait « projeté » les armées ennemies d’Israël dans une autre temps ? Car « leur chair se fondra tandis qu’ils seront debout sur leurs pieds, et leurs yeux se fondront dans leurs orbites, et leur langue se fondra dans leur bouche ». En d’autres termes, ils « pourriront instantanément » comme si plusieurs jours ou semaines étaient déjà passées !
L’explication serait donnée ici : « Il arrivera, en ce jour-là, qu’il n’y aura pas de lumière, les luminaires seront obscurcis; mais ce sera un jour connu de l’Éternel, - pas jour et pas nuit ; et au temps du soir il y a aura de la lumière ». Autrement dit, le soir le jour se lèvera ! Le temps sera « arrêté » pour les uns et « accéléré » pour les autres. Impossible après cela de savoir quel sera le « temps réel »…
19.19 Et je vis la bête, et les rois de la terre, et leurs armées rassemblés pour faire la guerre à celui qui était assis sur le cheval et à son armée. 19.20 Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète, qui avait fait devant elle les prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image. Ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre. 19.21 Et les autres furent tués par l'épée qui sortait de la bouche de celui qui était assis sur le cheval; et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair.
Nous pouvons penser que si « le jour et l’heure » du retour de Jésus ne peuvent pas être connus à l’avance, c’est à cause d’une « stratégie de guerre » à la fois terrestre et cosmique, puisque cela se fera dans le cadre de la bataille d’Harmaguédon. Mais c’est probablement aussi à cause de la « plaie » dont seront frappées les armées qui viendront combattre Israël : y aura-t-il une « interférence d’espace-temps » qui aurait « projeté » les armées ennemies d’Israël dans une autre temps ? Car « leur chair se fondra tandis qu’ils seront debout sur leurs pieds, et leurs yeux se fondront dans leurs orbites, et leur langue se fondra dans leur bouche ». En d’autres termes, ils « pourriront instantanément » comme si plusieurs jours ou semaines étaient déjà passées ! Après la « plaie » de l’Eternel, les armées seront exterminées, car il ne restera plus que leurs cadavres « pourris et décomposés » au sol ! Tous seront frappés par cette « plaie », sauf l’Antéchrist et le Faux prophète car, même après avoir été « promenés » dans un autre « espace-temps », puis « revenus » seuls vivants au milieu des armées transformées en cadavres, ils seront, eux, toujours « vivants » ! Cela parce que le Diable les avait ressuscité et leur avait donné un corps immortel ! Mais voici ce qui leur arrivera à la fin de la bataille d’Harmaguédon : « Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophète… ; ils furent tous les deux jetés vivants dans l'étang ardent de feu et de soufre ». 20.1 Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l'abîme et une grande chaîne dans sa main. 20.2 Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. 20.3 Il le jeta dans l'abîme, ferma et scella l'entrée au-dessus de lui, afin qu'il ne séduisît plus les nations, jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis. Après cela, il faut qu'il soit délié pour un peu de temps.
Le Diable, contrairement à l’Antéchrist et au Faux prophète, n’est pas « jeté dans l’étang ardent de feu et de soufre » tout de suite, mais il est « emprisonné » pendant mille ans dans le « puits de l’abîme ». Les « millénaristes » sont les « bêtes noires » des gouvernements du monde entier ! Pourtant, ils ont raison, mais ils sont persécutés ! Ils régneront bientôt avec le Christ pendant mille ans, puis enfin, à tout jamais !
CINQUIEME PARTIE : La fin du millenium : 20.7 : Quand les mille ans seront accomplis, Satan sera relâché de sa prison. 20.8 : Et il sortira pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre; leur nombre est comme le sable de la mer. 20.9 : Et ils montèrent sur la surface de la terre, et ils investirent le camp des saints et la ville bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel, et les dévora. 20.10 : Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles. 20.11 : Puis je vis un grand trône blanc, et celui qui était assis dessus. La terre et le ciel s’enfuirent devant sa face, et il ne fut plus trouvé de place pour eux. 20.12 : Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans ces livres. 20.13 : La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux; et chacun fut jugé selon ses œuvres. 20.14 : Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l’étang de feu. C’est la seconde mort, l’étang de feu. 20.15 : Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu. Il y aura, après mille ans, une « Deuxième Apocalypse », mais ce sera la dernière. Les élus rejoindront la Nouvelle Jérusalem à tout jamais !
Chapitre 13Alerte aux OVNI :
Les OVNI ont fait leur apparition en 1944 ; auparavant, leurs manifestations n’étaient que sporadiques dans l’Histoire. Depuis 1944, ils ont en premier lieu étudié les avions et tout ce qui volait dans le ciel afin de tester les capacités de défense de la technologie humaine de l’époque. Cela se comprend, car ils apparaissent en premier lieu dans notre ciel et c’est là qu’ils auraient été en danger si notre technologie était suffisamment évoluée pour les combattre. Mais il n’en était rien car personne ne pouvait rien faire contre ces OVNI dont les prouesses de vol et de défense dépassaient l’entendement humain ! Après cela, ils ont étudié tout ce qui se trouvait sur la terre, au sol, pays par pays, de façon systématique et en procédant par vagues successives. Ainsi il y eut trois vagues d’apparitions d’OVNI aux Etats-Unis : la première en 1947, la deuxième en 1952 et la troisième en 1957. Elles ont été séparées de cinq années, certainement dans le but de “se faire oublier” avant de réapparaître. La France connut sa vague d’apparition d’OVNI en 1954 et la Russie, comme la Belgique, en 1989. Ils ne sont pas apparus partout en même temps, c’est-à-dire en différentes “ vagues mondiales ”, car sinon, ils auraient “ défrayé la chronique ” sur le plan international et provoqué de ce fait une réaction mondiale de défense “ Anti-OVNI ”. De plus, cette méthode d’apparitions en vagues pays par pays, l’un après l’autre, leur a permis d’agir efficacement tout en économisant leurs moyens. Ils ont donc mis en application un plan d’intervention sur le globe terrestre, prévu et planifié à l’avance, appliqué étape par étape, de façon systématique. Pour ce qui concerne les enlèvements d’êtres humains, ils les ont réalisés essentiellement aux Etats-Unis et ils ont placé des “ implants ” sur leurs victimes après leur avoir rendu la liberté, certainement dans le but d’espionner la plus grande puissance économique et militaire de la planète. En agissant essentiellement aux Etats-Unis pour procéder aux enlèvements, ils n’ont pas alerté les autres pays du monde et les Américains, victimes de ces abus, sont passés pour d’heureux “ illuminés ” aux yeux des autres peuples de la planète ! Ce plan d’intervention des OVNI sur la Terre est une réalité incontestable, établie par des milliers de témoins, des observations visuelles de pilotes d’avions confirmées par des radars, par des traces laissées au sol, et par des photographies dont certaines ont été reconnues authentiques après expertise. Les questions qui se posent sont celles-ci : Pourquoi sont-ils arrivés en si grand nombre depuis 1944, et que préparent-ils depuis ? Comment auraient-ils pu entreprendre une mission d’une telle envergure, d’une dimension planétaire, si ce n’était pas pour de sérieuses raisons ? Ils viennent de loin, de Sirius peut-être, ou bien de plus loin encore ! Mais que préparent-ils aujourd’hui sur Terre ? Une invasion ? Certainement, car elle a déjà commencé ! Quelles sont leurs intentions réelles ? Que veulent-ils faire finalement ? Que préparent-ils en réalité ? Viennent-ils de Dieu ou du Diable ? S’il faut répondre à cette dernière question, les prophéties indiquent que le Diable doit d’abord prendre le pouvoir sur la Terre avant le retour du Christ ! Aujourd’hui, nous observons qu’ils sont arrivés dans notre ciel en grand nombre depuis maintenant 62 ans (1944-2006) et qu’ils n’ont pas cessé d’agir et de se manifester ! Imaginons tout le travail qu’ils ont déjà accompli autour de nous avec leur technologie qui défie encore et toujours l’entendement humain ! Les OVNI sont les “signes du ciel” dont parlait Jésus, lesquels doivent se manifester à l’approche de son retour, soit “les étoiles qui tombent du ciel”, c’est-à-dire les “anges déchus”.
Chapitre 14 Les cycles astronomiques :
Les connaissances astronomiques "interdites"
Les connaissances astronomiques issues des révolutions synodiques des planètes ne sont jamais évoquées : est-ce dire qu’elles sont interdites ? Est-ce parce que par elles, nous obtenons les schémas des cycles astronomiques, mais aussi ceux des cycles historiques ?
a) Les principales caractéristiques connues de Vénus.
Seconde planète du système solaire entre Mercure et la Terre, Vénus est l’astre le plus brillant du ciel après le Soleil et la Lune ; son élongation va jusqu’à 47° du Soleil, si bien qu’elle brille tard dans la nuit ou tôt avant le lever du jour ; elle se couche (ou se lève) jusqu’à 3 heures après (ou avant) le Soleil ; lorsqu’elle présente sa phase pleine, elle se trouve à environ 260 millions de km de la Terre et lorsqu’elle apparaît sous forme de croissant, elle est seulement à 41,4 millions de km (conjonction inférieure) : c’est la planète du système solaire qui s’approche le plus de la Terre. Sa distance au Soleil varie de 107,5 à 108,9 millions de kilomètres et son orbite autour de lui dure 224,7 jours ; Vénus se trouve placée à 7,58 % de la distance Soleil-Saturne (valeur : 100 %) contre 10,48 % pour la Terre. Vénus tourne sur elle-même en sens rétrograde en 243 jours (5832,23 h) et, semblable à la Terre par sa taille, elle mesure 12 104 km de diamètre contre 12 756,77 km pour notre planète (soit 94,88 %). Sa densité est de 5,25 contre 5,52 pour la Terre. Mais sa pression atmosphérique est 92 fois plus élevée que celle de notre planète et sa température varie de 753°C à 480°C. Son atmosphère est essentiellement composée de gaz carbonique (96 % de CO2) et les pluies sont composées d’acide sulfurique et d’eau. Le « jour vénusien » dure 116,74 jours tandis qu’il manque à l’année vénusienne (de 224,7 jours) juste 8,78 jours pour arriver jusqu’à deux « jours vénusiens » entiers (ou 2 fois 116,74 jours).
De la Terre, on ne peut observer au télescope que la couche impénétrable de ses nuages, principalement composés d’acide sulfurique, qui se déplacent jusqu’à environ 50 km de la surface du sol ; une autre couche atmosphérique, plus claire, s’élève jusqu’à 85 km. Les vents chargés de nuages tournent en « violentes tempêtes » à plus de 400 km/h en sens rétrograde tout autour de Vénus en 4 jours seulement.
Le relief de Vénus est connu grâce à l’envoi de sondes : couverte de vastes plaines, elle présente de grandes dépressions, dont la « Rift Valley », longue de 1400 km et profonde de 4 km. Elle a des reliefs de plus de 1000 m et les radars ont repéré des massifs montagneux qui s’élèvent jusqu’à 11 km au-dessus du rayon médian de la planète. Enfin, Vénus ne possède pas de « lune », ni de champ magnétique.
b) Mariage de l’année invariable de 365 jours (année « magique ») avec le cycle de Vénus.
Le cycle vénusien du calendrier méso-américain (alignement Soleil – Vénus – Terre) est la période moyenne de cinq révolutions synodiques de Vénus.
Vénus apparaît dans le ciel tôt le matin en « étoile du Berger » pendant 240 jours (8 x 30 jours), puis elle disparaît derrière le Soleil pendant 90 jours (3 x 30 jours) ; elle reparaît ensuite dans le ciel après le coucher du Soleil en « étoile du Soir » pendant 240 autres jours, puis disparaît à nouveau pendant 14 jours (ou deux semaines) en passant devant le soleil. Cela fait un cycle complet de 584 jours :
240 j + 90 j + 240 j + 14 j = 584 jours.
Mais il s’agit de durées moyennes car Vénus compte en réalité cinq cycles irréguliers :
Ø 580 j + 587 j + 583 j + 583 j + 587 j = 2920 jours ; Ø 2920 jours / 5 = 584 jours.
Son cycle astronomique précis est de 583,9207 jours, ou de 1,5987 années solaires tropiques. La durée moyenne d’un cycle de Vénus étant de 584 jours, nous observons que ce cycle se divise en huit séries de 73 jours : 8 x 73 j = 584 jours.
L’intérêt de ce cycle de 73 jours, devenu « série initiale de 73 jours », c’est qu’il est commun à la fois avec les divisions de Vénus et celles de l’année solaire (qui compte cinq fois 73 jours) : 5 x 73 j = 365 jours.
C’est ainsi que le cycle moyen de « 5 révolutions synodiques de Vénus » correspond avec celui de « 8 années solaires » : 5 x 584 j = 8 x 365 j = 40 x 73 jours = 2920 jours.
En effet, huit séries de 73 jours (cycle de Vénus) multipliées par cinq séries de 73 jours (cycle de l’année solaire) font quarante séries de 73 jours ou 2920 jours qui comprennent un nombre entier de révolutions synodiques de Vénus et un nombre entier d’années solaires. C’est donc bien la « série initiale de 73 jours », qui permet de « marier » Vénus avec l’année solaire de 365 jours (année « magique ») parce qu’elle est commune aux deux cycles.
c) Vénus assimilée au « Serpent ailé ».
La « Pierre du Soleil », qui fut découverte à Mexico, présente sur son pourtour deux serpents qui forment une révolution synodique complète de Vénus ; nous pouvons les nommer « Lucifer » et « Vesper », noms de Vénus apparaissant d’abord en « étoile du Matin », puis en « étoile du Soir ».
Remarquons que l’identification du serpent avec les apparitions de Vénus dans le ciel était courante en Méso-amérique tandis que, dans l’Ancien Monde, « Lucifer » était à la fois le nom de Vénus et celui du Diable avant sa chute, lorsqu’il était encore un « Chérubin protecteur », porteur de lumière. Ezéchiel ch. 28, v. 11-19 :« Tu lui dira : Ainsi parle le Seigneur, l’Eternel : Tu mettais le sceau à la perfection, tu étais plein de sagesse, parfait en beauté… Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées… Tu as été intègre dans tes voies, depuis le jour où tu fus créé, jusqu’à celui où l’iniquité a été trouvée chez toi… Je te précipite de la montagne de Dieu, et je te fais disparaître, chérubin protecteur… Je te jette par terre… Je fais sortir du milieu de toi un feu qui te dévore, je te réduis en cendres sur la terre… Tu es réduit au néant, tu ne seras plus à jamais ! »
Dans l’Ancien Monde, le Diable est identifié avec le « Serpent ancien » de l’Apocalypse (ch. 20, v. 2) : « Il saisit le Dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans ». Nous le retrouvons en Méso-amérique également représentée par un serpent : il s’agit du « Serpent à plumes » appelé Quetzacoatl. Notons qu’en Méso-amérique, Quetzacoatl est vu sous sa forme glorieuse en tant que « chérubin » ou « Serpent ailé », porteur de lumière.
Nous savons, grâce aux textes bibliques, qu’il existe d’autres chérubins, lesquels représentent chacun un aspect particulier de la Création du livre de la Genèse : les reptiles (Serpent à plumes ou ailé), les oiseaux (Aigle représenté en vol), les animaux sauvages (Lion ailé), les animaux domestiques (Taureau ailé) et l’homme (Homme ailé). Le serpent ailé, également appelé Dragon, a manifestement élu domicile en Amérique Centrale, tandis que nous trouvons la représentation des autres chérubins dans tout le Moyen-Orient. En fait, Quetzacoatl a été « séparé » des autres chérubins sur terre tout comme Lucifer a été « séparé » du Trône de Dieu dans le ciel ; notons que nous le retrouvons quand même en Chine, c’est-à-dire relégué au loin, jusqu’aux « extrémités de la terre ».
d) Les cycles représentés par la « Pierre du Soleil » de Mexico.
La « Pierre du Soleil » représente Vénus par une « étoile à huit branches » car chaque serpent entoure quatre des huit divisions marquées sur le pourtour du calendrier aztèque et, allongé sur quatre séries initiales de 73 jours, chacun compte 292 jours, durée représentée par un serpent vénusien ou serpent à plumes. Cette correspondance exacte des serpents avec les séries de 73 jours permet de marier les différentes phases de Vénus avec « l’année magique » invariable de 365 jours (5 x 73 jours).
L’année solaire magique, qui prend cette appellation à cause de ses correspondances astronomiques avec les cycles des planètes Mercure, Vénus et Mars, comprenait en Méso-amérique dix-huit mois de vingt jours (mois sacrés) pour faire 360 jours, auxquels il fallait ajouter cinq jours supplémentaires pour faire 365 jours. En Egypte, l’année civile se divisait en douze mois de trente jours (mois arithmétiques) pour faire également 360 jours, auxquels on ajoutait les cinq jours additionnels appelés « épagomènes » pour faire une année solaire semblable de 365 jours. L’année égyptienne était invariable et, de ce fait, elle correspondait elle aussi avec les cycles de Vénus. Ainsi :
Ø 18 x 20 jours = 12 x 30 jours = 360 jours (année arithmétique) ; Ø 360 jours + 5 jours additionnels = 365 jours = 5 x 73 jours (année magique).
Les cinq jours de fin d’année s’appelaient « nemontemi » en aztèque ou « uayeb » en maya, ce qui signifie « lit annuel ». La différence qu’il y avait entre l’année arithmétique de 360 jours et l’année solaire magique de 365 jours permettait de former un « lit annuel » dont le rôle était de marquer la position à l’intérieur de l’année solaire où se produisait la correspondance de celle-ci avec les « nouvelles Vénus » ou conjonctions « Terre-Vénus » qui se produisaient dans cette position précise de l’année solaire une fois seulement tous les huit ans : lorsque la « nouvelle Vénus » tombait à l’intérieur du « lit annuel », un cycle de huit années venait de s’accomplir et un nouveau commençait. Le « lit annuel » servait donc à marquer les cycles de huit ans et par conséquent à « marier » les années solaires avec les cycles de Vénus en les synchronisant : la « roue solaire » était synchronisée avec la « roue vénusienne ».
En effet, tous les deux ans s’écoulaient 730 jours ou dix fois 73 jours : 2 x 365 jours = 730 jours = 10 x 73 jours.
730 jours s’accordaient avec « une Vénus et un quart » ou bien avec deux serpents vénusiens et la moitié d’un troisième. En deux ans, le « lit annuel » était passé de la « Nouvelle Vénus » au « Premier Quartier » de Vénus, c’est-à-dire que tous les deux ans le lit annuel correspondait successivement avec chacune des quatre principales phases de Vénus : « Premier quartier », « Pleine Vénus », « Dernier quartier » et enfin « Nouvelle Vénus ».
Le lit annuel décomposait le cycle de 2920 jours de la façon suivante :
Ø 730 jours = une Vénus et un quart = Premier Quartier de Vénus ; Ø 1460 jours = deux Vénus et demi = Pleine Vénus ; Ø 2190 jours = trois Vénus et trois quart = Dernier Quartier de Vénus ; Ø 2920 jours = cinq Vénus = Nouvelle Vénus.
La Pierre du Soleil met en relief les quatre principales divisions du cycle de Vénus parce qu’elles correspondent avec ses quatre principales phases : elles se synchronisent avec l’année solaire tous les deux ans en tombant dans le lit annuel. La première division, celle du point de départ du cycle, se situe entre les deux gueules ouvertes des serpents et marque la Nouvelle Vénus (lorsqu’elle passe devant le Soleil) ; la seconde, après 730 jours, se trouve au milieu du corps du premier serpent (« Lucifer ») et marque le Premier Quartier ; la troisième, après 1460 jours, tombe entre les queues des deux serpents et indique la Pleine Vénus (lorsqu’elle passe derrière le Soleil) ; la quatrième, après 2190 jours, est placée au milieu du corps du deuxième serpent (« Vesper ») pour marquer le Dernier Quartier. Et enfin, pour achever le cycle de 2920 jours, Vénus revient se placer entre les gueules des deux serpents (Nouvelle Vénus).
Les quatre divisions du cycle de huit ans en sous-cycles de deux ans expliquent pourquoi l’année solaire de 365 jours n’a pas été divisée plus simplement en cinq séries de 73 jours, mais en deux parties : l’une de 360 jours (année arithmétique) et l’autre de cinq jours (lit annuel). Mais, la Pierre du Soleil de Mexico met en relief la division du cycle de Vénus qui en huit séries de 73 jours, car elles servent à marquer ses principales structures sur lesquelles sont positionnés les deux serpents : la série initiale de 73 jours est de nature essentiellement vénusienne.
Ces remarques permettent d’affirmer que l’année solaire « magique » de 365 jours n’est pas la véritable année solaire, mais seulement une « création schématique particulière » qui lui est faite pour pouvoir l’adapter et la synchroniser, grâce à de telles divisions (360 jours + 5 jours), avec les structures particulières de Vénus, qui sont et restent les séries de 73 jours (8 x 73 jours) : il lui fallait nécessairement un « lit annuel » de cinq jours pour marquer ses relations particulières avec les différentes phases de Vénus.
Dans l’Ancien Monde, lorsque le calendrier égyptien (12 mois de 30 jours auxquels on ajoutait 5 jours additionnels) a été remplacé par le calendrier romain (12 mois dont chacun différait en nombre de jours pour faire 365 jours), la disparition du « lit annuel » ne permettait plus de distinguer les relations de l’année solaire avec les différentes phases de Vénus car l’année ne s’harmonisait plus avec Vénus, mais seulement avec les saisons. L’année solaire méso-américaine oblige à rechercher la position réelle des séries de 73 jours du cycle de Vénus pour déterminer ce que doit être sa position effective à l’intérieur de la véritable année solaire de 365,2422 jours. Elle doit donc être « mobile » à l’intérieur des saisons, lesquelles sont déterminées par le Soleil. Il y a par nécessité deux modèles d’année solaire : l’un fixe et l’autre mobile. Le modèle « fixe » doit s’harmoniser sans cesse avec le Soleil et le modèle « mobile » doit suivre les évolutions de la planète Vénus (double système d’année solaire). Ainsi l’année solaire mobile, harmonisée avec Vénus, « glisse » à l’intérieur de l’année solaire fixe, laquelle est harmonisée avec le soleil par l’addition des jours des années bissextiles.
e) Les principales caractéristiques connues de Mars.
Quatrième planète du système solaire, placée entre la Terre et Jupiter, Mars est la première planète extérieure, c’est-à-dire plus éloignée du Soleil que notre globe. Sa distance au Soleil est de 227 940 000 km, soit de 206 650 000 km au périhélie et de 249 220 000 km à l’aphélie ; sa distance de la Terre est de 78 400 000 km (son dernier rapprochement a eu lieu le 27 août 2003). La planète, qui parcours son orbite en 687 jours, effectue un tour sur elle-même en 24,62 h. Sa révolution synodique est de 779,9352 jours et s’arrondit à 780 jours.
Le diamètre équatorial de Mars atteint 6786 km, soit un peu plus de la moitié de celui de la Terre (53,20 %) et sa gravité fait environ le tiers de celle de la Terre. Avec un axe de rotation incliné de 24° sur le plan orbital (contre 23° 26’ pour la Terre), la « planète rouge », qui apparaît comme un petit disque rosâtre, connaît elle aussi des saisons. Sa masse est dix fois plus faible que celle de la Terre et son atmosphère, très faible, comprend 95 % de dioxyde de carbone, 2,7 % d’azote et des traces d’autres gaz dont 0,03 % de vapeur d’eau. Placée à 15,97 % de la distance « Soleil-Saturne » contre 10,48 % pour la Terre ou 7,58 % pour Vénus, Mars reçoit 2,3 fois moins d’énergie solaire que notre globe et elle est par conséquent beaucoup plus froide avec - 143°C minimum au pôle sud et 22°C maximum à l’équateur. Aux pôles se trouvent des calottes glaciaires, recouvertes de neige carbonique, qui changent d’aspect au fil des saisons. Les écarts de température entre le jour et la nuit atteignent 50°C et provoquent des vents très violents dans une atmosphère 100 fois moins dense que la nôtre ; le réseau des structures sombres et régulières, observé par Schiaparelli en 1877, ne provient que d’illusions optiques, lesquelles sont produites par des turbulences atmosphériques. La surface est désertique, couverte d’une poussière d’oxyde de fer qui lui donne sa couleur de « rouille » et donne à son atmosphère une couleur rosâtre.
Le relief comprend des cratères et des bassins semblables à ceux de la Lune, des chaînes volcaniques, des dunes et des rivières fossiles, preuve que de l’eau a coulé jadis sur la surface de Mars. Son principal volcan, Mons Olympus, s’étend sur 600 km et s’élève jusqu’à 26 km : il est le plus grand volcan connu du système solaire. On croit que la « planète rouge » abrite la vie depuis l’Antiquité.
Mars possède deux petits satellites, Phobos (la Peur) et Deimos (la Terreur), sans doute des astéroïdes capturés il y a plus de trois milliards d’années (respectivement fils et compagnon du dieu romain de la guerre).
f) Mariage de l’année invariable de 365 jours avec les cycles de Mars.
L’année magique de 365 jours a la propriété de se « marier » également avec les révolutions synodiques des autres planètes.
L’année sacrée de 260 jours (« tonalpouali » en aztèque ou « tzolkin » en maya) se divise en treize mois de vingt jours ; c’est elle qui impose la division de l’année arithmétique (360 jours) en 18 mois de 20 jours au lieu de 12 mois de 30 jours. Elle provient d’une division d’un cycle plus grand, celui de la révolution synodique de la planète Mars qui compte 780 jours ou 3 x 260 jours :
780 jours = 3 x 260 jours (années sacrées) = 39 x 20 jours = 2 x 390 jours (années solaires sacrées).
Le cycle de 390 jours (année solaire sacrée ou demi Mars) peut se diviser en 13 fois 30 jours, mais pas en un nombre entier de mois de vingt jours :
Ø 390 jours / 20 jours = 19,5 ; Ø 390 jours / 30 jours = 13.
Il faut noter que la révolution synodique de Mars ne doit pas se diviser en deux partie (2 x 390 jours), comme celle de Vénus, mais en trois parties (3 x 260 jours) parce que Mars est une planète extérieure, c’est-à-dire plus éloignée du Soleil que la Terre, comme Jupiter et Saturne. En effet, Mars passe derrière la Terre et, lorsqu’elle arrive à la moitié de son cycle, elle brille dans la nuit au milieu du ciel (alignement Soleil – Terre – Mars), tandis que Vénus, à la moitié de son cycle, passe derrière le Soleil et devient invisible (alignement Vénus – Soleil – Terre). Les deux types de planètes fonctionnent par conséquent « à l’envers » l’une par rapport à l’autre : Vénus, qui commence son cycle entre le Soleil et la Terre, prend son essor pour passer derrière le Soleil, tandis que Mars, qui commence son cycle derrière le Soleil, prend son essor pour passer ensuite derrière la Terre. Mars ne devient invisible qu’une seule fois, lorsqu’elle passe derrière le Soleil, tandis que Vénus devient invisible deux fois : au début de son cycle lorsqu’elle se trouve entre le Soleil et la Terre, puis à la moitié de son cycle, lorsqu’elle passe derrière le Soleil. C’est pourquoi la révolution synodique de Mars ne se divise pas en deux parties comme celle de Vénus, mais en trois parties, qui forment son cycle de trois fois 260 jours :
Ø 1° cycle de 260 jours : lever progressif de Mars jusqu’à 260 jours ; Ø 2° cycle de 260 jours : Mars brille au milieu de la nuit jusqu’à 520 jours ; Ø 3° cycle de 260 jours : coucher progressif de Mars jusqu’à 780 jours.
Les années sacrées (de 260 jours) doivent définir la position réelle de Mars dans le ciel et se grouper par conséquent en séries de trois : son cycle peut être représenté par un triangle équilatéral dont chaque côté représente une année sacrée. La Terre se trouve placée au centre du triangle et le Soleil se situe au sommet du triangle ; la base du triangle représente Mars brillant au milieu de la nuit. Vénus peut être représentée par une croix (?), qui marque ses quatre phases, et Mars doit l’être par un triangle équilatéral (Δ).
Les Olmèques, qui créèrent le calendrier méso-américain sans doute grâce à l’initiation des Phéniciens qui traversèrent l’Océan Atlantique au XI° siècle avant notre ère (l’époque Olmèque commença en 1094 av. notre ère), avaient l’habitude de s’identifier avec le jaguar, que nous retrouvons dans les représentations d’hommes jaguars. En effet, cet animal sortait pour chasser pendant la nuit, au moment où Mars brillait dans la voûte céleste : le félin s’identifiait ainsi à la fois avec la planète Mars et le peuple Olmèque, c’est-à-dire avec l’homme lui-même. Lorsque l’homme s’identifiait avec le jaguar, il le faisait en réalité avec Mars. Mars était donc représentée par un jaguar tout comme Vénus l’était par le serpent à plumes.
Le jaguar rappelle le lion et ce dernier, représenté « ailé », est le chérubin à tête de lion qui représente la création des animaux sauvages. En l’absence de lion en Amérique, c’est le jaguar qui fut choisi pour représenter la planète Mars, laquelle s’associe avec le lion ailé, très connu au Moyen-Orient. Le Sphinx, lion à tête humaine, tirerait également son origine de la planète Mars.
Nous avons ainsi obtenu deux représentations de chérubins :
1) le serpent ailé ou Dragon, représenté par la planète Vénus ; 2) le lion ailé ou jaguar méso-américain, représenté par la planète Mars.
Cela nous permet de penser que chaque chérubin, que nous trouvons représentés au Moyen-Orient et dans les textes bibliques, s’identifie avec la création du livre de la Genèse, mais aussi avec l’une des planètes du système solaire.
De ce point de vue, l’aigle serait un deuxième aspect de Vénus (à la fois « serpent et aigle » pour représenter les reptiles et les oiseaux) tandis que le taureau ailé s’apparenterait avec la planète Mercure (chérubin des animaux domestiques).
Il reste encore la représentation du chérubin à face humaine, qui pourrait être l’homme lui-même. L’homme serait directement représenté par le Soleil (fils de Ré) et la femme par la Lune (songe de Joseph dans Genèse ch. 37, v. 9-10).
L’année sacrée de 260 jours s’accordait aussi avec l’année magique de 365 jours car le premier jour de l’année magique coïncidait à nouveau avec le premier jour de l’année sacrée une fois tous les cinquante-deux ans ou en 18 980 jours :
365 jours x 52 = 73 x 260 jours = 18 980 jours.
Mais aussi :
18 980 jours = 65 x 292 jours (serpents à plumes).
Nous observons que 18 980 jours (52 ans) ne s’accordent pas seulement avec 73 années sacrées (73 x 260 jours), mais aussi avec 65 serpents à plumes (65 x 292 jours) ou 32 cycles de Vénus et demi. Grâce à la triple correspondance « années magiques », « années sacrées » et « serpents vénusiens », les Indiens de la Méso-Amérique obtenaient en 52 ans une triple harmonie des mouvements de la Terre, qui gravite elle aussi autour du Soleil (année solaire), de Vénus et de Mars.
Deux cycles de 52 ans font 104 ans ou treize fois huit ans, en correspondance avec 13 cycles de cinq Vénus ; en 104 ans, nous obtenons le schéma suivant :
XIII 13 XIII 13 13 13 XIII 13 13 13 XIII 13 XIII
Les stations de Vénus sont représentées en quinconce et les stations des années solaires le sont en croix.
Nous avons cinq stations de 13 Vénus (en chiffres romains) et huit stations de 13 années solaires (en chiffres arabes). Soit :
5 x 13 x 584 jours = 8 x 13 x 365 jours = 37 960 jours = 65 Vénus (5 x 13) = 104 ans (8 x 13).
L’ensemble forme la représentation classique des cycles historiques connus en Méso-Amérique et elle revient comme un leitmotiv. Il comprend également 146 années sacrées (2 x 73), c’est-à-dire 73 fois 520 jours ou 48 Mars et deux tiers.
Résumé :
Ø 104 années magiques = 37 960 jours (104 x 365 jours) ; Ø 104 années magiques = 146 années sacrées (146 x 260 jours) ; Ø 104 années magiques = 48 Mars (48 x 780 jours) et deux tiers (520 jours) ; Ø 104 années magiques = 65 Vénus (65 x 584 jours) = 130 serpents à plumes (130 x 292 jours) ; Ø 104 années magiques = 13 fois huit ans (13 x 2920 jours) = 13 cycles de 5 Vénus (13 x 2920 jours).
Mais il faut trois fois cinquante-deux ans ou 156 ans (156 x 365 jours) pour obtenir un véritable « mariage » des cycles de Mars avec l’année solaire : 156 x 365 jours = 56 940 jours = 73 Mars (73 x 780 jours).
g) Les principales caractéristiques connues de Mercure.
Mercure est la planète la plus proche du Soleil : sa distance varie entre 45,986 millions de km au périhélie et 69,817 millions de km à l’aphélie ; elle se rapproche jusqu’à 91,7 millions de km de la Terre lorsqu’elle se trouve en conjonction inférieure. Sa distance moyenne du Soleil est de 43 millions de km et, vue de la Terre, elle ne s’en écarte que de 28° au maximum. Elle reste toujours très difficile à observer car elle ne peut être vue qu’au cours de son élongation maximum entre 18° et 28° du Soleil, à l’aube pendant une heure avant le lever du Soleil ou au crépuscule pendant une heure après son coucher. Trop proche du Soleil, elle a un mouvement nettement plus rapide que celui des autres planètes, ce qui ne permet de l’observer que pendant quelques jours consécutifs seulement.
Elle décrit en 87,969 jours une orbite très excentrique, inclinée de 7° sur le plan de l’écliptique et tourne sur elle-même en 58,625 jours (1407 h). Un jour solaire sur Mercure correspond à 176 jours terrestres. Elle mesure un diamètre de 4878 km contre 3476 km pour la Lune, dont la taille ne fait par conséquent que 71,26 % de celle de Mercure. Mais cette dernière ne fait à son tour que 53,20 % de la taille de la Terre.
Mercure a une densité comparable à celle du globe terrestre (5,43 contre 5,52) et son atmosphère, composée d’un voile d’hélium, est quasiment inexistante. Elle est la planète du système solaire qui connaît les écarts de température les plus importants, de 570°C en moyenne, entre 400°C le jour et 170°C la nuit.
Le relief de Mercure ressemble tout à fait à celui de la Lune avec des régions montagneuses, des cratères et de longues failles rectilignes. Mais on distingue sur Mercure un cratère géant, Mare Caloris, long d’environ 1400 km, profond de 9 km et entouré de grandes « murailles » d’environ 2 km de hauteur ; une collision avec une météorite de grande taille, qui daterait de 3,5 milliards d’années, aurait failli briser toute la planète en morceaux car on observe aux antipodes de Mare Caloris des failles qui ont été provoquées par l’impact du choc. Ce qui fait penser à la ceinture d’astéroïdes qui se trouve entre Mars et Jupiter, laquelle devait être à l’origine une véritable planète, depuis éclatée et brisée en morceaux…
Les deux apparitions successives de Mercure dans le ciel lui ont donné dans l’Antiquité les noms d’Hermès (Mercure en étoile du soir) et d’Apollon (Mercure en étoile du matin).
h) Mariage de l’année magique avec les cycles de Mercure.
La connaissance du calendrier méso-américain reste imparfaite tout aussi longtemps que l’on ignore les cycles de Mercure qui ont été plus particulièrement étudiés par les Mayas. Les Mayas développèrent une chronologie appelée « Compte long » qui était fondée sur les cycles de vingt ans (katuns) et de quatre siècles (Baktuns). Malheureusement, la chronologie du Compte long fut abandonnée en même temps que l’ont été les cités mayas à la fin de l’époque classique car ils redoutaient la fin du Quatrième Soleil (4° période de 1040 ans) qui pouvait être provoquée par une catastrophe cosmique.
La chronologie du Compte long se fonde en premier lieu sur les cycles de vingt ans qui sont déterminés par les révolutions synodiques de Mercure. A Copan, dans le Honduras, près de la frontière du Guatemala, se trouve un escalier monumental appelé « Escalier des Hiéroglyphes » ; il permet de gravir une Pyramide en Terrasses de vingt mètres de haut et compte soixante-trois marches de dix mètres de large, toutes gravées de glyphes. C’est la plus longue inscription glyphique connue en zone maya car elle comprend 2500 glyphes gravés. L’Escalier Hiéroglyphique représente les soixante-trois révolutions synodiques de Mercure en vingt ans (20 x 365 jours).
Ø Révolution synodique de Mercure : 115,8763 jours. Ø 115,8763 jours x 63 = 7300 jours = 365 jours x 20.
Le cycle de 63 Mercure se décompose naturellement en sept fois « 9 Mercure ». Neuf Mercure font 1042 jours, 21 h et 16 min., et 63 Mercure font exactement 7300 jours et 5 h. Les Mayas comptaient le temps en jours entiers pour établir les cycles sans tenir compte des divisions horaires. Ainsi, ils comptaient une année solaire de 365 jours entiers au lieu de 365,2422 jours, une Vénus de 584 jours au lieu de 583,9207 jours, une Mars de 780 jours au lieu de 779,9352 jours et enfin, un cycle de 63 Mercure valait 7300 jours au lieu de 7300,2069 jours. Par ailleurs, les écarts qui apparaissent entre les comptes des cycles en nombre de jours entiers et ceux des cycles réels des planètes n’étaient pas ignorés, mais ils permettaient de compter de façon séparée de plus grands cycles.
7300 jours font 100 fois 73 jours (série initiale de Vénus) ou 25 serpents vénusiens (demi Vénus de 292 jours). Les glyphes gravés sur les marches de l’Escalier des Hiéroglyphes de Copan se classent en vingt-cinq groupes de cent glyphes puisqu’il en compte au total 2500 ; or, si nous divisons nos 7300 jours (du cycle de 63 Mercure) par 25, nous obtenons 292 jours ou un serpent à plumes (moitié de Vénus) :
Ø 7300 jours = 25 x 292 jours (25 demi Vénus) = 63 Mercure. Ø 63 marches = 2500 glyphes = 25 x 100 glyphes en analogie avec 25 serpents vénusiens ; Ø 100 glyphes = représentation de la valeur d’un serpent vénusien de 292 jours.
L’Escalier des Hiéroglyphes de Copan met en valeur le cycle de 63 Mercure en l’harmonisant avec celui de 25 serpents à plumes, car cent glyphes de l’escalier représentent une demi Vénus. Ainsi, les correspondances complètes du cycle sont :
63 Mercure = 7300 jours = 20 x 365 jours = 25 x 292 jours (Serpents vénusiens ou 12,5 Vénus).
La Pyramide en Terrasses de Copan, avec ses Escaliers Hiéroglyphiques, représente donc bien un cycle complet de 20 ans qui comprend 20 années solaires magiques, 63 Mercure (nombre de marches) et 25 serpents vénusiens (25 séries de 100 glyphes).
i) Les cycles cachés de Mercure.
Une Mercure dure 116 jours (115,8763 jours) et se divise naturellement en 4 fois 29 jours ; en huit Mercure, nous obtenons :
8 x 115,8763 jours = 927,01 jours.
Huit fois 116 jours font 928 jours, soit un jour de plus que 927 jours réels de son cycle. Il faut donc compter quatre fois vingt-neuf jours pour chaque Mercure jusqu’à huit cycles de Mercure accomplis ; la huitième Mercure ne doit compter plus que 115 jours au lieu de 116. Le cycle trouvé de 927 jours qui compte huit Mercure se divise en 9 fois 103 jours et nous obtenons de ce fait des « séries initiales » de « neuf » et de « 103 » jours ; ces séries initiales permettent de compter les cycles de Mercure en les groupant par séries de huit.
Quarante séries de huit Mercure font 37080 jours, lesquels font 103 années arithmétiques (103 x 360 jours) ou 63,5 Vénus :
1. 927 jours x 40 = 37080 jours = 103 x 360 jours = 63,5 x 583,9207 jours (Vénus réelles). 2. 927 jours x 80 = 74160 jours = 206 x 360 jours = 127 Vénus = 640 Mercure.
Le cycle de 80 séries de huit Mercure (640 Mercure) permet d’obtenir un nombre entier de Vénus (127 Vénus) et d’années arithmétiques (206 x 360 jours). Les années arithmétiques remplacent ici les années solaires magiques de 365 jours et c’est donc Mercure qui est à l’origine de l’adoption des années arithmétiques dans le Compte long de la chronologie du calendrier méso-américain.
Mercure s’accorde à la fois avec les années solaires de 365 jours en 20 ans (cycle de 63 Mercure en 7300 jours) et avec les années arithmétiques de 360 jours en 206 années arithmétiques qui comprennent 127 Vénus ou 640 Mercure. Le Compte long de la chronologie méso-américaine se fonde sur l’année arithmétique de 360 jours, mais il inclus aussi en lui-même tous les autres cycles.
j) Les principales caractéristiques connues de la Lune.
La Lune est le seul satellite de dimension significative des planètes telluriques, à savoir : Mercure, Vénus, Terre et Mars ; son diamètre fait 71,25 % de celui de Mercure car il s’élève à 3476 km (c’est-à-dire 0,2725 fois le diamètre de la Terre ou bien 27,25 % de sa taille) ; sa distance moyenne à la Terre est de 380 401 km. La Lune nous présente toujours la même face car sa période de rotation sur elle-même est exactement égale à celle de sa révolution autour de la Terre : 27,32 jours (27 jours 7 h 43 min. 14,95 s).
Quand la Lune est en conjonction avec le Soleil (entre le Soleil et la Terre), sa face éclairée par le Soleil est entièrement cachée : c’est la nouvelle lune. Sept à huit jours après la nouvelle lune, le disque lunaire apparaît sous la forme d’un demi-cercle : c’est le premier quartier. Quinze jours après la nouvelle lune, celle-ci est en opposition avec le Soleil et c’est la pleine lune. Le dernier quartier se réalise 7 jours après la pleine lune. Lorsqu’une moitié de la Lune est illuminée par le Soleil tandis que l’autre reste dans l’ombre (premier et dernier quartiers), la ligne de démarcation entre les deux moitiés est appelée « terminateur ». Dans la zone du terminateur, l’angle de rayonnement du Soleil est suffisamment faible pour que les ombres créées fassent ressortir tous les détails du paysage lunaire : les cratères et les montagnes sont ainsi mis en relief. Par ailleurs, l’absence d’atmosphère sur la Lune permet une observation astronomique plus fine.
Le relief lunaire est constitué de vastes plaines, de « mers », qui s’opposent à des reliefs tourmentés avec des continents dominés par des chaînes de montagnes : le mont Leibniz s’élève jusqu’à 8200 m. Le sol lunaire est parsemé de multiples cratères d’origine météoritique ; certains, les cirques, ont un diamètre élevé : 270 km pour le cirque Bailly et 340 km pour le cirque Schiller.
La durée du mois synodique (cycle d’une lunaison) est de 29,53058825 jours ou 29 jours 12 h et 44 min. L’orbite de la Lune est incliné de 5,13° par rapport à la trajectoire apparente du soleil et il en résulte, qu’à certains moments, le Soleil et la Lune se superposent pour un observateur terrien (alignement Terre – Lune – Soleil) ; dans ce cas, on assiste à une éclipse de Soleil : son disque est totalement (ou partiellement) masqué par la Lune. Dans le cas opposé (alignement Soleil – Terre – Lune), la Lune disparaît à l’intérieur du cône d’ombre que projette la Terre : il y a alors une éclipse de Lune.
Pour qu’il y ait une éclipse, il faut que la trajectoire de la Lune dans son orbite soit voisine de l’écliptique, de ses points d’intersection appelés « nœuds » : lorsque la Lune traverse l’écliptique de l’hémisphère Sud vers l’hémisphère Nord, elle passe au nœud ascendant et quand elle le traverse en sens inverse, elle passe au nœud descendant.
Le cycle de Saros (période de 18 ans et 11 jours, ou 6585,3 jours, qui règle le retour périodique des éclipses) compte 223 lunaisons (29,531 jours) en correspondance avec 242 révolutions draconitiques (27,212 jours) et 38 nœuds d’éclipses (173,3 jours). Il se produit dans ce cycle : 42 éclipses de Soleil et 42 éclipses de Lune, lesquelles se reproduisent dans le même ordre.
La pesanteur à la surface de la Lune est égale au 1/6 de la pesanteur terrestre ; aussi, la vitesse nécessaire pour qu’un corps se libère de l’attraction lunaire n’est que de 2,38 km/s, contre 11,2 km/s sur la Terre.
Les marées terrestres sont dues à l’attraction de la Lune sur les masses océaniques ; le Soleil intervient, à un degré moindre pour amplifier ou contrarier cette action.
k) Les cycles lunaires dans le calendrier méso-américain.
Le cycle lunaire méso-américain comprend 11960 jours, lesquels représentent 405 lunaisons, 69 nœuds d’éclipses, 46 années sacrées (260 jours) ou 23 cycles de 520 jours (deux années sacrées) dont chacun contient 3 nœuds d’éclipses.
Le cycle de 405 lunaisons comprend 45 groupes de 9 lunaisons ou 5 groupes de 81 lunaisons. 81 lunaisons (9 x 9 lunaisons) comptent 2392 jours et 5 fois ce nombre font bien 11960 jours. Le cycle de 81 lunaisons comprend 2392 jours qui se décomposent ainsi :
Ø 2392 jours = 23 jours x 13 jours x 8 jours (cube de 2).
Ainsi apparaissent les séries initiales de « 23 jours » et de « 13 jours ».
Les principales « séries initiales » du calendrier méso-américain sont celles de 9, de 13, de 73 et de 20 jours. La série initiale de 20 jours est la plus importante d’entre elles car, « mariée » avec chacune des autres, elle qui forme les principaux cycles du calendrier : 9 fois 20 jours font 180 jours (moitié d’une année arithmétique de 360 jours) ; 13 fois 20 jours font 260 jours (un tiers du cycle de Mars) ; et 73 fois 20 jours font 1460 jours (c’est-à-dire quatre années solaires en harmonie avec cinq serpents vénusiens).
Mais s’ajoutent à ces séries initiales fondamentales d’autres moins connues qui sont : celle de 29 jours (phases de Mercure), celle de 103 jours (dans le cycle de huit Mercure) et celle de 23 jours. Cette dernière permet d’obtenir un cycle lunaire de 11960 jours qui compte 405 lunaisons (45 fois 9 lunaisons), ou bien celui de 81 lunaisons (9 x 9 lunaisons) qui compte un nombre entier de jours (2392 jours). Mais c’est le cycle de 520 jours (deux tiers du cycle de Mars) qui permet au cycle lunaire méso-américain de s’harmoniser avec les cycles d’éclipses du Soleil et de la Lune car il contient trois nœuds d’éclipses (3 x 173,3 jours).
Il faut d’abord compter un cycle de neuf lunaisons qui comprend 265,7753 jours. Le système des cycles impose de compter les jours en nombres entiers et il faut par conséquent retenir 266 jours pour neuf lunaison, c’est-à-dire 14 x 19 jours. Apparaissent alors deux nouvelles séries initiales, celles de 7 (la semaine) et de 19 jours.
Les lunaisons se comptent en cycles alternés de 29 et de 30 jours jusqu’à 266 jours. Les séries de 7 et 19 jours font 133 jours ou 4,5 lunaisons et, pour obtenir un nombre entier de lunaisons, il faut compter deux cycles de 133 jours qui font 266 jours. Mais 405 lunaisons ou 45 fois 9 lunaisons font 11960 jours au lieu de 11970 jours (266 jours x 45). Ainsi, il apparaît que le cycle de 45 fois 266 jours dépasse de 10 jours celui de 11960 jours. Il faut par conséquent retrancher en moyenne un jour toutes les 40,5 lunaisons. Pour cela il suffit de retrancher un jour toutes les 45 lunaisons (5 x 9 lunaisons) et ensuite, comme il y a 9 fois 45 lunaisons dans le cycle de 405 lunaisons, il faudra retrancher un nouveau jour dans le dernier groupe de 9 lunaisons du dernier ensemble de 45 lunaisons, lequel achève le cycle complet de 405 lunaisons. Dix jours auront enfin été retranchés au total.
La complexité de ces cycles permet toutefois de grouper les lunaisons par séries de neuf, de les harmoniser avec les cycles de Mars (520 jours = deux tiers de Mars) et avec les cycles d’éclipses du Soleil et de la Lune (520 jours = 3 nœuds d’éclipses).
La Lune s’harmonise avec Mars et, comme elle, elle est observée vue de la Terre comme le sont toutes les planètes extérieures du système solaire car, comme celles-ci, elle ne passe qu’une seule fois devant le Soleil dans son cycle d’orbite : elle reste visible au milieu de la nuit tout comme Mars, Jupiter et Saturne.
l) Les astéroïdes et planétoïdes.
Le nombre des astéroïdes est supérieur à 35 000 et leur masse totale est inférieure au 1/1000 de celle de la Terre. Le plus gros, Cérès, a un diamètre de 934 km.
L’origine de la ceinture principale d’astéroïdes reste mystérieuse. La seconde loi de Bode-Titius prévoit la présence d’une planète dans cette zone. Les astronomes s’accordent à dire que les astéroïdes ont la même origine que les planètes.
Loi de Bode-Titius : La distance d’une planète au Soleil d = 0,4 + (0,3.2n – 1), d étant exprimée en unités astronomiques et n étant le rang de la planète ; la relation est exacte de n = 0 (Mercure) jusqu’à n = 7 (Uranus).
Nous pouvons observer que Cérès, le plus gros astéroïde (934 km de diamètre), occupe la distance moyenne des principaux astéroïdes et se trouve à 29 % de la distance Soleil – Saturne :
Il en est de même pour Pallas (522 km de diamètre) qui se situe à 29,047 % de cette distance et pour Psyché (254 km de diamètre) qui se place à 30,631 % de la distance Soleil – Saturne. Cette unité de mesure (distance Soleil – Saturne) diffère de l’unité astronomique (distance Soleil – Terre), mais dispose les planètes de façon plus logique dans le système solaire ; nous obtenons ainsi les positions moyennes calculées en % :
Ø Mercure placée à environ 4 % ; Ø Vénus à environ 7,5 % ; Ø Terre à environ 10,5 % ; Ø Mars à environ 16 % ; Ø Ceinture d’astéroïdes à environ 30 % ; Ø Jupiter à environ 54,5 % ; Ø Saturne à 100 % (unité Soleil – Saturne) ; Ø Uranus à environ 201 % ; Ø Neptune à environ 315 % ; Ø Pluton à environ 414 %.
· Vénus est placée au double de la position de Mercure ; · Mars est placée au double de la position de Vénus ; · La Ceinture d’astéroïdes est placée au double de la position de Mars ; · Jupiter est placée à la moitié de la position de Saturne ; · Uranus est placée au double de la position de Saturne ; · Neptune est placée au triple de la position de Saturne ; · Pluton est placée au double de la position d’Uranus ou au quadruple de celle de Saturne. · La Terre est placée à 1/10° de la position de Saturne.
Il y a des rapports de proportions évidents dans les distances des planètes les unes par rapport aux autres et la distance Soleil – Saturne peut ainsi servir d’étalon de mesure. De plus, sur une échelle de quatre unités « Soleil – Saturne », nous pouvons convenablement disposer toutes les planètes du système solaire :
Ø Mercure placée à environ 0,04 ; Ø Vénus à environ 0,075 ; Ø Terre à environ 0,10 ; Ø Mars à environ 0,15 ; Ø Ceinture d’astéroïdes à environ 0,30 ; Ø Jupiter à environ 0,50 ; Ø Saturne à 1,00 (unité Soleil – Saturne) ; Ø Uranus à environ 2,00 ; Ø Neptune à environ 3,00 ; Ø Pluton à environ 4,00.
Cérès :Cérès fut découvert par le Directeur de l’observatoire de Palerme, G. PIAZZI, le 1° janvier 1801 à l’endroit même où la loi de Bode-Titius suggère l’existence d’une planète. Le 28 mars 1802 Pallas est découvert avec une orbite similaire à celle de Cérès, puis Junon en 1804 et Vesta en 1807.
Le planétoïde Cérès, qui porte le nom de la déesse latine des Moissons, mesure 934 km de diamètre, soit 7,32 % de celui de la Terre ou 27,25 % de celui de la Lune ; sa révolution autour du Soleil est de 1680 jours, lesquels font 7 fois 240 jours (12 x 20 jours = 8 x 30 jours). Trois révolutions de Cérès font par conséquent 5040 jours ou 14 fois 360 jours. Ce cycle est intéressant et il ne serait pas passé inaperçu s’il y avait eu une véritable planète à la place de la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter.
Cependant, la révolution synodique de Cérès, c’est-à-dire son cycle de conjonction avec la Terre, est encore plus significatif car il devrait être de 468 jours, soit : 13 jours x 9 jours x 4. Il contiendrait ainsi les séries initiales de 13 et de 9 jours. Par ailleurs, 5 fois 468 jours font 2340 jours, c’est-à-dire 3 fois 780 jours (ou 3 Mars) qui correspondent avec 6,5 fois 360 jours. Cinq révolutions synodiques de Cérès correspondraient exactement avec trois révolutions synodiques de Mars et ce cycle de 2340 jours est en rapport avec celui de la conjonction Jupiter – Saturne, qui fait 7254 jours ou 3,1 fois 2340 jours (31 fois 234 jours). Ainsi Cérès remplit les fonctions qui manquent dans le système des cycles du calendrier méso-américain, c’est-à-dire celles qui établissent la relation cyclique directe avec les deux planètes géantes du système solaire : Jupiter et Saturne. Peut-être s’agissait-il d’un cycle astronomique important, manifesté à l’origine par une véritable planète qui aurait été effectivement détruite par une collision avec un astéroïde de grande taille.
Liste des principaux astéroïdes :
m) Les principales caractéristiques connus de Jupiter.
Jupiter est la plus grosse planète du système solaire avec un diamètre de 142 984 km, qui correspond à 11,21 fois celui de la Terre. Elle effectue une rotation en 9 heures et 50 minutes et décrit son orbite en 11 ans et 315 jours. En 1979, les sondes américaines Voyager 1 et 2 ont relevé la présence de fins anneaux autour de la planète. Elle est recouverte de nuages disposés en bandes sombres et claires, toutes parallèles à l’équateur, qui varient constamment tandis que certaines formations nuageuses peuvent durer plusieurs années. Une Grande Tache Rouge, repérée pour la première fois il y a 300 ans, est située de façon stable dans l’hémisphère sud. Son atmosphère, d’environ 1000 km d’épaisseur, est constituée d’hydrogène et d’hélium additionnés d’ammoniac et de méthane. La température des nuages est de – 135°C, mais Jupiter est toujours en formation et produit de l’énergie par l’effet des forces de gravitation : elle émet pour cette raison deux fois plus d’énergie calorifique que ce qu’elle reçoit du Soleil. En 1955, Burke et Franklin découvrent une émission continuelle d’ondes radio provenant de la planète. Jupiter ne possède pas de surface solide et son noyau comme ses couches superficielles sont constitués essentiellement d’hydrogène liquide. Les 16 satellites de Jupiter sont : Métis, Adrastée, Amalthée, Thébé, Io, Europe, Ganymède, Callisto, Léda, Himalia, Lysitée, Elara, Ananké, Carmé, Pasiphaé et Sinope.
n) Caractéristiques des principaux satellites de Jupiter.
Les quatre principaux satellites de Jupiter, qui ont été découverts par Galilée en 1610 et qui peuvent être distingués avec des jumelles, sont : Io, Europe, Ganymède et Callisto. Io :Io mesure 3630 km de diamètre ou : 1830 km x 1819 km x 1815 km. Son orbite est de 1,769 jour et sa distance de Jupiter est de 421 600 km. La sonde Voyager 1 y a repéré plusieurs volcans actifs qui modifient constamment sa surface ; en effet, Jupiter provoque par attraction des « marées » qui réchauffent et transforment la surface du satellite. Europe :Europe a un diamètre de 3130 km et décrit son orbite en 3,551 jours à une distance de 670 900 km de Jupiter. Ce satellite possède une surface lisse et claire, sans cratère avec peu de reliefs ; il est recouvert d’une couche de glace présentant de nombreuses failles de 15 à 40 km de large, remplies d’une substance sombre. Ganymède :Ganymède est le plus gros satellite de Jupiter avec 5268 km de diamètre. Sa révolution est de 7,155 jours à une distance 1 070 000 km de Jupiter. Plus grand que Mercure, il ressemble à la Lune, mais il est recouvert de glace. Callisto :Callisto mesure 4806 km de diamètre et décrit son orbite en 16,689 jours à une distance de 1 883 000 km de Jupiter. Il ressemble à « une boule de glace sale » et il est marqué par de nombreux petits cratères.
o) Les cycles de Jupiter harmonisés avec les groupes de neuf lunaisons.
La révolution synodique de Jupiter est de 398,884 jours (1 an et 33 jours) ou de 399 jours en nombre entier : soit 19 jours x 7 jours x 3. Nous avons déjà trouvé ces séries initiales dans ceux des lunaisons :
Ø 9 lunaisons font 266 jours : 19 jours x 7 jours x 2.
Il y a donc un mariage entre deux révolutions synodiques de Jupiter et les cycles de lunaisons du calendrier maya :
Ø 399 jours x 2 = 798 jours = 2 conjonctions Terre – Jupiter = 3 x 266 jours (27 lunaisons ou 3 groupes de 9 lunaisons).
Les cycles de lunaisons se mariaient avec ceux de Mars (520 jours = 2 tiers de Mars = 2 nœuds d’éclipses) et se marient également avec ceux de Jupiter. Nous observons une fois de plus que les « séries initiales » sont la clé des « mariages » des planètes entre elles.
Ce mariage des révolutions synodiques de Jupiter avec les lunaisons prouve une fois de plus que c’est bien en groupes de « neuf » qu’il faut disposer les lunaisons.
p) Les principales caractéristiques connues de Saturne.
Saturne est la plus lointaine des planètes visibles à l’œil nu et elle se fait remarquer par le système d’anneaux qui l’entourent, lesquels ont été identifiés pour la première fois en1656 par Huygens. Sa distance moyenne du Soleil est de 1427 millions de km et elle varie de 1347 à 1507 millions de km. Elle décrit son orbite en 29 ans et 167 jours, inclinée de 2° 30’ sur le plan de l’écliptique. Sa rotation est de 10 h 14 min à l’équateur (contre 9 h 50 min. pour Jupiter). Deuxième plus grosse planète du système solaire, son diamètre est de 120 536 km, soit 84,3 % de celui de Jupiter ou 9,45 fois celui de la Terre. Sa densité (0,69) est la plus faible du système solaire et elle présente de nombreuses similitudes avec Jupiter. L’aplatissement des pôles et la coloration de son atmosphère en bandes claires, plus sombres à l’équateur, sont des caractéristiques semblables à celles de Jupiter, mais Saturne est encore plus aplatie. Comme Jupiter, elle irradie davantage d’énergie qu’elle n’en reçoit du Soleil (1,76 fois). La température de Saturne à la surface de la couche nuageuse est de – 175°C et la vitesse du vent dans la région équatoriale est de 1600 km/h. Son atmosphère est composée d’environ 96,3 % d’hydrogène moléculaire, de 3,3 % d’hélium moléculaire et de 0,4 % de méthane. La planète possède probablement un petit noyau rocheux de la taille de la Terre, recouvert d’un manteau liquide d’hydrogène métallique et d’hélium d’environ 20 000 km d’épaisseur.
Ses anneaux comprennent des milliards de petits corps recouverts de glace, ayant des dimensions de grains de poussière jusqu’à celles de grandes roches, qui peuvent être le résultat de la désagrégation d’un ou de plusieurs satellites. L’anneau intérieur est plus clair, large de 25 000 km et séparé d’environ 3500 km (division de Cassini) de l’anneau extérieur qui mesure 16 000 km de largeur. Le diamètre total de l’anneau extérieur est de 273 000 km.
q) Caractéristiques de Titan, principal satellite de Saturne.
Titan fut découvert par Huygens en mars 1655 : c’est le plus gros satellite du système solaire après Ganymède et le seul qui possède une atmosphère dense dans laquelle on a détecté du méthane, de l’hydrogène et de l’ammoniac. Il mesure 5150 km de diamètre (contre 5268 km pour Ganymède) et il parcourt son orbite en 15,9 jours. Il est éloigné de Saturne de 1 221 850 km. Les autres satellites sont de taille plus modeste ; un des plus petits est Janus, dont le diamètre est de l’ordre de 200 km. Le satellite le plus éloigné, Phoebé, de 220 km de diamètre, tourne en sens rétrograde.
r) Les cycles de Saturne harmonisés avec les groupes de lunaisons.
La révolution synodique de Saturne est de 378,092 jours (1 an et 13 j) ou 378 jours en nombre entier : soit 9 jours x 7 jours x 3 x 2. Nous reconnaissons les séries initiales de 9 jours et de 7 jours (semaine).
Il faut compter cinq conjonctions de Saturne avec la Terre pour obtenir une première harmonisation avec les cycles de lunaisons :
Ø 378 jours x 5 = 1890 jours = 64 lunaisons (8 x 8 lunaisons).
Il faut ensuite compter 64 groupes de 9 lunaisons pour obtenir le cycle complet :
Ø 64 x 9 lunaisons = 576 lunaisons = 17010 jours = 45 conjonctions Terre – Saturne = 47,25 x 360 jours.
Cela nous conduit au cycle de 189 années arithmétiques (4 x 47,25), lesquelles font 68 040 jours ou :
Ø 68 040 jours = 2304 lunaisons (256 x 9 lunaisons) = 180 révolutions synodiques de Saturne = 189 x 360 jours.
Nous obtenons ainsi une harmonisation des cycles de Saturne avec les années arithmétiques et avec les groupes de 9 lunaisons. Observons que Jupiter et Saturne s’harmonisent avec les groupes de 9 lunaisons.
Nous remarquons alors que 189 années arithmétiques se divisent par neuf (21 x 9), de même que 180 cycles de Saturne (20 x 9) ou 2304 lunaisons (256 x 9), pour mettre en valeur le cycle d’harmonisation fondamental de Saturne avec les lunaisons et les années arithmétiques :
Ø 7560 jours = 256 lunaisons = 20 conjonctions Terre – Saturne = 21 x 360 jours.
s) Les conjonctions et les « Baktuns » de Jupiter – Saturne.
· La conjonction Jupiter – Saturne est de 7253,4452 jours ou de 7254 jours en nombre entier. · Ce cycle fait 7254 jours ou : 31 jours x 13 jours x 9 jours x 2. Nous reconnaissons les séries initiales de 13 jours et de 9 jours et nous en trouvons une nouvelle, celle de 31 jours.
403 années arithmétiques (31 x 13) font 20 conjonctions Jupiter – Saturne :
Ø 403 x 360 jours = 20 x 7254 jours = 145 080 jours.
Il s’agit d’un « Baktun » de conjonctions Jupiter – Saturne car une conjonction de Jupiter – Saturne correspond à un cycle de « 20 ans » (en réalité 19,86 ans) et vingt fois « 20 ans » font « 400 ans » (en réalité 397,2159 ans) ou un « Baktun » de Jupiter – Saturne.
Les Grandes Pyramides : Tombeaux d’Adam, Eve et Abel ?
La chronologie de l’histoire du monde en Adam nous fait apparaître tout le contexte historique de l’époque de la construction des Grandes Pyramides en Egypte, pendant la IV° Dynastie. Elle s’inscrit à l’époque du 1° Soleil méso-américain, lequel correspond avec l’arrivée sur Terre des Vigilants (anges déchus), la mort d’Adam et l’enlèvement d’Enoch. Nous avons de bonnes raisons de penser que les Grandes Pyramides furent construites avec l’aide des anges, peut-être celle des « Vigilants » dont parle le livre d’Enoch. Leur construction correspond à l’époque de la mort d’Adam et c’est pourquoi il est plus logique de penser qu’elles servirent de tombeau à Adam et Eve plutôt qu’à des pharaons. Le corps d’Abel, tué par Caïn aurait également pu bénéficier d’un emplacement dans l’une des trois pyramides, sans doute la plus petite, celle de Mykérinos. Dans ces conditions, les Grandes Pyramides leur auraient servi de tombeau, celle de Chéops à Adam et celle de Khephren à Eve. La raison est facile à comprendre : Adam a été créé par Dieu, et de même Eve, tirée de son corps. Abel, figure du Christ à venir, aurait également bénéficié du même privilège. Nous comprenons alors comment les Grandes Pyramides ont pu être construite à une époque si reculée de l’histoire de l’humanité : c’est parce que leur construction a été réalisée avec l’aide des anges eux-mêmes.
Période sothiaque = 553 265 jours = 1461 x 365 jours = 1460 x 365,25 jours. Valeur d’une année sothiaque (ou solaire réelle) : 365,25 jours. Durée d’une période sothiaque : 1461 années (de 365 jours). L’année égyptienne comptait 365 jours fixes (sans compter les jours des années bissextiles) et il fallait par conséquent compter 1461 années de 365 jours pour que le premier jour du premier mois de leur calendrier reprenne la même position initiale dans l’année solaire, à l’emplacement du lever (héliaque) de l’étoile Sirius. Les dimensions de la Grande Pyramide étaient en relation directe avec le calendrier de l’ancienne Egypte. Ce qui signifie aussi que les anges avaient révélé le calendrier aux Egyptiens et avaient participé à la construction des Grandes Pyramides. Mais, d’un point de vue astronomique, il se trouve que l’année sothiaque augmente progressivement en longueur et cela provoque une « dérive » de la période sothiaque elle-même qui se « rétrécie » de période en période. Périodes sothiaques égyptiennes calculées d’après la position réelle au 1° jour du premier mois (1° Thot) en correspondance avec le lever héliaque réel (de Sirius) :
Valeur antérieure : 4236 avant notre ère ; 1° période (après 1460 ans) : 2776 avant notre ère ; 2° période (après 1458 ans, soit 2 années de moins) : 1318 avant notre ère ; 3° période (après 1456 ans, soit 2 années de moins) : 139 de notre ère (le 21 juillet) ; 4° période (après 1452 ans, soit 4 années de moins) : 1591 de notre ère ; 5° période (après 1448 ans, soit 4 années de moins) : 3039 de notre ère.
Périodes sothiaques théoriques, déterminées par les cycles historiques : a) Création d’Adam : 4074 avant notre ère ; b) Premier jour de la « Création » (après un cataclysme terrestre) : 4174 avant notre ère ; c) Il faut ajouter les « trois premiers jours » d’avant la « Création » (c’est-à-dire : 3 x 20 ans = 60 ans), c’est-à-dire depuis le jour du « solstice d’été » inclus jusqu’au premier jour de la « Création » en analogie avec l’année solaire : 4234 avant notre ère, point de départ des périodes sothiaques égyptiennes, avant la « Création », du point de vue de l’intervention des anges sur terre.
Valeur antérieure : 4234 avant notre ère ; 1° période (après 1460 ans) : 2774 avant notre ère ; 2° période (après 1460 ans) : 1314 avant notre ère ; 3° période (après 1460 ans) : 147 de notre ère ; 4° période (après 1460 ans) : 1607 de notre ère ; 5° période (après 1460 ans) : 3067 de notre ère.
Nous observons que nous trouvons une différence de deux années seulement entre les deux positions chronologiques de départ des périodes sothiaques (le départ des périodes égyptiennes en 2776 av. notre ère, calculées d’après le lever réel de Sirius et le départ chronologique en 2774 av. notre ère, défini par les cycles historiques). Il se trouve que deux années de différence ne font pas un jour entier d’écart, mais seulement un demi jour (0,5 jour) dans la position du premier jour (1° Thot) du calendrier de 365 jours fixes par rapport à la position réelle du soleil ou de Sirius, car : 2 x 365 jours = 730 jours ; et d’autre part : 2 x 365,25 jours = 730,5 jours. Nous avons effectivement une différence de : 730,5 jours – 730 jours = 0,5 jour. Nous pouvons donc retenir l’année définie par les cycles historiques comme celle de la véritable position chronologique du départ réel des périodes sothiaques du calendrier égyptien, soit l’année 2774 avant notre ère, placée 1460 ans après l’année 4234 avant notre ère, année du prélude à l’intervention des anges juste avant la « Création » elle-même.
Sirius, reine des étoiles et origine probable des « Elohim » :
Tableau des constellations et principales étoiles :
Lévitique 25 : 8-13.
8 Et tu compteras sept sabbats d’années, sept
fois sept ans ; et les jours de ces sept sabbats d’années te feront
quarante-neuf ans. Sirius se trouve dans la constellation du Grand Chien et se fait remarquer parce qu’elle est l’étoile la plus brillante du ciel. Les Dogons, qui vivent au centre du Mali, semblent être le peuple le mieux renseigné sur cette étoile : ils savaient bien avant tout le monde que Sirius est une étoile double accompagnée d’une seconde étoile, plus petite, de magnitude plus faible. Sirius A correspond à une magnitude de – 1,58 et Sirius B à + 8,44, mais celle-ci est de très forte densité car c’est une étoile blanche. Les Dogons savaient cette vérité bien avant 1844, lorsque l’astronome BESSEL s’en rendit compte, à cause des irrégularités du mouvement de cette étoile, tandis que Sirius B ne fut enfin observée qu’en 1862 pour la première fois. Ils enseignaient, bien avant BESSEL, que Sirius est une étoile double et que Sirius B, appelée « Digitaria » (graminée appelée « Po » dans leur langue), gravitait autour de Sirius A en un cycle de 49 ans. Les Dogons, probablement détenteurs de l’enseignement de l’ancienne Egypte, disent que « Digitaria » (Sirius B) a tout engendré au cours de son évolution. Ils connaissent le cycle de 7 fois sept ans, cycle du Jubilé (voir Lévitique 25 : 8-13), lequel est probablement à l’origine des cycles de sept ans de l’histoire d’Israël ; celui de 490 ans, qui correspond avec 70 « semaines d’années », fait aussi dix fois 49 ans ou dix révolutions de Sirius B autour de Sirius A. Notons ici que l’oreille du Grand Sphinx en Egypte mesure « 70 pouces » (10 fois 7 pouces) et que sa bouche fait « 91 pouces » (13 x 7 pouces). Les Dogons nous surprennent davantage lorsqu’ils affirment qu’il y aurait également une « troisième étoile », plus volumineuse que « Digitaria », l’étoile blanche, et plus légère : elle graviterait autour de Sirius A sur une orbite plus grande et possèderait une planète habitée ! Il y aurait par conséquent « trois soleils » dans le système de Sirius, d’où sa brillance remarquable, tout comme il y a trois « Grandes Pyramides » sur le plateau de Gizeh en Egypte ! Il est probable que chacune de ces pyramides représenteraient chacune une de ces étoiles du système de Sirius : Mykérinos représenterait « Digitaria », l’étoile la plus petite, Khephren représenterait la "troisième étoile", autour de laquelle graviterait la planète habitée, représentée également par le Grand Sphinx, et enfin Chéops représenterait Sirius A, la principale étoile du système, et aurait été dotée pour cette raison de mesures en rapport analogique avec les caractéristiques du calendrier égyptien qui définit les périodes sothiaques (de Sirius) de 1460 ans chacune. Tout le système des galeries de la Grande Pyramide serait effectivement en rapport « analogique » avec l’évolution « à venir » de l’histoire de l’humanité : le couloir descendant avec l’histoire de l’humanité en régression spirituelle constante, jusqu’à la « chambre de la folie » ; la première galerie montante serait en rapport avec l’histoire d’Israël jusqu’au Christ, puis celle qui la continue, cette fois horizontalement, toujours en rapport avec l’histoire d’Israël, mais cette fois sans progression spirituelle ; enfin, la Grande Galerie montante serait en rapport avec l’histoire de l’Eglise, triomphante en Christ, jusqu’à la fin, c’est-à-dire jusqu’aux événements apocalyptiques ; la « chambre du Roi » représenterait le « Millenium ». Nos « créateurs », les "Elohim" viendraient par conséquent de Sirius, dans la constellation du Grand Chien, éloignée de 6,8 années-lumière. Il est remarquable de penser, qu’en voyageant à la vitesse de la lumière, les O.V.N.I. originaires de Sirius, mettraient près de sept ans pour nous rendre visite !
La planète "Ummo" n'existe pas !
Des données contradictoires et invraisemblables indiquent que le monde d’Ummo et des Ummites a été inventé, de telle sorte que cela n’a probablement rien à voir avec une réalité extra-terrestre. L’homme ou l’être (?) qui a fait cela s’est servi de données d’origine plus ou moins “extra-terrestres” que tout chercheur (ufologue) peut obtenir. Il a un esprit “scientifique”, et semble intelligent. Mais des contradictions manifestes dans les données exposées prouvent que les Ummites et leur monde (Ummo) n’existent pas ou dans le cas contraire, qu’ils mentent au sujet de leur véritable origine comme de leurs intentions, ce qui est encore plus grave : “Nous désirons informer la planète Terre : nos origine et provenance et les buts qui nous amené à vous visiter. Nous provenons de UMMO, planète qui tourne autour de l’astre IUMMA, enregistré sur votre Terre sous le nom de Wolf 424” (lettre D 41-1 “Information avec schéma et données sur la planète Ummo” datée de 1966).
Le premier “correspondant” aurait cherché à “se faire valoir” par les lettres reçues comme des “révélations”, lesquelles auraient été expédiées par des “extra-terrestres” venus en mission sur Terre (les Ummites) après être arrivés en mars 1950, dans la région de Digne : “Notre première arrivée sur Terre se produisit en profitant des excellentes conditions isodynamiques de l’espace (courbure de l’espace) qui eurent lieu à cette époque là. Trois de nos OAWOOLEA UEWA OEM (que vous appelez O.V.N.I. ou Soucoupes volantes) atterrirent en un point du département français des Basses-Alpes à 13 kilomètres de DIGNE et à 8 km de la localité de LA JAVIE, à 04 h 17 minutes GMT (heure de Greenwich), le 28 Mars 1950” (lettre D 21 “Rapport sur notre planète d’origine” datée de 1966).
Il est tout à fait possible pour un esprit humain de “créer une nouvelle langue”, ou un nouveau système numérique, et de proposer de nouvelles inventions ou idées créatives. L’imagination bat son plein et il y a là un esprit certainement créatif, mais dans ce cas tout a fait “malhonnête”. Comment une planète, plus éloignée de son “Soleil” que la nôtre, donc beaucoup plus froide, peut-elle abriter une vie ? Il est par déclaré par ailleurs que “les oiseaux y sont tous des mammifères, mais ne sont pas des chauve-souris” (ce qui est contraire aux lois de la biologie car l’ornithorynque, par exemple, ne vole pas !). Comment son “jour” peut-il durer 31 heures alors qu’Ummo ne possède pas de satellite, comme notre lune ? Vénus ne possède pas de satellite et sa rotation est par conséquent beaucoup trop lente (243 jours) de telle sorte qu’elle ne peut pas abriter de vie ! Une planète dont l’année est de 1395 jours (terrestres), c’est-à-dire de trois ans et 300 jours, est une planète trop éloignée de son “soleil” pour être suffisamment chaude. Elle serait obligatoirement glacée, bien plus que l’est Mars dans notre système solaire! Les Ummites compteraient une “année” très courte de 77,5 jours ! (ils disent dans leur lettre D 41-1 “Information avec schéma et données sur la planète Ummo” datée de 1966 : “Nous définissons l’an comme la dix-huitième partie du temps de translation de UMMO autour de IUMMA - Wolf 424”). Il y aurait alors 18 fois 77,5 jours pour faire une véritable année “solaire” de 1395 jours (révolution de leur planète autour de son “soleil”). Leur “jour” de 31 heures terrestres nous permet d’établir qu’il y aurait 60 jours “ummites” en 77,5 jours terrestres. Leur année astronomique comprendrait une valeur “idéale” de 1080 jours (3 fois 360 jours ou 18 fois 77,5 jours) et compterait de ce fait 648 000 Uiw (minutes extra-terrestres).
Comme les premières données d’Ummo n’étaient pas très crédibles, une “correction” fut apportée trois ans plus tard dans une autre lettre, la “D 74”, datée du 22/03/1969, titrée : “Qui sommes-nous ? D’où venons-nous ?”. Nous y lisons : UMMO se déplace sur une trajectoire elliptique (quasi circulaire) avec une excentricité de 0,0078 autour d’une OOYIA (étoile de petite masse) appelée par nous IUMMA (notre “Soleil”). La distance moyenne UMMO - IUMMA est de 99,6 millions de km (distance moyenne Terre-Soleil de 150 millions de km). Notre manière d’évaluer les grandes périodes est différente de la vôtre et celle-ci s’est maintenue tout au long de notre histoire, ayant son origine dans une très ancienne erreur astronomique. Nous définissons le XEE (« année » de UMMO) comme fraction 1/18 de la translation de notre OYAA (1° planète) autour de IUMMA (actuellement le phonème XEE est aussi synonyme de “Trajectoire cyclique”). Nos anciens cosmologues ignoraient que le plan de l’écliptique de UMMO possédait une orientation distincte de celle de la 2° OYAA (2° planète) qui orbite autour de IUMMA et qu’ils prenaient pour référence, et ils en ont conclu que la trajectoire d’UMMO était duplo-hélicoïde sur la surface d’un cylindre imaginaire. Ils crurent aussi que notre OYAA (1° planète) décrivait trois translations descendantes - fig. 2 - et trois autres montantes - fig. 3 -, pour compléter un cycle. Un XEE (« année » de UMMO) équivaut à 0,212 années terrestres (77,38 jours). Nous pouvons définir maintenant le XEE comme 1/3 de la période de véritable translation (l’année d’UMMO, orbite autour de leur étoile, a donc une période équivalente à 232 jours “terrestres”). Six périodes équivalent donc au très ancien XEEUMMO = 18 XEE.
232 jours / 3 = 77,33 jours.
Si nous avons bien compris, ce serait une autre planète qui accomplirait un cycle de 1395 jours autour de Iumma (“soleil” d’Ummo) ! Cycle d’un tiers de l’Année d’Umma en nombre de jours terrestres : 232 jours / 3 = 77,33 jours. Valeur “corrigée” pour les calculs : 77,5 x 3 = 232,5 jours. Six “années réelles” font par conséquent un “grand cycle”, celui de la 2° planète : 232,5 jours x 6 = 1395 jours. Cela signifie qu’il faut faire une correction : L’année d’Ummo ne serait plus de “1395 jours”, mais seulement de 232,5 jours (soit 1395 jours / 6). Sa distance au soleil serait alors de “99,6 millions de km”. Calculs supplémentaires : 232,5 jours x 24 heures = 5580 heures. 5580 heures = 334 800 minutes. 334 800 minutes / 3,1 minutes = 108 000 Uiw. 108 000 Uiw / 600 Uiw = “180 jours d’Umma” en “232,5 jours terrestres”. Leur année “corrigée” serait donc de “180 jours” d’Umma (au lieu de “1080 jours” d’Umma). Dans ces conditions, leurs saisons dureraient “45 jours” d’Umma, soit approximativement la moitié en “nombre de jours” d’une saison terrestre, elle de 91 jours terrestres. Six de leurs années accomplissent un “grand cycle” de “1080 jours”, celui qui serait en réalité celui d’une seconde planète plus éloignée, lequel ne serait pas à confondre avec leur véritable année solaire de “180 jours” d’Umma. L’année civile d’Umma compte 77,5 jours, soit 1860 heures ou 111 600 minutes. 111 600 minutes terrestres font : 111 600 / 3,1 = 36 000 Uiw (“minutes” d’Umma). 36 000 Uiw font : 36 000 Uiw / 600 Uiw (jour d’Umma) = “60 jours d’Umma” ou “année civile correspondant à un tiers de l’année réelle : “180 jours” d’Umma / 3 = “60 jours” d’Umma. Mais, une fois “l’erreur” corrigée, “Ummo”, 1° planète de leur système planétaire, serait cette fois beaucoup trop proche de son “soleil” et, sans aucun satellite, elle ne pourrait pas non plus avoir de rotation suffisamment rapide sur elle-même, ni avoir “un jour” correspondant à “31 heures terrestres” : elle serait par conséquent semblable à une “chaudière”, beaucoup trop chaude à l’exemple de Vénus dans notre système solaire.
Par ailleurs, les “Ummites” ne divisent pas leurs “minutes” en heures, mais en périodes de “600 Uiw”, égale à un jour d’Ummo (UIW : unité temps de UMMO égale à 3,1 minutes terrestres). Remarquons que “600” (50 x 12) et “1080” (90 x 12) n’appartiennent pas à un système numérique de douze qui serait le leur, c’est-à-dire de 12 multiplié par lui-même (“144” = 12 x 12 = carré de 12 ; “1728” = 12 x 12 x 12 = cube de 12, etc. comme dans le système numétrique décimal : “100” = carré de 10 ; “1000” = cube de 10). Par exemple, pourquoi compter un jour de “600 Uiw” en ayant un système numérique de 12 ? Cela fait certes “12 x 50”, mais il n’y a pas de multiple de douze avec lui-même (12 x 12) ! Ils compteraient de ce fait les « heures » par périodes de “100 Uiw” (310 minutes terrestres), c’est-à-dire par groupes de “10 x 10 Uiw” (100 Uiw = carré de “10 Uiw” !), périodes non divisibles par douze, au lieu de diviser leur jour en douze fois “50 Uiw” par exemple, ce qui serait plus logique pour marquer les heures avec un système numérique de douze ! Par ailleurs, les multiples de douze par lui-même (“12 x 12 x 12”, etc. ou : “carré de 12”, “cube de 12”, etc.) n’apparaissent pas dans leurs nombres, ce qui est la preuve évidente d’une “supercherie” ! Leurs anciens véhicules (avant la mise au point des véhicules volants) aurait eu quatre pattes au lieu de roues ! Ce qui est absurde du point de vue des lois fondamentales de la mécanique ! Imaginons la difficulté qu’un robot peut avoir pour marcher : il vaudrait mieux lui “mettre des roues sous les pieds” pour lui faciliter la vie ! Tout est création d’un esprit certes prétendu “scientifique”, mais dénué de toute logique ! Dans ces conditions, la planète “Ummo” n’existe pas et ne peut pas exister ! Il pourrait s’agir toutefois d’une “manipulation” d’un être humain, peut-être effectivement réalisée par des extra-terrestres, mais dans le but de préparer une “invasion” sur Terre sans rien dévoiler de leur véritable origine ! Cet homme “manipulé” permettrait alors aux “Ummites” de laisser l’imagination humaine “recréer leur monde” d’un point de vue purement imaginatif ! Cet homme pourrait peut-être avoir réellement bénéficié d’un appui extra-terrestre, mais son “monde extra-terrestre” n’existe pas, il a été inventé !
Conclusion : Faut-il croire à l’accomplissement de l’Apocalypse ?
Lorsqu’une théorie scientifique est juste, elle se vérifie dans la pratique. Il en est de même avec les questions prophétiques, liées avec les cycles de l’histoire. Mais nous avons affaire à plus qu’une théorie, à toute l’histoire de l’humanité en Adam, c’est-à-dire crée à partir d’une intervention des Fils de Dieu après un cataclysme. Celui-ci eut lieu il y a environ 6500 ans et nous en retrouverons bientôt les traces. Bien sûr, l’homme existait avant cela sur la planète, mais il n’était pas capable de connaître Dieu, ni d’édifier une civilisation évoluée.
Le plan de Dieu pour l’histoire du monde en Adam a été établi dès le commencement de l’œuvre de la création. Ce plan se réalise au travers d’un schéma qui contient tous les cycles de l’histoire du monde et se trouve en accord avec les divisions cycliques de l’année solaire pour un jour = 20 ans. C’est la chronologie biblique elle-même qui, en parfait accord avec ce plan, a permis de trouver les dates de l’Apocalypse, car la structure des cycles de l’histoire de l’Eglise, située de l’an 27 à 1987, ne pouvait pas les déterminer à elle seule. C’est donc l’ensemble du schéma des cycles de l’histoire du monde en Adam, en parfait accord avec la chronologie biblique, qui a permis de trouver l’emplacement exact des événements apocalyptiques, lesquels peuvent être désormais datés.
La chronologie complète et exacte de la Bible ne fut pas facile à trouver. Elle a demandé un immense travail. Il y avait des questions chronologiques difficiles à solutionner, mais c’était possible en tenant compte de toutes les données sans en négliger aucune.
Voici la démarche qui a été suivie :
1) La découverte des cycles de l’histoire de l’Eglise de l’an 27 à 1987, qui se divisent en sept fois 280 ans (les sept âges de l’histoire de l’Eglise). 2) La découverte des cycles de l’histoire du monde grâce à la chronologie de l’Ancien Testament, qui a permis d’en réaliser le schéma. Il s’accorde avec les divisions cycliques de l’année solaire pour un jour = 20 ans (365 jours = 5 x 73 jours ; 364 jours = 7 x 52 jours ; 360 jours = 12 x 30 jours = 18 x 20 jours), avec les cycles historiques du calendrier méso-américain et avec les périodes sothiaques du calendrier égyptien. Enfin, ce schéma indique la position exacte des événements apocalyptiques. 3) La reconstitution de tous les cycles historiques du calendrier méso-américain avec les cycles astronomiques. 4) L’étude des « visions prophétiques » de la Bible, en particulier du livre de Daniel et de l’Apocalypse de Saint Jean. Cela a demandé des lectures répétées et des études approfondies. 5) La reconstitution des divisions cycliques des événements apocalyptiques, pour pouvoir établir un calendrier chronologique précis de l’Apocalypse.
Cela a demandé plusieurs années de travail. Elles n’ont pas été « perdues », car l’aboutissement de tous ces travaux est la connaissance aujourd’hui acquise du plan de Dieu pour le salut de l’homme dans l’histoire, lequel sert à offrir le salut à l’homme, gratuitement par la foi en Jésus-Christ, mais à condition que celui-ci veuille bien l’accepter. Tous ceux qui le rejetteront passeront « à côté » de la grâce, ils auront « manqué le but » et seront finalement jugés par Dieu lui-même.
Aujourd’hui, nous sommes appelés à nous préparer au retour de Jésus. Beaucoup diront qu’ils n’y croient pas ! Mais peut-on encore parler de « croyance » lorsque tant de découvertes ont été réalisées et que le plan de Dieu pour le salut apparaît dans toute son intégralité ? En réalité, il ne s’agit plus de « croyance », mais de connaissance !
Jésus, le Fils de Dieu, revient bientôt !
Les Mystères Révélés de l’histoire Table des matières INTRODUCTION Chapitre 1 : La CREATION du 1° chapitre de la GENESE Chapitre 2 : Commentaire Chapitre 3 : Le schéma des cycles de l’histoire du monde Schéma et CLES CHRONOLOGIQUES Chapitre 4 : Enoch révèle ce qui est écrit dans le livre de l’Histoire du Monde Chapitre 5 : Les quatre grandes ères de l’Histoire du Monde Chapitre 6 : Les anges séduisent les filles des hommes Chapitre 7 : Le Déluge Chapitre 8 : Commentaire Chapitre 9 : Vision d’Enoch sur l’avenir du monde Chapitre 10 : La chronologie prophétique Chapitre 10 (suite) : L'histoire de l'Eglise sous formes de tableaux Chapitre 11 : Les temps et les moments Chapitre 12 : L'Apocalypse expliquée Chapitre 13 : Alerte aux OVNI Chapitre 14 : Les cycles astronomiques Conclusion : Faut-il croire à l’accomplissement de l’Apocalypse ?
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Site “Histoire, Bible et Avenir” :
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Les Articles :
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Introduction (Histoire) :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/Introduction.htm
Création expliquée :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/Creation.htm
Livre d’Enoch : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/livre.htm
Déluge et histoire depuis Abraham jusqu’au Christ :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/Deluge.htm
Cycles du calendrier Maya et Bible :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/cycles_calendrier_maya_et_bible.htm
Astronomie et calendrier Maya :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/astronomie_et_calendrier_maya.htm
Histoire : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/histoire.htm
Jésus : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/jesus.htm
Doctrine biblique du salut :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/doctrine_biblique_du_salut.htm
Les constructions des anges :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/constructions_des_anges.htm
Les Grandes Pyramides :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/Grandes-Pyramides.htm
Visions prophétiques expliquées :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/visions-prophetiques-expliquees-daniel.htm
Visions prophétiques de Daniel : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/visions.htm
Vision sur la Côte d’Azur :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/vision-apocalyptique.htm
Apocalypse de Saint-Jean :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/apocalypse_de_saint_jean.htm
Apocalypse expliquée:
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/apocalypse_expliquee.htm
Les clés de l’Apocalypse:
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/les_cles_apocalyptiques.htm
Antéchrist et faux prophète :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/antechrist-et-faux-prophete.htm
La Nouvelle Jérusalem :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/nouvelle_jerusalem.htm
Bible expliquée :
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/bible-expliquee.htm
Schémas des cycles :
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Chronologie : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/chronologie.htm
Mission : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
http://astronomiecycleshistoireetprophties.eu/Mission.htm
Journal : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
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Archives – Journal : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
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Archives – Journal suite : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
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Nouvelle page avec « Les Grandes Pyramides » : Site “Histoire, Bible et Avenir”.
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